sous l'ombre de ton univers
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sous l'ombre de ton univers
Entre tes deux seins aquifères naquît le mal;
Au cœur des rocs,de mystérieuses naïades t’avaient baptisée Souriante éternelle,
Et puis tes chaînes, tes veines figeaient le sang,
et le temps qui refusèrent de couler , de draguer les peines,
Sur tes talus, des pâquerettes, des coquelicots jalousèrent la rougeur au seuil de ton firmament.
Une fraîcheur couvrait l’aire des délices, berçait le crépuscule des vieux amants .
Le vent de l’Est, soufflait très fort, arrachait mes rêves, déracinait ma naissance ;
L’amandier refusa de fleurir, des larmes chaudes silencieuses à plein sens.
Affleurement de soupirs sur tes flancs, elle empoisonnait mes ruelles ;
Sous les yeux de corbeaux, de huppes apatrides me tenaient tes cheveux rebelles.
Au pied de tes monts, se cachaient des mots doux , de l’écume et un prénom de bohémien,
Des doigts, tremblant, en ardeur dégageaient des flocons de neige atténuant le mal d’aimer ,juste après la floraison de l’olivier, qui refuse de rendre l’âme avant qu’il neigera sur ma ville, avant que le dégel montrera les crevasses où dégoulinera l’eau bénite par tes pleurs ,par tes joies qui fera remonter le temps et la sève ,envahira tes phloèmes pour enfin mourir sous ton ombre,écoutant tes feuilles chanter mon départ,loin ,loin dans tes cieux ,au plus profond de ton univers,delà je pourrais t’aimer ,et tu m’offriras des « cris en t’aime »tous les vendredis.
Au cœur des rocs,de mystérieuses naïades t’avaient baptisée Souriante éternelle,
Et puis tes chaînes, tes veines figeaient le sang,
et le temps qui refusèrent de couler , de draguer les peines,
Sur tes talus, des pâquerettes, des coquelicots jalousèrent la rougeur au seuil de ton firmament.
Une fraîcheur couvrait l’aire des délices, berçait le crépuscule des vieux amants .
Le vent de l’Est, soufflait très fort, arrachait mes rêves, déracinait ma naissance ;
L’amandier refusa de fleurir, des larmes chaudes silencieuses à plein sens.
Affleurement de soupirs sur tes flancs, elle empoisonnait mes ruelles ;
Sous les yeux de corbeaux, de huppes apatrides me tenaient tes cheveux rebelles.
Au pied de tes monts, se cachaient des mots doux , de l’écume et un prénom de bohémien,
Des doigts, tremblant, en ardeur dégageaient des flocons de neige atténuant le mal d’aimer ,juste après la floraison de l’olivier, qui refuse de rendre l’âme avant qu’il neigera sur ma ville, avant que le dégel montrera les crevasses où dégoulinera l’eau bénite par tes pleurs ,par tes joies qui fera remonter le temps et la sève ,envahira tes phloèmes pour enfin mourir sous ton ombre,écoutant tes feuilles chanter mon départ,loin ,loin dans tes cieux ,au plus profond de ton univers,delà je pourrais t’aimer ,et tu m’offriras des « cris en t’aime »tous les vendredis.
Abdellah Louaradi- Nombre de messages : 148
loisirs : lecture,randonneés
Humeur : nostalgique
Date d'inscription : 11/06/2011
Re: sous l'ombre de ton univers
Serait-ce toi ce Robinson cherchant ton vendredi de l'Amour?
Seul sur ton île de tristesse tu chantes en morne troubadour,
Ainsi tu imagines en ton esprit la vue d'une inaccessible étoile,
Celle-là même que tu voudrais peindre au centre de ta toile.
Il ne te reste plus qu'à oser mettre une réalité à cette fiction.
Bien à toi Abdellah Louaradi.
Seul sur ton île de tristesse tu chantes en morne troubadour,
Ainsi tu imagines en ton esprit la vue d'une inaccessible étoile,
Celle-là même que tu voudrais peindre au centre de ta toile.
Il ne te reste plus qu'à oser mettre une réalité à cette fiction.
Bien à toi Abdellah Louaradi.
Invité- Invité
Re: sous l'ombre de ton univers
le mal/plaisir d'aimer qui se fusionnent jusqu'au frisson des cœurs
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
Re: sous l'ombre de ton univers
Merci,à Celui qui sait:
cette toile existait déjà,ces lieux,cet olivier,tout était réel,charnel et sensuel,mais le temps et la raison morale l'ont métamorphosé en fiction ,pour s'échapper aux affres ,au mal d'aimer.
merci Rita,oui les corps les coeurs envahis frissonnèrent par fusion ,par scission sans cet état de transe les mots refuseraient d'émerger pour peupler l'île déserte.
Mes amitiés
cette toile existait déjà,ces lieux,cet olivier,tout était réel,charnel et sensuel,mais le temps et la raison morale l'ont métamorphosé en fiction ,pour s'échapper aux affres ,au mal d'aimer.
merci Rita,oui les corps les coeurs envahis frissonnèrent par fusion ,par scission sans cet état de transe les mots refuseraient d'émerger pour peupler l'île déserte.
Mes amitiés
Abdellah Louaradi- Nombre de messages : 148
loisirs : lecture,randonneés
Humeur : nostalgique
Date d'inscription : 11/06/2011
Re: sous l'ombre de ton univers
de la naissance à la mort,
l'amour est une dimension
des plus importantes dans la vie...
l'amour est une dimension
des plus importantes dans la vie...
Re: sous l'ombre de ton univers
qui ne croit au mythe de l'amour ?
il s'agit toujours de la recherche d'un amour absolu qui resterait constant malgré le temps et les détails du quotidien.
il s'agit toujours de la recherche d'un amour absolu qui resterait constant malgré le temps et les détails du quotidien.
nisrine nacer- Nombre de messages : 1044
Date d'inscription : 09/09/2008
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