Le malfrat passionné
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Le malfrat passionné
Voilà c’est bien cela, déjà me revoilà
Prêt à vous conter à votre près
Le cela qui me touche engendré par ces ceux là
Là ces vauriens de méfaits jamais lassés
Pourvus de peinture ils ont dépourvu
Le blanchi des murs, devenus pour certains laids
Sur toute la grande façade qui n’est certes pas vue
Mais attirée par l’imprévu la foule sage s’est retirée
A pas feutrés vers un tout nouvel appât
La police je pense ne put en rester là
Serra le malfrat qui vif et bref se desserra
Des policiers qu’il osa traiter de grands dadais
On le rattrapa le lendemain nous dit ‘on
Prés de la grande rue de la maison de prêt
- Ton méfait sur cette bâtisse, c’est toi dit t’on
- Ces fresques sont de toi ? Suffit c’est assez !
Jugé en hiver, tous ces arguments déjugés
-je voulais faire la ville belle, la peindre vous dis je
- Lassé de sa morosité je me suis délassé
-Pour décrire toute la nature et bien la dépeindre
- Voyez-vous! Je ne suis pas du tout un dévoyé
- Floue mon l’image , c’est sûr elle se renfloue
- Gage d’un amour à la peinture qui admirée se dégage
- Sous mon air de malfrat qui ne gagne le malotru sous
Démarche pour le bonheur d’autrui je marche
Heureux de rendre tous ces gens bienheureux
Rage de mon statut toujours souillé sous l’arche j’enrage
Où Malheureux je suis pour tous ces quidams un pou
Sommé d’effacer mon œuvre je suis assommé
Regard des publicités effrayantes j’ai l’air ringard
Ma peur et ma désolation pleuraient mon œuvre apeurée
Les cils dégoulinants sur la face d’un mur ce ne fut pas facile.
☼ƑƇ
Prêt à vous conter à votre près
Le cela qui me touche engendré par ces ceux là
Là ces vauriens de méfaits jamais lassés
Pourvus de peinture ils ont dépourvu
Le blanchi des murs, devenus pour certains laids
Sur toute la grande façade qui n’est certes pas vue
Mais attirée par l’imprévu la foule sage s’est retirée
A pas feutrés vers un tout nouvel appât
La police je pense ne put en rester là
Serra le malfrat qui vif et bref se desserra
Des policiers qu’il osa traiter de grands dadais
On le rattrapa le lendemain nous dit ‘on
Prés de la grande rue de la maison de prêt
- Ton méfait sur cette bâtisse, c’est toi dit t’on
- Ces fresques sont de toi ? Suffit c’est assez !
Jugé en hiver, tous ces arguments déjugés
-je voulais faire la ville belle, la peindre vous dis je
- Lassé de sa morosité je me suis délassé
-Pour décrire toute la nature et bien la dépeindre
- Voyez-vous! Je ne suis pas du tout un dévoyé
- Floue mon l’image , c’est sûr elle se renfloue
- Gage d’un amour à la peinture qui admirée se dégage
- Sous mon air de malfrat qui ne gagne le malotru sous
Démarche pour le bonheur d’autrui je marche
Heureux de rendre tous ces gens bienheureux
Rage de mon statut toujours souillé sous l’arche j’enrage
Où Malheureux je suis pour tous ces quidams un pou
Sommé d’effacer mon œuvre je suis assommé
Regard des publicités effrayantes j’ai l’air ringard
Ma peur et ma désolation pleuraient mon œuvre apeurée
Les cils dégoulinants sur la face d’un mur ce ne fut pas facile.
☼ƑƇ
Re: Le malfrat passionné
beau votre partagetikalo a écrit:Voilà c’est bien cela, déjà me revoilà
Prêt à vous conter à votre près
Le cela qui me touche engendré par ces ceux là
Là ces vauriens de méfaits jamais lassés
Pourvus de peinture ils ont dépourvu
Le blanchi des murs, devenus pour certains laids
Sur toute la grande façade qui n’est certes pas vue
Mais attirée par l’imprévu la foule sage s’est retirée
A pas feutrés vers un tout nouvel appât
La police je pense ne put en rester là
Serra le malfrat qui vif et bref se desserra
Des policiers qu’il osa traiter de grands dadais
On le rattrapa le lendemain nous dit ‘on
Prés de la grande rue de la maison de prêt
- Ton méfait sur cette bâtisse, c’est toi dit t’on
- Ces fresques sont de toi ? Suffit c’est assez !
Jugé en hiver, tous ces arguments déjugés
-je voulais faire la ville belle, la peindre vous dis je
- Lassé de sa morosité je me suis délassé
-Pour décrire toute la nature et bien la dépeindre
- Voyez-vous! Je ne suis pas du tout un dévoyé
- Floue mon l’image , c’est sûr elle se renfloue
- Gage d’un amour à la peinture qui admirée se dégage
- Sous mon air de malfrat qui ne gagne le malotru sous
Démarche pour le bonheur d’autrui je marche
Heureux de rendre tous ces gens bienheureux
Rage de mon statut toujours souillé sous l’arche j’enrage
Où Malheureux je suis pour tous ces quidams un pou
Sommé d’effacer mon œuvre je suis assommé
Regard des publicités effrayantes j’ai l’air ringard
Ma peur et ma désolation pleuraient mon œuvre apeurée
Les cils dégoulinants sur la face d’un mur ce ne fut pas facile.
☼ƑƇ
Lucie- Nombre de messages : 340
Date d'inscription : 18/01/2011
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