L'enfer d'une vie fatale
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L'enfer d'une vie fatale
Je voudrai commencer
Mais par quoi commencer
Je sais vous serez à me dire
Vivre est un commencement
Quand au premier cri vous naissez
Non! En ce jour il est ce que je veux
Echanger, aimer, me mettre en jeux
Alors quel est le meilleur de la vie
Quand le tout vous est prédit
Comme un miracle qui se peut
Voilà que monde vous pourchasse
On vous a volé vos échasses
Pour scruter l’horizon du bonheur
Vous n’osez car vous guette malheur
D’une humanité qui s’étiolasse
Alors le premier pas, premier mot
Vous ne sauriez l’entreprendre sitôt
De peur de soulever maux perfides
Qui peut déranger toutes les bastides
De l’humain bien pensant dans son égo
L’immobilité peut-elle être don
Quand le bien vivre traverse son pont
Pour rejoindre les faveurs du bonheur
Sans avoir à offrir moindres pleurs
Ceux qui aiguisent lame de la déraison
Puis-je vous reposer ma question
Par quoi commencer mon action
Quand se dilue dans l’anathème
Le bon que je prends pour thème
Pour offrir la vitalité de mes attentions
Je sais me direz vous le soleil
Oui! Le soleil brille à merveille
Pour chacun qui sait l’aimer
Qui ne le dilapide pas familier
Et ne jalouse l’autrui qui le veille
Alors voilà faut –il être névrotique, fou
Pour commencer à marcher comme loup
Afin de dévorer l’agneau qui se perd au cou
De ce monde où pétrifié il broute l’amère
Dans l’enfer d’une fatale vie
Où l’égocentrisme ne lui offre que poux
☼ƑƇ
Mais par quoi commencer
Je sais vous serez à me dire
Vivre est un commencement
Quand au premier cri vous naissez
Non! En ce jour il est ce que je veux
Echanger, aimer, me mettre en jeux
Alors quel est le meilleur de la vie
Quand le tout vous est prédit
Comme un miracle qui se peut
Voilà que monde vous pourchasse
On vous a volé vos échasses
Pour scruter l’horizon du bonheur
Vous n’osez car vous guette malheur
D’une humanité qui s’étiolasse
Alors le premier pas, premier mot
Vous ne sauriez l’entreprendre sitôt
De peur de soulever maux perfides
Qui peut déranger toutes les bastides
De l’humain bien pensant dans son égo
L’immobilité peut-elle être don
Quand le bien vivre traverse son pont
Pour rejoindre les faveurs du bonheur
Sans avoir à offrir moindres pleurs
Ceux qui aiguisent lame de la déraison
Puis-je vous reposer ma question
Par quoi commencer mon action
Quand se dilue dans l’anathème
Le bon que je prends pour thème
Pour offrir la vitalité de mes attentions
Je sais me direz vous le soleil
Oui! Le soleil brille à merveille
Pour chacun qui sait l’aimer
Qui ne le dilapide pas familier
Et ne jalouse l’autrui qui le veille
Alors voilà faut –il être névrotique, fou
Pour commencer à marcher comme loup
Afin de dévorer l’agneau qui se perd au cou
De ce monde où pétrifié il broute l’amère
Dans l’enfer d’une fatale vie
Où l’égocentrisme ne lui offre que poux
☼ƑƇ
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