Quand les yeux de l'enfant
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Quand les yeux de l'enfant
Il est l’heure les volets se sont murés
Un livre se ferme, une lampe s’éteint
Un petit baiser se faufile malin
La nuit a enfilé son manteau ouaté
Et le noir et le frais présents peignent
L’espace gai de la petite chambrée
Là un petit ange regarde le dernier mot
D’un conte que maman attendrie
Lui a murmuré comme image à rêver
Les yeux de l’enfant courent vifs
Sur le monde de ces images dorées
Que Maman lui a déposés en tendresse
Pour endimancher la nuit de ses rêves
Un dessin joue à Colin-Maillard avec ses songes
-Je te vois, tu es derrière le sourire de Maman
-Je te touche, tu es à côtés des de Papa
Je te saisis, tu es couché dans les câlins de Boby
Arrête petite image, je t’ai enfin attrapé
Te voilà au fond de mes yeux fertiles
Quand mes songes s’exposent coquins
Pour me bercer sagement au firmament
Là où les étoiles scintillent sur ma noble vie
Le bel enfant réconforté glisse vers l’arc en ciel
Pour verrouiller son dernier souffle
Qui l’emporte au soin de sa réparatrice nuit
Il enjambe rassuré le dernier instant d’éveil
Le silence envahit son esprit gentillet
Et les couleurs lui chantent l’air des paradis
Là où les jouets le mènent dans l’extraordinaire
Plus de bruit, le vent d’un petit souffle s’estompe
Il accompagne l’obscurité qui lui offre un merci
De rester adorable au pays de doudou son ami
☼☼ƑƇ
Un livre se ferme, une lampe s’éteint
Un petit baiser se faufile malin
La nuit a enfilé son manteau ouaté
Et le noir et le frais présents peignent
L’espace gai de la petite chambrée
Là un petit ange regarde le dernier mot
D’un conte que maman attendrie
Lui a murmuré comme image à rêver
Les yeux de l’enfant courent vifs
Sur le monde de ces images dorées
Que Maman lui a déposés en tendresse
Pour endimancher la nuit de ses rêves
Un dessin joue à Colin-Maillard avec ses songes
-Je te vois, tu es derrière le sourire de Maman
-Je te touche, tu es à côtés des de Papa
Je te saisis, tu es couché dans les câlins de Boby
Arrête petite image, je t’ai enfin attrapé
Te voilà au fond de mes yeux fertiles
Quand mes songes s’exposent coquins
Pour me bercer sagement au firmament
Là où les étoiles scintillent sur ma noble vie
Le bel enfant réconforté glisse vers l’arc en ciel
Pour verrouiller son dernier souffle
Qui l’emporte au soin de sa réparatrice nuit
Il enjambe rassuré le dernier instant d’éveil
Le silence envahit son esprit gentillet
Et les couleurs lui chantent l’air des paradis
Là où les jouets le mènent dans l’extraordinaire
Plus de bruit, le vent d’un petit souffle s’estompe
Il accompagne l’obscurité qui lui offre un merci
De rester adorable au pays de doudou son ami
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