Au bord de l'eau
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Au bord de l'eau
Je me souviens, de ce fameux jour, il faisait très chaud, et la température était montée, avoisinant les trente degrés; Nous avions trouvé un endroit, reposant et frais. L'herbe haute et bien verte, nous invitait à nous coucher dessus. Il faisait encore très chaud, et l'air en devenait presque étouffant. Je suffoquais, et tu avais décidé de sortir ton mouchoir de la poche de ton bermuda, et de le tremper dans l'eau, afin de me rafraichir, le visage, puis les bras. Puis tu avais trempé tes doigts, que tu avais passés dans mes cheveux, je me sentais bien mieux....
Mais cela, ne te suffisais pas, car tu avais décidé de m éclabousser à grandes giclées, et tu en riais si fortement, que je ne pouvais qu'éclater de rire aussi. J'avais bien eu l'idée de te pousser dans l'eau, mais tu avais été beaucoup plus rapide que moi, et je me retrouvai la au milieu de l'eau, mes vêtements collés à la peau, et la difficulté à les enlever car au point où j'en étais, autant les ôter. Ton regard devenant brûlant subitement, à la vue du spectacle, juste le temps de chasser cette mouche qui te tournait autour...
Dernier sous vêtement, que j'avais enlevé et que je t'avais jeté à la figure, tu avais hésité à me rejoindre, mais j'avais insisté. Rapidement et nu comme un ver, tu avais plongé dans cette eau, cette eau bien fraiche. Puis tu disparaissais aussi rapidement, à me demander où tu étais passé. Je te cherchais, et je commençais à m'inquiéter, ne te voyant pas remonter à la surface. Mon cœur tapait si fort, l'angoisse montait subitement, mais j'avais senti, quelque chose me frôler les chevilles, et je mettais mise à hurler de peur de m'imaginer que cela pourrait être un serpent.
Tu m'avais entrainé sous l'eau , et j'essayais tant bien que mal, de remonter, à la surface mais j'y parvenais difficilement, et toi tu avais encore disparu, sans faire de bruit, tu étais arrivé derrière moi, posant tes mains sur mes yeux, et tu m'avais embrassé dans le cou, me tapissant de petits baisers, qui me donnèrent des frissons. Puis tu avais approché tes lèvres, de ma bouche, et tu avais mis tes jambes autour de ma taille, et nos langues s'étaient entremêlées dans un ballet rappelant la valse. Ultime extase, de nos sens en éveil...
Je n'étais plus pareille, et toi non plus, On s'émerveillait, de cette parfaite symbiose, de nos corps si proches, et le fait de se sentir si bien, dans un cocon de bien-être, le temps s'était soudainement arrêté.
Mais cela, ne te suffisais pas, car tu avais décidé de m éclabousser à grandes giclées, et tu en riais si fortement, que je ne pouvais qu'éclater de rire aussi. J'avais bien eu l'idée de te pousser dans l'eau, mais tu avais été beaucoup plus rapide que moi, et je me retrouvai la au milieu de l'eau, mes vêtements collés à la peau, et la difficulté à les enlever car au point où j'en étais, autant les ôter. Ton regard devenant brûlant subitement, à la vue du spectacle, juste le temps de chasser cette mouche qui te tournait autour...
Dernier sous vêtement, que j'avais enlevé et que je t'avais jeté à la figure, tu avais hésité à me rejoindre, mais j'avais insisté. Rapidement et nu comme un ver, tu avais plongé dans cette eau, cette eau bien fraiche. Puis tu disparaissais aussi rapidement, à me demander où tu étais passé. Je te cherchais, et je commençais à m'inquiéter, ne te voyant pas remonter à la surface. Mon cœur tapait si fort, l'angoisse montait subitement, mais j'avais senti, quelque chose me frôler les chevilles, et je mettais mise à hurler de peur de m'imaginer que cela pourrait être un serpent.
Tu m'avais entrainé sous l'eau , et j'essayais tant bien que mal, de remonter, à la surface mais j'y parvenais difficilement, et toi tu avais encore disparu, sans faire de bruit, tu étais arrivé derrière moi, posant tes mains sur mes yeux, et tu m'avais embrassé dans le cou, me tapissant de petits baisers, qui me donnèrent des frissons. Puis tu avais approché tes lèvres, de ma bouche, et tu avais mis tes jambes autour de ma taille, et nos langues s'étaient entremêlées dans un ballet rappelant la valse. Ultime extase, de nos sens en éveil...
Je n'étais plus pareille, et toi non plus, On s'émerveillait, de cette parfaite symbiose, de nos corps si proches, et le fait de se sentir si bien, dans un cocon de bien-être, le temps s'était soudainement arrêté.
motschuchotes- Nombre de messages : 301
loisirs : randonnee,billard cuisine exposition cinema lecture
Humeur : egale a elle meme parfois reveuse
Date d'inscription : 25/09/2011
Re: Au bord de l'eau
Au moins tu n'as point pris le bouillon d'onze heures,
Tout au plus des folies de corps en zone extérieure,
De quoi calmer aprés coup les plus virulentes ardeurs,
Ayant fait bien pire,je ne peux point être accusateur.
Bise Miss Marie......Et là je ne peux point ajouter de l'immaculée conception,l'expression serait plus que déplacée..NON?
Tout au plus des folies de corps en zone extérieure,
De quoi calmer aprés coup les plus virulentes ardeurs,
Ayant fait bien pire,je ne peux point être accusateur.
Bise Miss Marie......Et là je ne peux point ajouter de l'immaculée conception,l'expression serait plus que déplacée..NON?
Invité- Invité
Re: Au bord de l'eau
celui qui sait a écrit:Au moins tu n'as point pris le bouillon d'onze heures,
Tout au plus des folies de corps en zone extérieure,
De quoi calmer aprés coup les plus virulentes ardeurs,
Ayant fait bien pire,je ne peux point être accusateur.
Bise Miss Marie......Et là je ne peux point ajouter de l'immaculée conception,l'expression serait plus que déplacée..NON?
sourire ah oui vous avez fait pire? dites moi donc
motschuchotes- Nombre de messages : 301
loisirs : randonnee,billard cuisine exposition cinema lecture
Humeur : egale a elle meme parfois reveuse
Date d'inscription : 25/09/2011
Re: Au bord de l'eau
motschuchotes a écrit:celui qui sait a écrit:Au moins tu n'as point pris le bouillon d'onze heures,
Tout au plus des folies de corps en zone extérieure,
De quoi calmer aprés coup les plus virulentes ardeurs,
Ayant fait bien pire,je ne peux point être accusateur.
Bise Miss Marie......Et là je ne peux point ajouter de l'immaculée conception,l'expression serait plus que déplacée..NON?
sourire ah oui vous avez fait pire? dites moi donc
Dans la rubrique "textes éropoétiques" lis donc mes écrits tu en auras un petit aperçu.....Et j'ai d'autres aventures en réserve.......De quoi faire d'une bête à bon Dieu le pire des incubes.
Invité- Invité
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