Difficile d’accepter l’affront
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Difficile d’accepter l’affront
Difficile d’accepter l’affront
On reste toujours sensible à l’affront
Que les peuples frères subissent,
Car, on ne peut essuyer nos fronts
Par la serviette de la pire bassesse.
Le monde partagé entre l’ogre
Et le dragon de vertu se substitue
En champ de semence pour les bougres
Utilisant le fameux slogan qui tue.
Difficile pour nous d’accepter la honte !
Nous admirons la noblesse des tatamis,
Elle nous force à nous éloigner des contes
De l’histoire qui nous impose le tsunami.
Nos peuples vivent avec un handicap
Mental provoqué par la peur au ventre
Qui les empêche d’enlever la cape
En les incitant à écouter les chantres.
La vraie vie est celle d’aujourd’hui,
Cessez de préparer ou de prédire l’avenir
Par un passé glorifiant les mille et une nuits
Sans jamais sentir vos visages jaunir.
La chose la plus facile c’est de se vanter
De l’exploit des ancêtres en oubliant
Naïvement que la gloire et la beauté
Du passé soient captives du sable mouvant.
On noie notre abandon dans un destin
Tracé par les monstres de l’égoïsme
Dans des interminables grands festins
Donnés sous le masque de l’héroïsme.
Au lieu de tendre la main, travaillez !
Trouvez dans les premiers rayons du soleil
La clé de la liberté sans vous sentir mitraillé
Par la magnificence de l’arc-en-ciel.
Sans vous décourager, puisez votre force
De l’amour et de la sagesse sans attendre
Demain pour essayer d’abattre l’ours
Avant qu’il se faufile telle une sandre.
Faites triompher l’innocence enfantine
Et enfler vos cœurs par la pureté matinale
Sans trop s’enivrer de l’odeur d’églantine
Ou porter le masque sombre de carnaval.
Vivez en faisant preuve de bon sens,
La vie exige qu’on aime l’humanité entière
Pour trouver en nos esprits l’aisance
Sans craindre le sifflement des vipères.
Passez du doute vers l’incertitude
En chassant de l’esprit tout sentiment
De haine sans flotter entre le Nord et le Sud
Ou être sensibles au beau compliment.
On devient fort par l’amour, le pardon
Et la détermination inébranlable
À lutter pour la survie sans bombardon,
Sans soif et appétits insatiables.
Dad Allaoua
On reste toujours sensible à l’affront
Que les peuples frères subissent,
Car, on ne peut essuyer nos fronts
Par la serviette de la pire bassesse.
Le monde partagé entre l’ogre
Et le dragon de vertu se substitue
En champ de semence pour les bougres
Utilisant le fameux slogan qui tue.
Difficile pour nous d’accepter la honte !
Nous admirons la noblesse des tatamis,
Elle nous force à nous éloigner des contes
De l’histoire qui nous impose le tsunami.
Nos peuples vivent avec un handicap
Mental provoqué par la peur au ventre
Qui les empêche d’enlever la cape
En les incitant à écouter les chantres.
La vraie vie est celle d’aujourd’hui,
Cessez de préparer ou de prédire l’avenir
Par un passé glorifiant les mille et une nuits
Sans jamais sentir vos visages jaunir.
La chose la plus facile c’est de se vanter
De l’exploit des ancêtres en oubliant
Naïvement que la gloire et la beauté
Du passé soient captives du sable mouvant.
On noie notre abandon dans un destin
Tracé par les monstres de l’égoïsme
Dans des interminables grands festins
Donnés sous le masque de l’héroïsme.
Au lieu de tendre la main, travaillez !
Trouvez dans les premiers rayons du soleil
La clé de la liberté sans vous sentir mitraillé
Par la magnificence de l’arc-en-ciel.
Sans vous décourager, puisez votre force
De l’amour et de la sagesse sans attendre
Demain pour essayer d’abattre l’ours
Avant qu’il se faufile telle une sandre.
Faites triompher l’innocence enfantine
Et enfler vos cœurs par la pureté matinale
Sans trop s’enivrer de l’odeur d’églantine
Ou porter le masque sombre de carnaval.
Vivez en faisant preuve de bon sens,
La vie exige qu’on aime l’humanité entière
Pour trouver en nos esprits l’aisance
Sans craindre le sifflement des vipères.
Passez du doute vers l’incertitude
En chassant de l’esprit tout sentiment
De haine sans flotter entre le Nord et le Sud
Ou être sensibles au beau compliment.
On devient fort par l’amour, le pardon
Et la détermination inébranlable
À lutter pour la survie sans bombardon,
Sans soif et appétits insatiables.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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