Solitudes irradiées

L'enfance aurait-elle été volée?
Souvenirs amers, lancinants....

tamima a écrit:

Je m’enrubanne aux soleils
Qui cristallisent ton nom
Solitudes irradiées de mes laines

J’en dresse l’épitaphe millénaire
Au carrefour de ta présence
Sur ce lieu même
Où je naquis
De mémoire
D’enfance

cri en vers et contre tout silence.

Tamima bravo! "sur ce lieu même " et tout le poème est disposé de sorte qu'il indique le lieu( une flèche), ça c'est fort !!! merci à vous...

rychar a écrit:L'enfance aurait-elle été volée?
Souvenirs amers, lancinants....

l'enfant en nous ne grandit jamais vraiment
merci rychard du partage
bisou

reem rawane a écrit:

tamima a écrit:

Je m’enrubanne aux soleils
Qui cristallisent ton nom
Solitudes irradiées de mes laines

J’en dresse l’épitaphe millénaire
Au carrefour de ta présence
Sur ce lieu même
Où je naquis
De mémoire
D’enfance

cri en vers et contre tout silence.

contre le silence, dans lesbras de la lumière
la nostalgie fleurit telle une rivière.

fayssalium a écrit:Tamima bravo! "sur ce lieu même " et tout le poème est disposé de sorte qu'il indique le lieu( une flèche), ça c'est fort !!! merci à vous...

superbe commentaire, fond et forme au service des pensés ......merci pour le partage

Un écrit qui comme ton regard pose interrogation,
Des mots qui se donnent comme une indexation,
Vers une autre valeur de référence liée à l'enfance,
Toute existence se veut être un chemin d'alternance.

Bise Miss tamina.

Quand tu écris "J'en dresse"
Tu veux dire "tendresse"...

celui qui sait a écrit:Un écrit qui comme ton regard pose interrogation,
Des mots qui se donnent comme une indexation,
Vers une autre valeur de référence liée à l'enfance,
Toute existence se veut être un chemin d'alternance.

Bise Miss tamina.

de la porte des questions passe mon coeur
sans craindre franchir le seuil des leurres
les réponses, soleils éphémère
vont, viennent traçant les jours en ombres et lumières.

Eschyle a écrit:Quand tu écris "J'en dresse"
Tu veux dire "tendresse"...

une version qui me plait
vers ni sillons ni plaie
juste des petits maux en forme de mots !

tout mot,toute lettre ne sont que fragments de son nom .
toutes les ruelles tous les chemins n'étaient que sa présence dans ton beau poème.
merci pour ce

Abdellah Louaradi a écrit:tout mot,toute lettre ne sont que fragments de son nom .
toutes les ruelles tous les chemins n'étaient que sa présence dans ton beau poème.
merci pour ce

commentaire en mots tendrement partagés:suis touchée.

C'est fort et léger et tendre et lourd au coeur qu'une "laine" ne parvient pas à réchauffer.
Dans la beauté des mots se trouve la vibration qui peut venir à bout des cristallisations.

Carmen

l'enfance est un soleil
qui au matin se réveille
sur plaines de son origine
puis coure sur les traces qu'elle imagine
quand ses yeux déposés l'horizon surveillent

amitiés poétiques
Tikalo