Ô mon monde
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Ô mon monde
Ô mon monde
Et tourne ta ronde
Dans l’or des ondes
De ta chevelure blonde
Que dessine
Le ciel sordide
D’une humanité féconde
De dangers qui inondent
Ses bras d’infractions furibondes
Le chacal tend son mal
Rien n’est sentimental
Ces crocs d’’animal
Instinct trivial
Arrache votre idéal
Pourquoi vivre au festival
Du sublime psychisme
Quand l’humanité offre schisme
D'un mal-être sérial
Pour vous faire vivre amical
Des folies radicales
Brisant au final
Un moral génial
Paré du bien estival
Le monde s’en va loin
Restera t-il un coin
Pour vivre au bon soin
Du grand besoin
D’une humanité qui a rejoint
En tout azimut
Le coin-coin
Du malsain sortant son groin
Pour sniffer le foin
Du plaisir en contrepoint
Qui défie l’immonde témoin
Le monde se dissimule
Pourquoi mal accule
Dans ce cratère où pullule
L’humanité que tout accule
Ces images d’actes qui émulent
Déshabillent ceux qui divaguent
Ô enfants mal-aimés on ne jugule
Cette responsabilité qui inocule
Tous ces demain incrédules
Ils ruinent couchés votre avenir sur le nul
Le monde soudain se dévoile
Sort la voile
Mystérieuse toile
Qui cache les étoiles
Du bonheur cardinal
L’humanité perd le voile
Pour revenir romanesque
Dans le bain natal
De son vécu viscéral
Génial, abyssal, sidéral
Chaque coins reprend social
Une vie inaugurale
Du bien original
O monde! Ofre nous d’être fort
Quand le mal-moral dehors
Tente de te donner la mort
L’humanité a ce grand tord
Te jeter un mauvais sort
Sur notre monde d’alors
Que soit renouvellement
De la confiance primitivement
Ces bonnes mœurs alors
De malversations jetées hors
Nos espaces qui se couvriront d’or
Pour aborder le futur des encor
Quand cet or ne servira plus de décor
Et que nuit ne sera peur quand on dort
☼₣€
Et tourne ta ronde
Dans l’or des ondes
De ta chevelure blonde
Que dessine
Le ciel sordide
D’une humanité féconde
De dangers qui inondent
Ses bras d’infractions furibondes
Le chacal tend son mal
Rien n’est sentimental
Ces crocs d’’animal
Instinct trivial
Arrache votre idéal
Pourquoi vivre au festival
Du sublime psychisme
Quand l’humanité offre schisme
D'un mal-être sérial
Pour vous faire vivre amical
Des folies radicales
Brisant au final
Un moral génial
Paré du bien estival
Le monde s’en va loin
Restera t-il un coin
Pour vivre au bon soin
Du grand besoin
D’une humanité qui a rejoint
En tout azimut
Le coin-coin
Du malsain sortant son groin
Pour sniffer le foin
Du plaisir en contrepoint
Qui défie l’immonde témoin
Le monde se dissimule
Pourquoi mal accule
Dans ce cratère où pullule
L’humanité que tout accule
Ces images d’actes qui émulent
Déshabillent ceux qui divaguent
Ô enfants mal-aimés on ne jugule
Cette responsabilité qui inocule
Tous ces demain incrédules
Ils ruinent couchés votre avenir sur le nul
Le monde soudain se dévoile
Sort la voile
Mystérieuse toile
Qui cache les étoiles
Du bonheur cardinal
L’humanité perd le voile
Pour revenir romanesque
Dans le bain natal
De son vécu viscéral
Génial, abyssal, sidéral
Chaque coins reprend social
Une vie inaugurale
Du bien original
O monde! Ofre nous d’être fort
Quand le mal-moral dehors
Tente de te donner la mort
L’humanité a ce grand tord
Te jeter un mauvais sort
Sur notre monde d’alors
Que soit renouvellement
De la confiance primitivement
Ces bonnes mœurs alors
De malversations jetées hors
Nos espaces qui se couvriront d’or
Pour aborder le futur des encor
Quand cet or ne servira plus de décor
Et que nuit ne sera peur quand on dort
☼₣€
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