Quand le port(victime de viol)
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Quand le port(victime de viol)
Quand le port, sous la lune réinvente le temps.
Il prétend que son règne en alarme, est printemps
Il a tant savoir-faire et il saigne pourtant
Tout son être épuisé tel un homme impuissant
Mais il y a encore en semis des paroles
Recueillir le chagrin et en faire cette école
De tes larmes à la vue pour t’y voir au sol
Que de cœurs ont pansé la mémoire d’un viol
Il chagrine au matin pour ne pas être père
Le celui de la vague que l’on veut cimetière
L’enfant solitaire déchiré par le tiers
Aux vagues instants d’être sang mis`erre
Il y a faute et surtout le langage courbé
Et le port, qui s’enclume pour se décharger
De sa faute légère qu’il pensait à moitié
Conjuguée par la guerre, femme pour la soirée
Elle couvre son corps parce que mal armé
Pour défendre sa vie et tuer le péché
Pourquoi femme est pilier de se tendre semé !
Elle enfante un pourquoi et se sait mal pencher
Mais pourtant il y a corps d’être encore
À faire vie d’un enfant pour y être décor
Faire de l’ici un endroit sans effort
Même si son instant ne peut être ce fort
Lorsque le corps blessé tisse des yeux chagrins
Il faut voir qu’au métier on reprise l’humain
Une maille oubliée parce que l’incertain
Ne peut étoiler la survie du destin
Son silence est un lieu pour meubler sa nuit lente
Sa parole et son verbe on les dit sous attente
Y aurait t’il un parfois pour lui dire qu’elle s’invente
Un espoir, une tendre façon d’être aimante.
Quand le port, sous la lune réinvente le temps.
Il prétend que son règne en alarme, est printemps
Il a tant savoir-faire et il saigne pourtant
Tout son être épuisé tel un homme impuissant
atouthasard
Il prétend que son règne en alarme, est printemps
Il a tant savoir-faire et il saigne pourtant
Tout son être épuisé tel un homme impuissant
Mais il y a encore en semis des paroles
Recueillir le chagrin et en faire cette école
De tes larmes à la vue pour t’y voir au sol
Que de cœurs ont pansé la mémoire d’un viol
Il chagrine au matin pour ne pas être père
Le celui de la vague que l’on veut cimetière
L’enfant solitaire déchiré par le tiers
Aux vagues instants d’être sang mis`erre
Il y a faute et surtout le langage courbé
Et le port, qui s’enclume pour se décharger
De sa faute légère qu’il pensait à moitié
Conjuguée par la guerre, femme pour la soirée
Elle couvre son corps parce que mal armé
Pour défendre sa vie et tuer le péché
Pourquoi femme est pilier de se tendre semé !
Elle enfante un pourquoi et se sait mal pencher
Mais pourtant il y a corps d’être encore
À faire vie d’un enfant pour y être décor
Faire de l’ici un endroit sans effort
Même si son instant ne peut être ce fort
Lorsque le corps blessé tisse des yeux chagrins
Il faut voir qu’au métier on reprise l’humain
Une maille oubliée parce que l’incertain
Ne peut étoiler la survie du destin
Son silence est un lieu pour meubler sa nuit lente
Sa parole et son verbe on les dit sous attente
Y aurait t’il un parfois pour lui dire qu’elle s’invente
Un espoir, une tendre façon d’être aimante.
Quand le port, sous la lune réinvente le temps.
Il prétend que son règne en alarme, est printemps
Il a tant savoir-faire et il saigne pourtant
Tout son être épuisé tel un homme impuissant
atouthasard
atouthasard- Nombre de messages : 1113
Date d'inscription : 11/10/2008
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