Ce soir la lune est absente
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Ce soir la lune est absente
Ce soir la lune est absente
Pourquoi n’est-elle pas venue
Je l’attendais sage, esprit têtu
Pour une demande dolente
Ce soir je devais la voir belle
Pleine et ronde de lumière
Pour que ma noble prière
Soit éclairée en ma vie éternelle
Il est maléfice ruinant tout moral
Mais le défausse sage son cycle
Quand il étouffe la folie d’un épicycle
Prêt à élaborer un bienveillant astral
Je le sais tu vis parmi les astres
Là-haut on te fait conjuguer maisons
Comme les marées, les saisons
Celles qui ne me sont désastre
La nuit est mon seul désespoir
Quand de ce rien je n’ai bonheur
Et que la vie devient une horreur
Quand ce que j’ai à voir n’est que noir
Assis là sous un chêne millénaire
Je veille ton jaillissement d’éclats
Qui déposera sur mon âme le substrat
D’un espoir qui m’évitera vil amer
Ils t’appellent pleine lune psychotique
Ceux qu’illusions mandatent vampires
Mais moi je ne vois en ton empire
Que bonheur qui draine vie fantastique
Alors chaque soir je fixe ta belle orbite
Pour que mes yeux déjouent l’astral
D’un thème sans maison, aussi je vis
Mon univers dédaignant les âmes spirites
Je ne veux de ces thèmes trop communs
Pour une multitude, d’un tant de différences
Cinq cent millions d’humains en conscience
Qui vont croire subir pareil événement en ce jour
Aussi seul mon regard sur ton brillant fongible
Réconforte mon esprit dans la réalité de ma vie
Comme croire en ta saine puissance d’empathie
Quand ton attraction me conduit sur ton monde paisible
Je vous le dis vrai, je suis sur la lune,
Mon inspiration rêve l’ailleurs sur sa dune
☼ƑƇ
Pourquoi n’est-elle pas venue
Je l’attendais sage, esprit têtu
Pour une demande dolente
Ce soir je devais la voir belle
Pleine et ronde de lumière
Pour que ma noble prière
Soit éclairée en ma vie éternelle
Il est maléfice ruinant tout moral
Mais le défausse sage son cycle
Quand il étouffe la folie d’un épicycle
Prêt à élaborer un bienveillant astral
Je le sais tu vis parmi les astres
Là-haut on te fait conjuguer maisons
Comme les marées, les saisons
Celles qui ne me sont désastre
La nuit est mon seul désespoir
Quand de ce rien je n’ai bonheur
Et que la vie devient une horreur
Quand ce que j’ai à voir n’est que noir
Assis là sous un chêne millénaire
Je veille ton jaillissement d’éclats
Qui déposera sur mon âme le substrat
D’un espoir qui m’évitera vil amer
Ils t’appellent pleine lune psychotique
Ceux qu’illusions mandatent vampires
Mais moi je ne vois en ton empire
Que bonheur qui draine vie fantastique
Alors chaque soir je fixe ta belle orbite
Pour que mes yeux déjouent l’astral
D’un thème sans maison, aussi je vis
Mon univers dédaignant les âmes spirites
Je ne veux de ces thèmes trop communs
Pour une multitude, d’un tant de différences
Cinq cent millions d’humains en conscience
Qui vont croire subir pareil événement en ce jour
Aussi seul mon regard sur ton brillant fongible
Réconforte mon esprit dans la réalité de ma vie
Comme croire en ta saine puissance d’empathie
Quand ton attraction me conduit sur ton monde paisible
Je vous le dis vrai, je suis sur la lune,
Mon inspiration rêve l’ailleurs sur sa dune
☼ƑƇ
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