Quand de purs sentiments bourgeonnent
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Quand de purs sentiments bourgeonnent
C'est dimanche tout est quiétude
Le village dans sa chair habitée dort
Il a perdu en ses rues tous ses corps
Seul le soleil s'est levé dans son décor
Et de sa bise il prend ses habitudes
Son doux toucher torride serpente
Entre les villas pour venir au petit pont
Où son désir est de rencontrer des émotions
elles sont là une et un font deux fripons
Seul leur grand bonheur les alimente
Ils se content amour de leur fièvre
Qui les berce dans le fou généreux
Leur monde enlace le silence merveilleux
Où rien ne surprend leurs mots majestueux
Unique les enivre un parfum de genièvre
Ici ils n'ont foi qu'en leur eux mêmes
Leurs incantations au culte de venus
Les mènent sur des accord d'us
Où les cœurs cultivent désirs dans l'humus
De la tendresse des caresses extrêmes
Les tourterelles roucoulent d'innocence
Dans leur nid où couvée s'attendrit
Devant le silence de ses êtres épris
Quand petits cris composent mélodie
D'ébats qui ne connaissent prudence
Le soleil retire sa belle assistance
Et son crépuscule scelle l'étreinte ténue
Mais leurs yeux vifs cherchent vertu
Pour entretenir leur amour têtu
Qui ne veut perdre sa prégnance
Dans cette nuit nouvelle s'abandonnent
Deux cœurs délaissant le grand bal
De leur passion défiant le grand mal
D'une séparation au profil anormal
Quand de purs sentiments bourgeonnent
☼ŦC
Le village dans sa chair habitée dort
Il a perdu en ses rues tous ses corps
Seul le soleil s'est levé dans son décor
Et de sa bise il prend ses habitudes
Son doux toucher torride serpente
Entre les villas pour venir au petit pont
Où son désir est de rencontrer des émotions
elles sont là une et un font deux fripons
Seul leur grand bonheur les alimente
Ils se content amour de leur fièvre
Qui les berce dans le fou généreux
Leur monde enlace le silence merveilleux
Où rien ne surprend leurs mots majestueux
Unique les enivre un parfum de genièvre
Ici ils n'ont foi qu'en leur eux mêmes
Leurs incantations au culte de venus
Les mènent sur des accord d'us
Où les cœurs cultivent désirs dans l'humus
De la tendresse des caresses extrêmes
Les tourterelles roucoulent d'innocence
Dans leur nid où couvée s'attendrit
Devant le silence de ses êtres épris
Quand petits cris composent mélodie
D'ébats qui ne connaissent prudence
Le soleil retire sa belle assistance
Et son crépuscule scelle l'étreinte ténue
Mais leurs yeux vifs cherchent vertu
Pour entretenir leur amour têtu
Qui ne veut perdre sa prégnance
Dans cette nuit nouvelle s'abandonnent
Deux cœurs délaissant le grand bal
De leur passion défiant le grand mal
D'une séparation au profil anormal
Quand de purs sentiments bourgeonnent
☼ŦC
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