Mes espoirs se referment sur des rêve

Le sommeil m’embrasse, je ne veux plus rien voir,
Tout m’ennuie, où êtes-vous gens de mes espoirs ?
La joie n’est donc plus l’élue de mon cœur !
Mon être n’est plus ce fringant baroudeur !

Mes yeux se ferment sans volonté de voir,
La vue de la vie vaut-elle encore une vision ?
De mon futur je sens le présent d’un soir,
Où le cafardeux sera un éternel compagnon.

Mes espoirs se referment sur des rêves,
Des songes de joie sans lendemain,
Où tout petit je me sens inutile,
Car mon bien-être craint ces flammeroles qui rutilent.

Il ne faut jamais sombrer dans la résignation,même si à certains moments le doute nous envahit...qui sommes nous? que voulons nous vraiment?
il nous appartient de répondre à ces deux questions fondamentales....

rychar a écrit:Il ne faut jamais sombrer dans la résignation,même si à certains moments le doute nous envahit...qui sommes nous? que voulons nous vraiment?
il nous appartient de répondre à ces deux questions fondamentales....

Mon vol devient sans force et sans vigueur,
Ai-je comme Icare forcé le destin ?
Le fard de mes ailes s’est éteint
Le sol va capturer un obsolète planeur !

Bien à vous Richard & MERCI POUR LE PARTAGE

roby a écrit:

rychar a écrit:Il ne faut jamais sombrer dans la résignation,même si à certains moments le doute nous envahit...qui sommes nous? que voulons nous vraiment?
il nous appartient de répondre à ces deux questions fondamentales....

Mon vol devient sans force et sans vigueur,
Ai-je comme Icare forcé le destin ?
Le fard de mes ailes s’est éteint
Le sol va capturer un obsolète planeur !

Bien à vous Richard & MERCI POUR LE PARTAGE

Lorsque les ailes se portent plus, la marche s'impose. Un autre regard sur le monde, un regard nouveau ... et qui sait permettant de voir ce qui n'était perceptile depuis les cieux ?

au fil des mots a écrit:

Lorsque les ailes se portent plus, la marche s'impose. Un autre regard sur le monde, un regard nouveau ... et qui sait permettant de voir ce qui n'était perceptile depuis les cieux ?

Ma volonté a été grignotée par la tristesse,
Tristesse d’un désir de la vie en tendresse.
Sensible du cœur pour elle, déesse de ma joie !
Elle m’a oublié et je l’ai regretté tant de fois.

benjamin-j-m a écrit:

au fil des mots a écrit:

Lorsque les ailes se portent plus, la marche s'impose. Un autre regard sur le monde, un regard nouveau ... et qui sait permettant de voir ce qui n'était perceptible depuis les cieux ?

Ma volonté a été grignotée par la tristesse,
Tristesse d’un désir de la vie en tendresse.
Sensible du cœur pour elle, déesse de ma joie !
Elle m’a oublié et je l’ai regretté tant de fois.

La perte de moi, je n’en peux plus,
Léthargie de mon être, mes forces me lâchent,
Le naufrage d’une vie sans panache,
Une nausée profonde, le bonheur n’est plus !
(Bon retour fileuse des mots)

benjamin-j-m a écrit:

au fil des mots a écrit:

Lorsque les ailes se portent plus, la marche s'impose. Un autre regard sur le monde, un regard nouveau ... et qui sait permettant de voir ce qui n'était perceptile depuis les cieux ?

Ma volonté a été grignotée par la tristesse,
Tristesse d’un désir de la vie en tendresse.
Sensible du cœur pour elle, déesse de ma joie !
Elle m’a oublié et je l’ai regretté tant de fois.

Ne pas confondre pas un désir de vie en tendresse avec ce même désir partagé avec une personne en particulier.
Ce besoin de partage ne devait pas ou plus se faire avec cette personne, cela ne signifie pas pour autant qu'il ne puisse être assouvi par une autre.
Le passé est mort, on ne retient pas un fantôme. Le deuil d'une relation prend du temps , mais doit tout de même se faire.
Amicalement

roby a écrit:

benjamin-j-m a écrit:

au fil des mots a écrit:

Lorsque les ailes se portent plus, la marche s'impose. Un autre regard sur le monde, un regard nouveau ... et qui sait permettant de voir ce qui n'était perceptible depuis les cieux ?

Ma volonté a été grignotée par la tristesse,
Tristesse d’un désir de la vie en tendresse.
Sensible du cœur pour elle, déesse de ma joie !
Elle m’a oublié et je l’ai regretté tant de fois.

La perte de moi, je n’en peux plus,
Léthargie de mon être, mes forces me lâchent,
Le naufrage d’une vie sans panache,
Une nausée profonde, le bonheur n’est plus !
(Bon retour fileuse des mots)

Lorsque ton regard se pose sur les pertes, fais un tour sur toi, ainsi il regardera les promesses à venir .... un temps pour panser les blessures, le suivant pour vivre .
Bises

au fil des mots a écrit:
Lorsque ton regard se pose sur les pertes, fais un tour sur, ainsi il regardera les promesses à venir... un temps pour panser les blessures, le suivant pour vivre .
Bises

Ressac d'images aux multiples sons,
Vague notion de qui est moi,
Dans les ténèbres, mon esprit à sa maison,
En quête d'une image d'un pourquoi!
Tout un plaisir de partager avec toi AFDM

roby a écrit:Ressac d'images aux multiples sons,
Vague notion de qui est moi,
Dans les ténèbres, mon esprit à sa maison,
En quête d'une image d'un pourquoi!
Tout un plaisir de partager avec toi AFDM

Plaisir partagé !
C'est étrange, mais les réponses qui m'ont le plus allégé le coeur dans les jours de pluie, sont celles que je n'ai pas comprises . Alors que je suis, de par nature, très carthésienne, aimant particulièrement mettre du sens partout.

au fil des mots a écrit:

Plaisir partagé !
C'est étrange, mais les réponses qui m'ont le plus allégé le coeur dans les jours de pluie, sont celles que je n'ai pas comprises . Alors que je suis, de par nature, très carthésienne, aimant particulièrement mettre du sens partout.

Je désire aimer, aimer de tout mon être,
Sentir mon corps s'animer de plaisir,
Voir vibrer le coeur du tendre désir!
Tendresse, douceur, amour, venez en moi renaître!

Tristesse enveloppe mon coeur,
De mes yeux ne sort aucun pleur,
Sécheresse des larmes, le moral tourne la page,
Un équilibre rompu, la mer cherche sa plage!

Pluies, vents et tornades
Pleurez sur mon cœur
Pleurez sur mon âme
Pluie, vents et tornades
J'ai mal au cœur
J'ai mal à l'âme