Quand le neurone s’arrête de composer
2 participants
Page 1 sur 1
Quand le neurone s’arrête de composer
15.10.2017
Quand le neurone s’arrête de composer
Quand le neurone s’arrête de composer, le cœur prend la relève en interpelant la sensation, la séduction, la tendresse, la douleur, la joie, l’injustice, la liberté, à composer l’hymne de la consonance, la symphonie de l’harmonie, la teneur en rimes. Quand la compréhension prend congé, la pensée devient prose ou poésie pour mettre en chant, en refrain, en romance, en mélopée, en complainte le savoir et la nature. Je ne peux plus comprendre, dit le neurone, mais la curiosité et l’amour du savoir me transforment en émotion, en sentiment, qui continuent à régir ma réflexion jusqu’à tyranniser tout mon cœur qui se métamorphose en un neurone cardiaque capable de compose la dictée de l’émotion. Alimentée par le sentiment d’amour que j’éprouve pour la mécanique de la compréhension, mon cœur devient écrivain, poète, compositeur, alors que la réflexion, et la pensée, se dissolvent dans la sagesse et la vertu pour libérer temporairement l’imagination et les mathématiques. Ainsi quand la compréhension est empêchée de pénétrer aux profondeurs de cet univers subatomique pour accéder à l’interprétation et l’explication de certaines manifestations matérielles qui échappent à l’expérience et semblent obéir uniquement à la loi de la pensée abstraite, la loi de l’hypothèse et du postulat. En attendant que l’instrument vienne mettre fin au règne de la poésie et de la philosophie, le savoir accepte d’être glorifié et honoré par la poésie mais demeure à l’infini, la propriété intrinsèque de la pensée.
Quand le neurone s’arrête de composer
Quand le neurone s’arrête de composer, le cœur prend la relève en interpelant la sensation, la séduction, la tendresse, la douleur, la joie, l’injustice, la liberté, à composer l’hymne de la consonance, la symphonie de l’harmonie, la teneur en rimes. Quand la compréhension prend congé, la pensée devient prose ou poésie pour mettre en chant, en refrain, en romance, en mélopée, en complainte le savoir et la nature. Je ne peux plus comprendre, dit le neurone, mais la curiosité et l’amour du savoir me transforment en émotion, en sentiment, qui continuent à régir ma réflexion jusqu’à tyranniser tout mon cœur qui se métamorphose en un neurone cardiaque capable de compose la dictée de l’émotion. Alimentée par le sentiment d’amour que j’éprouve pour la mécanique de la compréhension, mon cœur devient écrivain, poète, compositeur, alors que la réflexion, et la pensée, se dissolvent dans la sagesse et la vertu pour libérer temporairement l’imagination et les mathématiques. Ainsi quand la compréhension est empêchée de pénétrer aux profondeurs de cet univers subatomique pour accéder à l’interprétation et l’explication de certaines manifestations matérielles qui échappent à l’expérience et semblent obéir uniquement à la loi de la pensée abstraite, la loi de l’hypothèse et du postulat. En attendant que l’instrument vienne mettre fin au règne de la poésie et de la philosophie, le savoir accepte d’être glorifié et honoré par la poésie mais demeure à l’infini, la propriété intrinsèque de la pensée.
Rachid Sadek Bouziane- Nombre de messages : 68
loisirs : lecture et écriture
Humeur : blagues
Date d'inscription : 15/12/2010
Sujets similaires
» La sensibilité du neurone
» Femme : un mot a composer
» arrete ...
» Et le temps s'arrête...
» Je n’arrête pas de te louanger
» Femme : un mot a composer
» arrete ...
» Et le temps s'arrête...
» Je n’arrête pas de te louanger
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum