Prose pour le plaisir d’écrire… chapitre 7

Le jour dort...quand la nuit tombe...
Les ténèbres m'envahissent,
Et ouvre à la faveur de mes nuits blanches,
La boite de Pandore !

Je suis né il y a bien longtemps;
Sur le sentier de la guerre,
J'ai acquis le pouvoir de donner vie à mes rêves,
Et de sublimer la mise à mort,
De ces faciès outrageux,
Déguisant mes cauchemars.

La logique donne à mon esprit,
Des directives parfois insensées...
Et dans ce monde répondant au nom de Utoppia,
J'ai perdu l'horloge,
Qui m'indiquait l'heure de départ,
Avant le naufrage de ma vie...

J'entends cette musique,
Qui résonne et danse avec l'air du temps.
Dans le silence ou règne le chaos,
Jamais mélodie n'aura été plus belle.

Je vais en vain...au gré de mes sentiments.
Le cœur lourd ou léger embrasant les circonstances.
Sans jamais oublier que chaque jour,
Chaque instant de mon existence,
Est maintenu par ce souffle de vie,
Qui ne m'appartient point.

Sous le soleil brulant de ces années à jamais perdues,
J'ai arpenté les ruelles de mes incertitudes;
Laissant ce fil invisible qu'est l'espérance,
Tisser sa toile autour d'idées nouvelles;
Et demandant à l'avenir de s'écrire de lui-même,
En cherchant sa propre vérité.

L

quelle bonne surprise ! une si bonne plume qui nous manquait.
merci pour ce partage l'ami.

J'ai acquis le pouvoir de donner vie à mes rêves,
Et de sublimer la mise à mort,

la logique n'est pas toujours logique à l'avis de nos cœurs et de nos désirs, donc se laisser à l'idée du destin réconforte un peu

L'individu est éduqué avec l'idée que le plus important
dans la vie arrivera toujours dans l'avenir.
Garder l'espoir que les blessures de la guerre seront cicatrisées à jamais!
Heureux de te lire.
Amitiés
BTT

Bonjour amis(es) poètes (esses),

Un grand merci pour tous vos messages vraiment plaisant à lire.
De retour après silence bien marqué par les spectres du quotidien.
Mais comme toujours, ne jamais se laisser détruire, par les petits
riens de l'existence...

Amicalement,
L

"Le jour dort
Sur le sentier de la guerre,
Déguisant mes cauchemars.
Avant le naufrage de ma vie...
Sans jamais oublier que chaque jour,
J'ai arpenté les ruelles de mes incertitudes;"

Seul errant sur les lignes de mes mots perdus
Ceux que j'avais sur des vagues entendus
Ecumes argentées de mes nuits blanches
Celles passées à rechercher mes étoiles
A travers les sentiers poétiques des autres
Les votres aujourd'hui
Que mon coeur n'a pas fui
Et pour lesquels mon esprit s'est réjouit.

Alybmustagh qui fait connaissance avec vos maux et leur essence