bi polarité

[quote="Invité"]Parler de bi-polarité dans un monde de feutrine, c'est un peu comme parler de rachitisme devant la vitrine d'un pâtissier. De questionnement en interrogation nul ne sait comment guérir puisqu'il n'est pas, lorsqu'il regarde sans frémir tout ce qu'il n'a pas. L'enfant n'a jamais pleuré face à sa misère, chaque jour son cœur abîmé s'englue de cette terre qui n'est plus pour lui nourricière comme le sein de sa mère qui ne pleure plus devant les inégalités. [/quote

Dommage que l'auteur n'ait pas répondu........personellement j'ai du mal à comprendre ce que vous voulez dire !

tamima a écrit:version sincérité envers soi
l'écrit sent l'amer et le manque de foi.
le vide de l'âme ne peut-être remplit par des médicaments.

Pour avoir lu des articles sur cet aspect de la maladie, sans médicaments il est impossible de rester sans plonger, les dosages sont spécifiques et changeants.....En principe c'est génétique.

J'espère que l'auteur arrive à remonter !!!!!

Parler de bi-polarité dans un monde de feutrine, c'est un peu comme parler de rachitisme devant la vitrine d'un pâtissier. De questionnement en interrogation nul ne sait comment guérir puisqu'il n'est pas, lorsqu'il regarde sans frémir tout ce qu'il n'a pas. L'enfant n'a jamais pleuré face à sa misère, chaque jour son cœur abîmé s'englue de cette terre qui n'est plus pour lui nourricière comme le sein de sa mère qui ne pleure plus devant les inégalités.

version sincérité envers soi
l'écrit sent l'amer et le manque de foi.
le vide de l'âme ne peut-être remplit par des médicaments.

mikaela a écrit:BEAU sujet
et la question est de mise :repli ou la rédemption ?
la réponse est presque difficile.

nul ne sait c'est la complexité du bi polaire que de jouer à la balance entre être ou ne pas être (sourire)

merci

BEAU sujet
et la question est de mise :repli ou la rédemption ?
la réponse est presque difficile.

le repli ou la rédemption ?

allongé sur mon lit de clinique je réfléchi
suis je bien au bon endroit
mes angoisses sont liées au travail
aux collègues, aux lieux, à la ville
ici pas grand chose à voir
en général je n'ai pas de soucis de relationnel en dehors
que ce soit SAINTES ou ANGERS ces villes me dérangent
il y a bien sur des connections plus rapide avec certains pensionnaires
mais d'autres me poseraient soucis au travail
je voyais cette prise en charge plus dynamique
je trouve que nous sommes plus livrés à nous même qu'autres choses
je pense que mes idées de suicides se cachent pour mieux réapparaitre
je les sents là, bien tapies, à me pousser à l'acte
je connais déjà mon comportement si je recommence à travailler
les actes qui en découleront, limpides, naturels pour partir au royaume des cieux
contrairement à avant, je ne regarde plus cet acte comme étrange mais comme libérateur..!