vain écrit...

Poète une nuit devint
L’écrivain :
Par huit ou douze pieds il parvint
A faire entendre ses cris vains…
C’est ce qu’il crut quand l’écrit vint…
Combien de cœurs a-t-il épris,
Vingt ?
Ou peut-être moins ?
Combien essuyé de mépris ?
Sans doute plus…

gep

Va donc savoir Gepetto si les mots ne sont point en réalité que maux,
Un gribouillage de notre esprit sur le comprit et notre incomprit,
Le poête écrit surtout pour lui-même avant d'écrire pour autrui,
Ainsi les écrits sont des métaphores de raisonnements ANOMAUX.

Bien à toi Gepetto.

gepetto a écrit:Poète une nuit devint
L’écrivain :
Par huit ou douze pieds il parvint
A faire entendre ses cris vains…
C’est ce qu’il crut quand l’écrit vint…
Combien de cœurs a-t-il épris,
Vingt ?
Ou peut-être moins ?
Combien essuyé de mépris ?
Sans doute plus…

gep

jus de maux jeux de mots
j'ai eu un plaisir à vous relire gepetto.

les cris ne sont jamais vains
et l'écrit est divin
sous votre plume que j'ai eu le plaisir de parcourir
merci pour le partage.

un retour qui ancre le pont et retisse les liens.

amitiés grand gepeto.

bon retour à notre ami et notre modérateur.
tout mot est message et lien.
gardons donc nos mots et nos liens

Le jour vient, immanquablement, où l'écrivain se demande si ses écrits valent la peine qu'il se donne
,,,,mais le joie de jongler avec les mots, leurs sonorités, leur rythme, rend les contraintes légères.
Un plaisir, toujours, de vous lire.
Carmen

ravie de ta réapparition gepetto.

merci vous tous et vous toutes
d'avoir entendu les "cris" et les doutes
de mon intérieur et son for...
Votre oreille est mon réconfort...

je vous aime

Gep

gepetto a écrit:Poète une nuit devint
L’écrivain :
Par huit ou douze pieds il parvint
A faire entendre ses cris vains…
C’est ce qu’il crut quand l’écrit vint…
Combien de cœurs a-t-il épris,
Vingt ?
Ou peut-être moins ?
Combien essuyé de mépris ?
Sans doute plus…

gep

Bonsoir mon Gépi,

Sans doute n'as-tu pas émis d'écrits vains...
Peut-être n'as-tu convaincu que certains,
Mais tu es dans nos cœurs encore et encore
Et ne te dévalorise pas, tu y as une place en or !...

L'écrivain en toi est bien à sa place
Il entretient en ta plume toute la grâce,
Et demain, il surgira une nouvelle force
Qui décuplera tes intuitions poétiques en écorce... :
Bois d'un nouvel arbre, celui qui égraine les mots
Nonchalamment élaboré par ton charme
Ton écriture en doux calame
En fil d'écriture et tout tout sans rature,
Tu es ici, pour moi, pour tous, sans exception,
De notre jeu de tarot le principal atout...





Missette bybiche