Poème (deuxième exquisse)

C'est scission voulue entre ton corps et ton esprit,
Un voyage dans ce que tu n'as point encore appris,
C'est le propre de l'homme que de vouloir s'évader,
Car le mental s'octroie le droit de pouvoir se balader.

Salutas ami Yèfi.

j'aime ce rythme d'un poète rebelle. mais qui aime la vie

celui qui sait a écrit:C'est scission voulue entre ton corps et ton esprit,
Un voyage dans ce que tu n'as point encore appris,
C'est le propre de l'homme que de vouloir s'évader,
Car le mental s'octroie le droit de pouvoir se balader.

Salutas ami Yèfi.

Bien vu mon ami.
Salutas Marquis

salwa jaafar a écrit:j'aime ce rythme d'un poète rebelle. mais qui aime la vie

Merci Salwa pour ces doux mots
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Yéfi

yefimia a écrit:Poème (deuxième exquise)

Le mot atteignit la fin de l’univers,
Dans la flamme de soleil et la force humaine.
Les mondes et les fleurs,
Disparaissent à la vitesse du vent,
Et moi, j’apprends toujours à lire.
Je regarde, écoute et j’écris,
Gardant certains jours dans la mémoire.
Je gaspille avec rythme l’expression de la passion,
Je traduis l’amour en passant sous le ciel,
Et je crois en rêves de Jules Verne,
Pressentiments de Kafka, les sonnets de Homère,
Oui, je vote pour la liberté de l’homme et oiseaux.

Y.

Bonsoir très cher Yéfi,

Excellente seconde esquisse,
N'ayant pas lu la première, je me régale de celle-ci... hihihi...
Tout va trop vite, nous n'avons pas le temps, d'apprécier chaque seconde,
Et pfffffffffffftttttttttttt, ça y est, on passe à autre chose, trop court ce temps, pas de laps pour l'apprécier à sa juste et tellement agréable valeur,
Alors gardons une part de rêve et de philosophie de vie, ça c'est intègre, et interne à nos cœurs, et c'est inaltérable, inquantifiable, et tellement indispensable, que si vulnérable... donc volons au fil de l'air en Hommes libres, et au fil de nos plumes en poètes dévolus.

Bisou

Béa

miss Béa a écrit:

yefimia a écrit:Poème (deuxième exquise)

Le mot atteignit la fin de l’univers,
Dans la flamme de soleil et la force humaine.
Les mondes et les fleurs,
Disparaissent à la vitesse du vent,
Et moi, j’apprends toujours à lire.
Je regarde, écoute et j’écris,
Gardant certains jours dans la mémoire.
Je gaspille avec rythme l’expression de la passion,
Je traduis l’amour en passant sous le ciel,
Et je crois en rêves de Jules Verne,
Pressentiments de Kafka, les sonnets de Homère,
Oui, je vote pour la liberté de l’homme et oiseaux.

Y.

Bonsoir très cher Yéfi,

Excellente seconde esquisse,
N'ayant pas lu la première, je me régale de celle-ci... hihihi...
Tout va trop vite, nous n'avons pas le temps, d'apprécier chaque seconde,
Et pfffffffffffftttttttttttt, ça y est, on passe à autre chose, trop court ce temps, pas de laps pour l'apprécier à sa juste et tellement agréable valeur,
Alors gardons une part de rêve et de philosophie de vie, ça c'est intègre, et interne à nos cœurs, et c'est inaltérable, inquantifiable, et tellement indispensable, que si vulnérable... donc volons au fil de l'air en Hommes libres, et au fil de nos plumes en poètes dévolus.

Bisou

Béa

Béa,
la lumière peut traverser de longues distances au-dessus de l'eau sombre. Imagine que la lumière s'éloigne ou s'approche de toi.
Dans la lumière, tu trouveras aussi bien tes amis que tes ennemis.
Bisous
Yéfi