une réponse à CQS
Page 1 sur 1
une réponse à CQS
(juste des vers réponse à son com sur POSEIDON )
Femme au demeurant altière
Elle a la volonté des rivières
Voulant se libérer de ses chaînes
Elle défie le froid qui se déchaîne.
Elle laisse tristesse du cœur
Contre les chants d’espoir en cours.
Pendue au plus haut du mât de misaine,
Son malaise rétrécit et se refreine.
Repoussant les anciens Dieux,
Loin de son horizon, de ces cieux.
D’un Olympe devenant désuet,
Elle tend le bras vers l’étoile secrète.
Elle a ouï bien trop d'inutiles mots,
Elle n'écoute plus que le son de ses maux
Trop de vaines chansonnettes,
Lui ont rendu la page de séduction très nette,
Pour que de l'espérance elle en veuille
L’arrivée proche, et mettre fin à son deuil
La venue de son ménétrier,
Songe d’un chevalier aux superbes étriers,
Qui saura la libérer de ses préjugés,
Qui rendra son cœur ignifugé
Quête de valeureux chevalier,
Avec l’esprit et le cœur d’un cavalier
Ne plus être l'Amphitrite d'un océan
Où pudeur et sincérité sont au néant
Où régnait en maître Poséidon,
Qui rend les sons du cœur stridents
L'Amour naîtra du vent,
Même si le cœur est au fond d’un couvent
De cette attente il lui en demandera pardon
Celui qui a fait souffrir son cœur ardent
Femme au demeurant altière
Elle a la volonté des rivières
Voulant se libérer de ses chaînes
Elle défie le froid qui se déchaîne.
Elle laisse tristesse du cœur
Contre les chants d’espoir en cours.
Pendue au plus haut du mât de misaine,
Son malaise rétrécit et se refreine.
Repoussant les anciens Dieux,
Loin de son horizon, de ces cieux.
D’un Olympe devenant désuet,
Elle tend le bras vers l’étoile secrète.
Elle a ouï bien trop d'inutiles mots,
Elle n'écoute plus que le son de ses maux
Trop de vaines chansonnettes,
Lui ont rendu la page de séduction très nette,
Pour que de l'espérance elle en veuille
L’arrivée proche, et mettre fin à son deuil
La venue de son ménétrier,
Songe d’un chevalier aux superbes étriers,
Qui saura la libérer de ses préjugés,
Qui rendra son cœur ignifugé
Quête de valeureux chevalier,
Avec l’esprit et le cœur d’un cavalier
Ne plus être l'Amphitrite d'un océan
Où pudeur et sincérité sont au néant
Où régnait en maître Poséidon,
Qui rend les sons du cœur stridents
L'Amour naîtra du vent,
Même si le cœur est au fond d’un couvent
De cette attente il lui en demandera pardon
Celui qui a fait souffrir son cœur ardent
Dernière édition par Admin le Mar 14 Oct - 15:33, édité 1 fois
Re: une réponse à CQS
Ma soeur Aziza de cette attente se voulant perpétuelle,
Je saurais faire tomber les murs de ta grande citadelle,
Te transporter loin sur mes ailes au royaume de l'oubli,
Dans une contrée où l'imaginaire devient réalité anoblie.
Je saurais faire tomber les murs de ta grande citadelle,
Te transporter loin sur mes ailes au royaume de l'oubli,
Dans une contrée où l'imaginaire devient réalité anoblie.
Invité- Invité
Re: une réponse à CQS
Cher ami cavalier
Mon attente se voulant perpétuelle,
Puisque je ne trouve passion réelle...
tu saurais faire tomber les murs de ma grande citadelle,
Si moi, je voudrais t’ouvrir mes ruelles !
me transporter loin sur tes ailes au royaume de l'oubli,
Je sais, que ton cœur est noble chevalier
Dans une contrée où l'imaginaire devient réalité anoblie
Tu pourrais me redonner espoir en l’homme sans conflit.
A dire vrai, écrire des rimes sur ta cadence
Plait à ma plume qui est sur la même fréquence
Sur les pages de la joie du partage
Tu es mon ami, et roi sage des sages
Mon attente se voulant perpétuelle,
Puisque je ne trouve passion réelle...
tu saurais faire tomber les murs de ma grande citadelle,
Si moi, je voudrais t’ouvrir mes ruelles !
me transporter loin sur tes ailes au royaume de l'oubli,
Je sais, que ton cœur est noble chevalier
Dans une contrée où l'imaginaire devient réalité anoblie
Tu pourrais me redonner espoir en l’homme sans conflit.
A dire vrai, écrire des rimes sur ta cadence
Plait à ma plume qui est sur la même fréquence
Sur les pages de la joie du partage
Tu es mon ami, et roi sage des sages
Re: une réponse à CQS
Admin a écrit:Cher ami cavalier
Mon attente se voulant perpétuelle,
Puisque je ne trouve passion réelle...
tu saurais faire tomber les murs de ma grande citadelle,
Si moi, je voudrais t’ouvrir mes ruelles !
me transporter loin sur tes ailes au royaume de l'oubli,
Je sais, que ton cœur est noble chevalier
Dans une contrée où l'imaginaire devient réalité anoblie
Tu pourrais me redonner espoir en l’homme sans conflit.
A dire vrai, écrire des rimes sur ta cadence
Plait à ma plume qui est sur la même fréquence
Sur les pages de la joie du partage
Tu es mon ami, et roi sage des sages
J'ai aimé ta réplique.......N'en disons pas trop,certains,certaines vont croire que,mais nous nous savons ce "que".Bises ma belle.
Invité- Invité
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|