Nathalie
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Nathalie
Sans toi...
Marcher sur les pas de notre première rencontre
me laissera la saveur d'un espoir,
celui bientôt de te revoir.
Je lis tes mots bien sages et doux pour me réconforter,
t'attendre, t'apprendre et construire le temps qui va passer
avec les plus belles matières que je trouverai.
Patience...
J'ai suspendu à ton absence,
le temps pour nous, celui qui viendra,
celui qui sera là et qu'on ne comptera pas.
Entre les méandres de ma raison et la ligne droite de mes émotions,
j'ai posé le pour et le contre, et les "tout contre Toi".
Je marche au dessus du sol et le soir, la nuit, je marche dans ton ciel.
J'attends...
L'instant d'une main posée sur ta hanche,
celui d'une main au creux d'une autre main.
L'éclair d'un regard qui raconte en un moment furtif,
l'éternité de ce baiser si tendre et passionné.
Puis...
Je chuchoterai dans les creux de ton corps...
J'inventerai pour toi des phrases qui n'ont pas de mots.
J'irai cueillir toutes les fleurs de mon jardin et te les offrirai,
pour n'en laisser qu'une seule et que se soit Toi.
Alors...
Que la brise qui soufflera, du soleil levant,
au matin de la vie,
pousse notre vaisseau vers des vallées fertiles
inondées de soleil et d'espoir.
Qu'elle nous porte au dessus de monts vertigineux
fait de lumière et de merveilles
et où coulent les cascades du bonheur limpide.
Puis si le cœur nous en dit, nous irons voir derrière, s'il y a un désert,
un désert immense que nous seuls, avec des millions d'étoiles,
nous pourrons partager.
Elles nous guideront vers l'oasis sacrée
par où les hommes, sur la terre,
un jour sont arrivés.
Ce jour...
où les yeux encore tirés de douleur,
tu m'as dit :
- Regarde!!! Voici notre enfant.
Marcher sur les pas de notre première rencontre
me laissera la saveur d'un espoir,
celui bientôt de te revoir.
Je lis tes mots bien sages et doux pour me réconforter,
t'attendre, t'apprendre et construire le temps qui va passer
avec les plus belles matières que je trouverai.
Patience...
J'ai suspendu à ton absence,
le temps pour nous, celui qui viendra,
celui qui sera là et qu'on ne comptera pas.
Entre les méandres de ma raison et la ligne droite de mes émotions,
j'ai posé le pour et le contre, et les "tout contre Toi".
Je marche au dessus du sol et le soir, la nuit, je marche dans ton ciel.
J'attends...
L'instant d'une main posée sur ta hanche,
celui d'une main au creux d'une autre main.
L'éclair d'un regard qui raconte en un moment furtif,
l'éternité de ce baiser si tendre et passionné.
Puis...
Je chuchoterai dans les creux de ton corps...
J'inventerai pour toi des phrases qui n'ont pas de mots.
J'irai cueillir toutes les fleurs de mon jardin et te les offrirai,
pour n'en laisser qu'une seule et que se soit Toi.
Alors...
Que la brise qui soufflera, du soleil levant,
au matin de la vie,
pousse notre vaisseau vers des vallées fertiles
inondées de soleil et d'espoir.
Qu'elle nous porte au dessus de monts vertigineux
fait de lumière et de merveilles
et où coulent les cascades du bonheur limpide.
Puis si le cœur nous en dit, nous irons voir derrière, s'il y a un désert,
un désert immense que nous seuls, avec des millions d'étoiles,
nous pourrons partager.
Elles nous guideront vers l'oasis sacrée
par où les hommes, sur la terre,
un jour sont arrivés.
Ce jour...
où les yeux encore tirés de douleur,
tu m'as dit :
- Regarde!!! Voici notre enfant.
Jeaf- Nombre de messages : 129
Date d'inscription : 14/04/2008
Re: Nathalie
Puis si le cœur nous en dit, nous irons voir derrière, s'il y a un désert,
un désert immense que nous seuls, avec des millions d'étoiles,
nous pourrons partager.
Elles nous guideront vers l'oasis sacrée
par où les hommes, sur la terre,
un jour sont arrivés.
