Diogène tendit sa main aux statues
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Diogène tendit sa main aux statues
Diogène tendit sa main aux statues
Diogène tendit sa main aux statues
Pour s’habituer peu à peu au refus
Moi, je désire m’adresser aux sourds
Pour éveiller les vieux troubadours
Et connaître les secrets de la passivité
Qui creuse la tombe des mots savants
Dans un rocher curieusement sculpté
Par les grains durs du sable mouvant.
Diogène perçut dans la richesse
La tyrannie, moi je la trouve dans
Le silence, l’immobilité et la bassesse
D’âme que nourrisse le vice impudent
Des hommes fatalement condamnés
À la servitude humiliante des seigneurs
Sans défendre l’honneur de leurs aînés
Ou saisir la mission des empoisonneurs.
Diogène trouva la tranquillité d’esprit
Avec les chiens, moi je la perçois bien
Dans les paroles dénonçant le mépris
Et l’injure causant le choc microbien
En exacerbant les tensions et la crise
Profonde d’un nouveau système arrangé
Par des gens conduits sous l’emprise
D’une ambition qui les rend enragés.
Diogène ne craignait ni les puissant
Ni la misère, moi je crains le silence
Des savants devant ce renaissant
Désordre qui engendre la violence.
Dad Allaoua
Diogène tendit sa main aux statues
Pour s’habituer peu à peu au refus
Moi, je désire m’adresser aux sourds
Pour éveiller les vieux troubadours
Et connaître les secrets de la passivité
Qui creuse la tombe des mots savants
Dans un rocher curieusement sculpté
Par les grains durs du sable mouvant.
Diogène perçut dans la richesse
La tyrannie, moi je la trouve dans
Le silence, l’immobilité et la bassesse
D’âme que nourrisse le vice impudent
Des hommes fatalement condamnés
À la servitude humiliante des seigneurs
Sans défendre l’honneur de leurs aînés
Ou saisir la mission des empoisonneurs.
Diogène trouva la tranquillité d’esprit
Avec les chiens, moi je la perçois bien
Dans les paroles dénonçant le mépris
Et l’injure causant le choc microbien
En exacerbant les tensions et la crise
Profonde d’un nouveau système arrangé
Par des gens conduits sous l’emprise
D’une ambition qui les rend enragés.
Diogène ne craignait ni les puissant
Ni la misère, moi je crains le silence
Des savants devant ce renaissant
Désordre qui engendre la violence.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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