L'on vient fragile et nu

L'on vient fragile et nu pour accomplir l'histoire
Que notre âme a choisi, ce qui est dur à croire
Pour les doutant de tout, en ayant peur pourtant
De l'inévitable fin, qui au bout les attend.
La vie d'ici-bas est un imposant livre ,
Commencé dans les temps, où l'homme devait vivre
Des bienfaits de la terre et du don de la mer,
Découvrant les saveurs du doux, puis de l'amer,
Des plants que recoltaient les femmes très habiles,
A choisir, par instinct, ceux qui seraient utiles,
Pour soigner quelques maux sans croire au créateur,
Car ils pouvaient choisir un dieu bon formateur,
Indiquant le meilleur pour braver la tempête.

Puis les hommes ont migré et conquis la planète,
Fuyant la faim, le froid, ils bâtirent leurs lieux
Ces palais, ces trésors consacrés à leur Dieux.
La poussière du temps parfois les ressuscite,
L'on découvre un tombeau, en excavant le schiste.
On les sort momifiés de leur nuit de silence ,
Inventant des récits sur leur courte existence,
Alors qu'ils sont revenus peut-être près de vous,
Plusieurs fois vous donner l'étrange rendez-vous
D'un être du passé qui venait encore vivre
Cette relation qu'il n'avait pu poursuivre
Car la mort on le sait défait les liens de sang
Sans trahir son secret, jusqu'au souffle cessant

ON VIENT
ON PART
SANS RÉPONDRE VRAIMENT À TOUTES NOS QUESTIONS.
MES AMITI2S TITE FÉE

relecture..........

Nous sommes beaucoup plus que ce que nous croyons être les uns pour les autres.

Merci pour tes mots, Titefée !

nous sommes et seront des maillons d'une seule chaine...
au plaisir de vous relire clairedelune

TITEFEE a écrit:L'on vient fragile et nu pour accomplir l'histoire
Que notre âme a choisi, ce qui est dur à croire
Pour les doutant de tout, en ayant peur pourtant
De l'inévitable fin, qui au bout les attend.
La vie d'ici-bas est un imposant livre ,
Commencé dans les temps, où l'homme devait vivre
Des bienfaits de la terre et du don de la mer,
Découvrant les saveurs du doux, puis de l'amer,
Des plants que recoltaient les femmes très habiles,
A choisir, par instinct, ceux qui seraient utiles,
Pour soigner quelques maux sans croire au créateur,
Car ils pouvaient choisir un dieu bon formateur,
Indiquant le meilleur pour braver la tempête.

Puis les hommes ont migré et conquis la planète,
Fuyant la faim, le froid, ils bâtirent leurs lieux
Ces palais, ces trésors consacrés à leur Dieux.
La poussière du temps parfois les ressuscite,
L'on découvre un tombeau, en excavant le schiste.
On les sort momifiés de leur nuit de silence ,
Inventant des récits sur leur courte existence,
Alors qu'ils sont revenus peut-être près de vous,
Plusieurs fois vous donner l'étrange rendez-vous
D'un être du passé qui venait encore vivre
Cette relation qu'il n'avait pu poursuivre
Car la mort on le sait défait les liens de sang
Sans trahir son secret, jusqu'au souffle cessant

sagesse en douceur