Très beau texte et je vais être à coté du sujet, mais dans ma tête tout au long de ma lecture j'avais la chanson de Bécaud
Nathalie
Gilbert Bécaud
La place Rouge était vide
Devant moi marchait Nathalie
Il avait un joli nom, mon guide
Nathalie
La place Rouge était blanche
La neige faisait un tapis
Et je suivais par ce froid dimanche
Nathalie
Elle parlait en phrases sobres
De la révolution d'octobre
Je pensais déjà
Qu'après le tombeau de Lénine
On irait au cafe Pouchkine
Boire un chocolat
La place Rouge était vide
J'ai pris son bras, elle a souri
Il avait des cheveux blonds, mon guide
Nathalie, Nathalie...
Dans sa chambre à l'université
Une bande d'étudiants
L'attendait impatiemment
On a ri, on à beaucoup parlé
Ils voulaient tout savoir
Nathalie traduisait
Moscou, les plaines d'Ukraine
Et les Champs-Élysées
On à tout melangé
Et l'on à chanté
Et puis ils ont débouché
En riant à l'avance
Du champagne de France
Et l'on à dansé
Et quand la chambre fut vide
Tous les amis etaient partis
Je suis resté seul avec mon guide
Nathalie
Plus question de phrases sobres
Ni de révolution d'octobre
On n'en était plus là
Fini le tombeau de Lenine
Le chocolat de chez Pouchkine
C'est, c'était loin déjà
Que ma vie me semble vide
Mais je sais qu'un jour à Paris
C'est moi qui lui servirai de guide
Nathalie, Nathalie
Réal
atouthasard- Nombre de messages : 1113
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Nathalie
Jeaf de toute beauté !
douceur- Nombre de messages : 954
loisirs : poésie, lecture, camping
Humeur : sourire permanent
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Nathalie
Jeaf a écrit:Sans toi...
Marcher sur les pas de notre première rencontre
me laissera la saveur d'un espoir,
celui bientôt de te revoir.
Je lis tes mots bien sages et doux pour me réconforter,
t'attendre, t'apprendre et construire le temps qui va passer
avec les plus belles matières que je trouverai.
Patience...
J'ai suspendu à ton absence,
le temps pour nous, celui qui viendra,
celui qui sera là et qu'on ne comptera pas.
Entre les méandres de ma raison et la ligne droite de mes émotions,
j'ai posé le pour et le contre, et les "tout contre Toi".
Je marche au dessus du sol et le soir, la nuit, je marche dans ton ciel.
J'attends...
L'instant d'une main posée sur ta hanche,
celui d'une main au creux d'une autre main.
L'éclair d'un regard qui raconte en un moment furtif,
l'éternité de ce baiser si tendre et passionné.
Puis...
Je chuchoterai dans les creux de ton corps...
J'inventerai pour toi des phrases qui n'ont pas de mots.
J'irai cueillir toutes les fleurs de mon jardin et te les offrirai,
pour n'en laisser qu'une seule et que se soit Toi. (ce)
Alors...
Que la brise qui soufflera, du soleil levant,
au matin de la vie,
pousse notre vaisseau vers des vallées fertiles
inondées de soleil et d'espoir.
Qu'elle nous porte au dessus de monts vertigineux
fait de lumière et de merveilles (faits ?)
et où coulent les cascades du bonheur limpide. (je supprimerai car inutile...)
Puis si le cœur nous en dit, nous irons voir derrière, s'il y a un désert,
un désert immense que nous seuls, avec des millions d'étoiles,
nous pourrons partager.
Elles nous guideront vers l'oasis sacrée
par où les hommes, sur la terre,
un jour sont arrivés.
Ce jour...
où les yeux encore tirés de douleur,
tu m'as dit :
- Regarde !!! Voici notre enfant.
Excellemment écrit, Jacques !
Je me suis permis de corriger...
Le texte gagnerait en rythme si tu choisissais d'autres longueurs de vers et donc d'autres retours à la ligne...
Je te fais en mp (je ne sais s'il convient de le faire ici...) une modeste proposition, car le Gep que je suis n'est pas un prof, bien sûr...
en tous cas, j'ai aimé.
amitiés
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
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