Elle quitte mes cieux
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Elle quitte mes cieux
Elle quitte mes cieux
Sans me dire adieu
Je criais :
Ne t’en vas pas...
Tout en moi a besoin de toi.
Elle riait de mon chagrin
Repoussant mes mains
Tendues vers elle.
Ces yeux, seul ciel
Que j’ai connu en amour
Elle, l’aurore devenue horreur
Et douleurs de tous les couleurs
Elle, terre chimère
Songe éphémère...
Ce temps là
Est fini, je suis las.
Le vent emporte mes chansons
Les airs sur les quels nous dansions
Sifflent en moi, me déchirent
Jusqu’au délire
Sans me dire adieu
Je criais :
Ne t’en vas pas...
Tout en moi a besoin de toi.
Elle riait de mon chagrin
Repoussant mes mains
Tendues vers elle.
Ces yeux, seul ciel
Que j’ai connu en amour
Elle, l’aurore devenue horreur
Et douleurs de tous les couleurs
Elle, terre chimère
Songe éphémère...
Ce temps là
Est fini, je suis las.
Le vent emporte mes chansons
Les airs sur les quels nous dansions
Sifflent en moi, me déchirent
Jusqu’au délire
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Elle quitte mes cieux
[quote="davidof"]Elle quitte mes cieux,pour ce qu'elle croit être un endroit plus merveilleux,
Sans me dire adieu,mais que pourrait-elle me dire,cela ne me rendrait que plus malheureux,
Je criais :Des mots que le vent emportait aux confins inconnus de son insouciance,
Ne t’en vas pas,restes je te prie prés de moi,j'ai un grand besoin de ta confiance,
Tout en moi a besoin de toi,tu es cette partie manquante au sein de mes entrailles,
Elle riait de mon chagrin,et continuait,en traîtresse,son chemin vaille que vaille,
Repoussant mes mains de tendresse qu'elle avait,tant et tant aimées auparavant,
Tendues vers elle,elle m'ignorait totalement se cachant derriére son paravent,
Ces yeux, seul ciel où naviguait,serein,mon égo,une totale quiétude en mon Âme,
Que j’ai connu en amour,un immense bonheur d'être pris d'entre ses flammes,
Elle l’aurore devenue horreur,je découvrais en naïf sa félonie,sa face cachée,
Et douleurs de tous les couleurs,la vie,de mon Âme, elle m'en a arrachée,
Elle terre chimère,fausse mère porteuse,créatrice de tant de miséres,
Songe éphémère,je me réveille aux portes inconnues d'un noir cimetiére,
Ce temps là a ouvert dans l'espace temps une bréche dans mes illusions,
Est fini, je suis las,fatigué,écoeuré,par cet amoncellement de déceptions,
Le vent emporte mes chansons d'Amour au gré de son incertaine volonté,
Les airs sur lesquels nous dansions,en incrédule que je suis,le temps d'un été,
Sifflent en moi, me déchire en mille supplices,moyenâgeux,d'écartellement,
Jusqu’au délire,cette vipère a créé en moi,le gris de mon illusoire firmament.
Sans me dire adieu,mais que pourrait-elle me dire,cela ne me rendrait que plus malheureux,
Je criais :Des mots que le vent emportait aux confins inconnus de son insouciance,
Ne t’en vas pas,restes je te prie prés de moi,j'ai un grand besoin de ta confiance,
Tout en moi a besoin de toi,tu es cette partie manquante au sein de mes entrailles,
Elle riait de mon chagrin,et continuait,en traîtresse,son chemin vaille que vaille,
Repoussant mes mains de tendresse qu'elle avait,tant et tant aimées auparavant,
Tendues vers elle,elle m'ignorait totalement se cachant derriére son paravent,
Ces yeux, seul ciel où naviguait,serein,mon égo,une totale quiétude en mon Âme,
Que j’ai connu en amour,un immense bonheur d'être pris d'entre ses flammes,
Elle l’aurore devenue horreur,je découvrais en naïf sa félonie,sa face cachée,
Et douleurs de tous les couleurs,la vie,de mon Âme, elle m'en a arrachée,
Elle terre chimère,fausse mère porteuse,créatrice de tant de miséres,
Songe éphémère,je me réveille aux portes inconnues d'un noir cimetiére,
Ce temps là a ouvert dans l'espace temps une bréche dans mes illusions,
Est fini, je suis las,fatigué,écoeuré,par cet amoncellement de déceptions,
Le vent emporte mes chansons d'Amour au gré de son incertaine volonté,
Les airs sur lesquels nous dansions,en incrédule que je suis,le temps d'un été,
Sifflent en moi, me déchire en mille supplices,moyenâgeux,d'écartellement,
Jusqu’au délire,cette vipère a créé en moi,le gris de mon illusoire firmament.
Dernière édition par CELUI QUI SAIT le Mer 16 Juil - 14:44, édité 5 fois
Invité- Invité
Re: Elle quitte mes cieux
Admin a écrit:cette belle-double écriture est réussie
les lignes sonts trés touchantes...
Tout le mérite est dans le semeur....Mr. Davidof
Moi je n'ai que simplement mis un peu d'engrais,j'espére que le cultivateur des mots me pardonnera.
Invité- Invité
Re: Elle quitte mes cieux
cultiver pour le bonheur des mots/fleurs
et du lecteur
écrire des cris en douceur, des lignes seducteurs, un fond charmeur et en votre honneur !
et du lecteur
écrire des cris en douceur, des lignes seducteurs, un fond charmeur et en votre honneur !
Re: Elle quitte mes cieux
la douleur est le semeur....
un peu d'engrais du bon lecteur
plus le plaisir
du cultivateur des mots
ça donne des belles pages de partages
un peu d'engrais du bon lecteur
plus le plaisir
du cultivateur des mots
ça donne des belles pages de partages
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
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