Se leva Sacha

Se leva Sacha

Au sain matin d ‘un jeune jour se leva Sacha
Au pied d’un coussin écarlate de folles tendresses
Il fit frémir d’envie soudaine ma première ivresse
De vouloir l’éveiller surpris à un amour délicat

De ses yeux je ne vis que la lumière d’une aura
Où se mêlaient des lèvres pleines de hardiesse
Qui dansaient sur un concerto plein de finesse
Liant un crescendo d’amour sur nos premiers pas

De son cœur enjoué je devins un redouté Attila
Je conquis chaque jour les merveilles de sa richesse
De son fastueux corps, ravagé de multiples caresses
Aucun répit ne fit taire le désordre qu’il insuffla

L’ondulation dansante de son corps m’ensorcela
Dans des instants de désirs démesurés sans paresse
J’écoutais son âme palpitante geindre en délicatesse
Aux pulsions déferlantes que mon cœur lui greffa.
☼₣€

Attila fait frémir les ondulations, fait danser le corps de sa sacha, les deux font palipter les mots !

Amour, flotte dans tes matins
Comme un miracle
L’amour d’un coup de bonheur
Touche ton cœur par ses lueurs
Naît alors une aube nouvelle...