LA SIRENE (Aana Louise Camara)
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LA SIRENE (Aana Louise Camara)
Autant croire que seule traversant l'Atlantique
Vers ces pays barbares où l'enfer est blanc le chien le meilleur compagnon
De froideur tu frissonnes
S'étendre là-dessus n'en vaut peut étre pas la peine
Quand surgit du fond des ténèbres dévorant sous les ponts ceux qui les abris fuient
Septentrion déversant des colonies d'oiseaux dans les bras des rivages émerveillés
Jouvencelle du soleil portrait du sahel jaillissant des aquarelles du Midi
Edifiant le temps refléchissant l'Harmattan
Dieu a crée une seule femme et c'est bien toi toute autre à une goutte de sang de toi
Déjà brulent de courir sur le velours de ta peau criblée d'étoiles
Mes doigts coursiers persans que l'espérance meurtris
Tambourinant nerveusement d'apres coups de sabot du sol
A forer une source avalant la sésheresse à l'hrizon profilant
Tu es reine de partout
Des seins d'ébène au contour doré des épaules
A la courbe du dos à la cascade des reins
A la petite échanchancrure enchantée des fesses obscures pourvoyeuses de mystérieuses voluptés
Aux merveilleuses ballades de la nature offrant autant desséchant
Le lit de la rivière pourpre qui coule du nombril de la lune
Vers ces pays barbares où l'enfer est blanc le chien le meilleur compagnon
De froideur tu frissonnes
S'étendre là-dessus n'en vaut peut étre pas la peine
Quand surgit du fond des ténèbres dévorant sous les ponts ceux qui les abris fuient
Septentrion déversant des colonies d'oiseaux dans les bras des rivages émerveillés
Jouvencelle du soleil portrait du sahel jaillissant des aquarelles du Midi
Edifiant le temps refléchissant l'Harmattan
Dieu a crée une seule femme et c'est bien toi toute autre à une goutte de sang de toi
Déjà brulent de courir sur le velours de ta peau criblée d'étoiles
Mes doigts coursiers persans que l'espérance meurtris
Tambourinant nerveusement d'apres coups de sabot du sol
A forer une source avalant la sésheresse à l'hrizon profilant
Tu es reine de partout
Des seins d'ébène au contour doré des épaules
A la courbe du dos à la cascade des reins
A la petite échanchancrure enchantée des fesses obscures pourvoyeuses de mystérieuses voluptés
Aux merveilleuses ballades de la nature offrant autant desséchant
Le lit de la rivière pourpre qui coule du nombril de la lune
sheex- Nombre de messages : 17
Date d'inscription : 21/03/2008
Re: LA SIRENE (Aana Louise Camara)
Si reine sensuelle m'était contée... Si la reine habitait l'arène - de mes sentiments, si le corps était un refuge et l'amour un firmament... les amoureux ne seraient plus infirmes...amants
chevalier- Nombre de messages : 37
loisirs : écrire des romans, manger de la choucroute
Humeur : douce & patiente, nerveuse et active
Date d'inscription : 01/04/2008
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