Conte Moral fantastique

Un doux héros p.ensif marchait dans la forêt.
Au pied des troncs puissants il songeait à sa belle
Qui lui était parue, nue, sur une escabelle,
Dans l’or de ses cheveux et coiffée d’un béret.

Soudain, près d’un vieux chêne, il se mit en arrêt :
Notre noble guerrier, plein de son Isabelle,
Découvrit, monstrueux, couvert d’un sac poubelle
L’ennemi gobelin, ce verdâtre goret.

Sans arme apparemment mais ce bandit perfide
Préparait, c’est certain, massacre de sylphide.
Notre preux chevalier dégaina d’un seul coup,

Face au reptile odieux qui demandait supplique,
Visa la carotide et trancha net le cou.
Comme quoi l’assassin peut être sympathique…

quelle rencontre ! j'ai adoré ma lecture

Eschyle a écrit:Un doux héros p.ensif marchait dans la forêt.
Au pied des troncs puissants il songeait à sa belle
Qui lui était parue, nue, sur une escabelle,
Dans l’or de ses cheveux et coiffée d’un béret.

Soudain, près d’un vieux chêne, il se mit en arrêt :
Notre noble guerrier, plein de son Isabelle,
Découvrit, monstrueux, couvert d’un sac poubelle
L’ennemi gobelin, ce verdâtre goret.

Sans arme apparemment mais ce bandit perfide
Préparait, c’est certain, massacre de sylphide.
Notre preux chevalier dégaina d’un seul coup,

Face au reptile odieux qui demandait supplique,
Visa la carotide et trancha net le cou.
Comme quoi l’assassin peut être sympathique…

Beau retour Eschyle

toujours fort et philosophe dans vos versions poétiques
j’admire votre encre.
salutations

L'exécution est le contraire d'un prélude, il ne faut jamais perdre de temps....La forêt souffle à l'imagination!!!
Amicalement

Bouhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!

c'est tout.

eric bourgeois a écrit:quelle rencontre ! j'ai adoré ma lecture

Merci, eric bourgeois, de ces mots bienveillants. Je publie donc le deuxième volet de ce conte fantastique...

salwa jaafar a écrit:

Eschyle a écrit:Un doux héros p.ensif marchait dans la forêt.
Au pied des troncs puissants il songeait à sa belle
Qui lui était parue, nue, sur une escabelle,
Dans l’or de ses cheveux et coiffée d’un béret.

Soudain, près d’un vieux chêne, il se mit en arrêt :
Notre noble guerrier, plein de son Isabelle,
Découvrit, monstrueux, couvert d’un sac poubelle
L’ennemi gobelin, ce verdâtre goret.

Sans arme apparemment mais ce bandit perfide
Préparait, c’est certain, massacre de sylphide.
Notre preux chevalier dégaina d’un seul coup,

Face au reptile odieux qui demandait supplique,
Visa la carotide et trancha net le cou.
Comme quoi l’assassin peut être sympathique…

Beau retour Eschyle

Merci, Salwa Jaafar, de cet accueil qui me touche.

tuer ou être tué ? donner la mort un choix ou une obligeance ?
j'aime vos écrits.

plume pensive au bout du conte
toute ma sympathie à vous.

davidof a écrit:
toujours fort et philosophe dans vos versions poétiques
j’admire votre encre.
salutations

Merci, davidof, de ces mots chaleureux. Belle semaine à toi.

rychar a écrit:L'exécution est le contraire d'un prélude, il ne faut jamais perdre de temps....La forêt souffle à l'imagination!!!
Amicalement

Merci, Rychar, d'écouter le souffle de la forêt. Elle souffle ses mots... Amicalement à toi.

miss Béa a écrit:Bouhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!

c'est tout.

Pourquoi, miss Béa, ce "Bouhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!" ? (Au passage, la rime est jolie et amusante...)

nisrine nacer a écrit:tuer ou être tué ? donner la mort un choix ou une obligeance ?
j'aime vos écrits.

Merci, nisrine nacer, d'aimer... Ni obligeance ni obligation, nous allons tous au même lieu... C'est pourquoi aimer est la base de nos vies...

salma-B a écrit:plume pensive au bout du conte
toute ma sympathie à vous.

Merci, salma-B, de tes mots sympathiques. Merci...