hésitations
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hésitations
Sur mes rives improbables tu t’es posée
La brume t’enveloppait, sur tes lèvres une douce rosée.
Témoignent un château, des bouleaux et des ombres volatiles ;
Des spectres, des madones exilées prêchent néant et péril.
Sur mes rives infiniment loin, tu as osé,
Me couvrir de ténèbres, ta blancheur, ta sueur éthérée m’arrosaient.
Ton arbre, ton érable m’ombrageaient atténuant la flemme,
Ton château, bleu, hexagonal emprisonnait mon âme.
Pauvre oiseau aptère, ignorait son chemin, son destin passé,
Pris ,épris dans les ancrages, plumes et chants entrelacés.
Ô Dieux du Nord !des vagues hésitent, râlent, mes mots agonisent,
Des marins embrassaient le vide, et l’absence noire et asymétrique s’éternise.
Sur mes rives se croisent les maux, les eaux et les flots d’antan ;
vers tes rives je nagerai,arriverai mort de t’avoir aimé tant ,à ton dix huitième printemps.
La brume t’enveloppait, sur tes lèvres une douce rosée.
Témoignent un château, des bouleaux et des ombres volatiles ;
Des spectres, des madones exilées prêchent néant et péril.
Sur mes rives infiniment loin, tu as osé,
Me couvrir de ténèbres, ta blancheur, ta sueur éthérée m’arrosaient.
Ton arbre, ton érable m’ombrageaient atténuant la flemme,
Ton château, bleu, hexagonal emprisonnait mon âme.
Pauvre oiseau aptère, ignorait son chemin, son destin passé,
Pris ,épris dans les ancrages, plumes et chants entrelacés.
Ô Dieux du Nord !des vagues hésitent, râlent, mes mots agonisent,
Des marins embrassaient le vide, et l’absence noire et asymétrique s’éternise.
Sur mes rives se croisent les maux, les eaux et les flots d’antan ;
vers tes rives je nagerai,arriverai mort de t’avoir aimé tant ,à ton dix huitième printemps.
Abdellah Louaradi- Nombre de messages : 148
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