J'ai tapé le carton
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J'ai tapé le carton
tapé le carton
Ce dimanche matin libéré d’obligations j’au tapé le carton
Installe comme de coutume, prince sur mon grand balcon
Mes amis étaient passés et nous fûmes quatre compagnons
A jouer dans un silence d’or et nous avons frôlé la déraison
Nous n’étions pas pressés j’ai entamé un autre carton
Engoncé dans mon fauteuil jusqu’à la dernière munition
Ce fut le péril subtil et hâbleur, de ma première reddition
Mais en ce jour de vendredi treize je n’avais pas d’illusion
Puis revenu dans mon beau quartier j’ai tourné en rond
En repassant allégrement content sous le joli petit pont
Qui longe silencieux et potelé les vils derniers bas fond
De notre magique et estimée belle cité de la côte d’Oléron
Cela m’a permis attendri d’ouvrir le grand carton
De mes œuvres originales stockées fières en long
Sur l’armoire du temps d’avant ; au bord du plafond
Souvent je les montre avec orgueil à mon bon patron
Quelquefois concentré et gai il me passe un carton
Ce n’est pas un expert il ne joue pas mieux, allons!
Il pense, s’assure: Il va me laisser gagner, alors pardon!
Je ne serai jamais dans l’insidieuse débâcle un capon
A mon retour, empressé nous avons fait un carton
La chambre n’était pas apprêtée, pourquoi pas le salon
Je puis vous assurer vraiment ce n’est pas du bidon
Mais le jeu rare d’un dévouement au culte de cupidon
De tous ces cartons nous n’en retiendrons : Que c’est bon!
On trouve dans ces jeux furibonds toujours un vrai rebond
Qui vous incite implacable et passionné d’être canon
Pour vous éviter l’ennui de rester accroché au turlu-pimpon
C₣
Ce dimanche matin libéré d’obligations j’au tapé le carton
Installe comme de coutume, prince sur mon grand balcon
Mes amis étaient passés et nous fûmes quatre compagnons
A jouer dans un silence d’or et nous avons frôlé la déraison
Nous n’étions pas pressés j’ai entamé un autre carton
Engoncé dans mon fauteuil jusqu’à la dernière munition
Ce fut le péril subtil et hâbleur, de ma première reddition
Mais en ce jour de vendredi treize je n’avais pas d’illusion
Puis revenu dans mon beau quartier j’ai tourné en rond
En repassant allégrement content sous le joli petit pont
Qui longe silencieux et potelé les vils derniers bas fond
De notre magique et estimée belle cité de la côte d’Oléron
Cela m’a permis attendri d’ouvrir le grand carton
De mes œuvres originales stockées fières en long
Sur l’armoire du temps d’avant ; au bord du plafond
Souvent je les montre avec orgueil à mon bon patron
Quelquefois concentré et gai il me passe un carton
Ce n’est pas un expert il ne joue pas mieux, allons!
Il pense, s’assure: Il va me laisser gagner, alors pardon!
Je ne serai jamais dans l’insidieuse débâcle un capon
A mon retour, empressé nous avons fait un carton
La chambre n’était pas apprêtée, pourquoi pas le salon
Je puis vous assurer vraiment ce n’est pas du bidon
Mais le jeu rare d’un dévouement au culte de cupidon
De tous ces cartons nous n’en retiendrons : Que c’est bon!
On trouve dans ces jeux furibonds toujours un vrai rebond
Qui vous incite implacable et passionné d’être canon
Pour vous éviter l’ennui de rester accroché au turlu-pimpon
C₣
Re: J'ai tapé le carton
le jeu de l'inspiration mène loin dans les versions des vers.
mes amitiés.
mes amitiés.
benjamin-j-m- Nombre de messages : 398
Date d'inscription : 27/02/2011
Re: J'ai tapé le carton
merci cher ami
de ta lecture et de ton commentaire
il est toujours bon
d'avoir amis qui lisent vos cartons
pour regarder image en vos cartons
curieux d'y voir dames peintes en dévotion
amitié poétiques
tikalo
de ta lecture et de ton commentaire
il est toujours bon
d'avoir amis qui lisent vos cartons
pour regarder image en vos cartons
curieux d'y voir dames peintes en dévotion
amitié poétiques
tikalo
Re: J'ai tapé le carton
tikalo a écrit:merci cher ami
de ta lecture et de ton commentaire
il est toujours bon
d'avoir amis qui lisent vos cartons
pour regarder image en vos cartons
curieux d'y voir dames peintes en dévotion
amitié poétiques
tikalo
Grand Dieu moi aussi je lis quelquefois tes cartons,
Des rimes en épisodes donnés comme des feuilletons,
Tout à ton contraire qui ne passe jamais en mes arpents,
Mais pour sûr je dois avoir venins de maudits serpents.
Il en est ainsi.....On ne peut plaire à toute la populace.
Invité- Invité
Re: J'ai tapé le carton
cher ami l'ami qui sait
de la poésie
il n'est que tes cartons ne m'interresse
loin de moi cette façon
mais le système est contrefaçon
quand celui qui répond monte au plafond
alors si au jour de mon action je répond
tes textes ne sont pas au devant du carton
de la liste sur laquelle je me fond d'attention
alors ils restent donc à me yeux comme une privation
fut-il qu'à l'avenir j'en prendrai bonne observation
amitié poétique
yikalo
de la poésie
il n'est que tes cartons ne m'interresse
loin de moi cette façon
mais le système est contrefaçon
quand celui qui répond monte au plafond
alors si au jour de mon action je répond
tes textes ne sont pas au devant du carton
de la liste sur laquelle je me fond d'attention
alors ils restent donc à me yeux comme une privation
fut-il qu'à l'avenir j'en prendrai bonne observation
amitié poétique
yikalo
Re: J'ai tapé le carton
tikalo a écrit:cher ami l'ami qui sait
de la poésie
il n'est que tes cartons ne m'interresse
loin de moi cette façon
mais le système est contrefaçon
quand celui qui répond monte au plafond
alors si au jour de mon action je répond
tes textes ne sont pas au devant du carton
de la liste sur laquelle je me fond d'attention
alors ils restent donc à me yeux comme une privation
fut-il qu'à l'avenir j'en prendrai bonne observation
amitié poétique
yikalo
Cela est écrit.....Que cela s'accomplisse.Mes salutations tikalo.
Invité- Invité
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