Dois-je avouer ma faiblesse
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Dois-je avouer ma faiblesse
Dois-je avouer ma faiblesse
Dois-je avouer ma faiblesse
Et céder mon triste sort
Aux souvenirs de la jeunesse ?
Moi, qui vois dans le confort
La ruse du sens et dans l’ébriété
Universelle la folie des âmes,
Dois-je avouer mon incapacité
De parler et briser le calame
Qui ancre sur l’aile du temps
Les souffrances d’une humanité
Conduite sur le dos d’un éléphant
Par le souffle de la calamité ?
Moi, qui reconnais que la force
Trouve sa source dans le savoir
Et dans les cultures diverses,
Que renferment la boite noire
De toute créature humaine.
Dans cet univers vaste et étrange,
Je cherche la voie sans épines
Me faisant connaître ce mélange
Mystérieux de bien et de mal,
Pour voir mes soucis disparaître
Et sentir que le sourire reste vital,
Pour me voir de nouveau renaître
Dans une clarté que rien n’étouffe.
Dois-je parler encore et dévoiler,
Même si je serais à l’ombre des gnoufs
Une personne indésirable ou l’exilé
Ramené par des ignorances grossières
À la profondeur des antres obscurs ?
Je dis encore et encore que les barrières
Sont impuissantes devant le futur,
Que tracent les mains innocentes
Sur les pages blanches de l’éternité,
À eux le fruit de l’arrogance abjecte
À moi les bienfaits de la fraternité.
Dad Allaoua
Dois-je avouer ma faiblesse
Et céder mon triste sort
Aux souvenirs de la jeunesse ?
Moi, qui vois dans le confort
La ruse du sens et dans l’ébriété
Universelle la folie des âmes,
Dois-je avouer mon incapacité
De parler et briser le calame
Qui ancre sur l’aile du temps
Les souffrances d’une humanité
Conduite sur le dos d’un éléphant
Par le souffle de la calamité ?
Moi, qui reconnais que la force
Trouve sa source dans le savoir
Et dans les cultures diverses,
Que renferment la boite noire
De toute créature humaine.
Dans cet univers vaste et étrange,
Je cherche la voie sans épines
Me faisant connaître ce mélange
Mystérieux de bien et de mal,
Pour voir mes soucis disparaître
Et sentir que le sourire reste vital,
Pour me voir de nouveau renaître
Dans une clarté que rien n’étouffe.
Dois-je parler encore et dévoiler,
Même si je serais à l’ombre des gnoufs
Une personne indésirable ou l’exilé
Ramené par des ignorances grossières
À la profondeur des antres obscurs ?
Je dis encore et encore que les barrières
Sont impuissantes devant le futur,
Que tracent les mains innocentes
Sur les pages blanches de l’éternité,
À eux le fruit de l’arrogance abjecte
À moi les bienfaits de la fraternité.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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