L'éternité d'un instant…
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L'éternité d'un instant…
L'éternité d'un instant…
Les amants, allongés, lascifs, dans l'herbe printanière,
Au plaisir simple d'exister, s'invitent sans manière,
Leurs corps alanguis, baignés d'un rayon de lumière.
Chargés des richesses de la terre, coule la rivière.
Les peupliers, verts tendre, frissonnent sous la brise.
Autour des amants, s'agite tout un monde en crise.
Les boutons d'or illuminent la prairie et séduisent
Papillons, abeilles et libellules qui les dévalisent.
Dame cygne, dans sa robe vaporeuse, attends un signe
De son timide prétendant tout surpris d'en être digne.
Non loin de là, deux pies, d'impatiences, trépignent.
Un vieux matou, imperturbable, au soleil, se résigne.
Sur les berges, croassent les grenouilles tapageuses.
Invisible, dans le ciel, chante une alouette amoureuse.
Dans l'air parfumé flottent les promesses précieuses
D'une nature féconde, dispendieuse mais généreuse.
A leur bonheur, les amants grisés par ce débordement
S'abandonne à la caresse majestueuse du Printemps,
A la ferveur de leur amour, à leurs désirs naissants.
Pour eux rien d'autre, que l'éternité de cet instant.
Les amants, allongés, lascifs, dans l'herbe printanière,
Au plaisir simple d'exister, s'invitent sans manière,
Leurs corps alanguis, baignés d'un rayon de lumière.
Chargés des richesses de la terre, coule la rivière.
Les peupliers, verts tendre, frissonnent sous la brise.
Autour des amants, s'agite tout un monde en crise.
Les boutons d'or illuminent la prairie et séduisent
Papillons, abeilles et libellules qui les dévalisent.
Dame cygne, dans sa robe vaporeuse, attends un signe
De son timide prétendant tout surpris d'en être digne.
Non loin de là, deux pies, d'impatiences, trépignent.
Un vieux matou, imperturbable, au soleil, se résigne.
Sur les berges, croassent les grenouilles tapageuses.
Invisible, dans le ciel, chante une alouette amoureuse.
Dans l'air parfumé flottent les promesses précieuses
D'une nature féconde, dispendieuse mais généreuse.
A leur bonheur, les amants grisés par ce débordement
S'abandonne à la caresse majestueuse du Printemps,
A la ferveur de leur amour, à leurs désirs naissants.
Pour eux rien d'autre, que l'éternité de cet instant.
Re: L'éternité d'un instant…
kris55 a écrit:L'éternité d'un instant…
Les amants, allongés, lascifs, dans l'herbe printanière,
Au plaisir simple d'exister, s'invitent sans manière,
Leurs corps alanguis, baignés d'un rayon de lumière.
Chargés des richesses de la terre, coule la rivière.
Les peupliers, verts tendre, frissonnent sous la brise.
Autour des amants, s'agite tout un monde en crise.
Les boutons d'or illuminent la prairie et séduisent
Papillons, abeilles et libellules qui les dévalisent.
Dame cygne, dans sa robe vaporeuse, attends un signe
De son timide prétendant tout surpris d'en être digne.
Non loin de là, deux pies, d'impatiences, trépignent.
Un vieux matou, imperturbable, au soleil, se résigne.
Sur les berges, croassent les grenouilles tapageuses.
Invisible, dans le ciel, chante une alouette amoureuse.
Dans l'air parfumé flottent les promesses précieuses
D'une nature féconde, dispendieuse mais généreuse.
A leur bonheur, les amants grisés par ce débordement
S'abandonne à la caresse majestueuse du Printemps,
A la ferveur de leur amour, à leurs désirs naissants.
Pour eux rien d'autre, que l'éternité de cet instant.
Bonjour Christian,
Quel dommage que de laisser ce doux poème en faune et flores arrivant,
J'adooooooore ma lecture , c'est tendre au gré du vent et léger comme le printemps ;
>Tout simplement, un moment en émotion tendre...
Béa
miss Béa- Nombre de messages : 3641
loisirs : mes enfants, écrire, tv, amis...
Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: L'éternité d'un instant…
kris55 a écrit:L'éternité d'un instant…
Les amants, allongés, lascifs, dans l'herbe printanière,
Au plaisir simple d'exister, s'invitent sans manière,
Leurs corps alanguis, baignés d'un rayon de lumière.
Chargés des richesses de la terre, coule la rivière.
Les peupliers, verts tendre, frissonnent sous la brise.
Autour des amants, s'agite tout un monde en crise.
Les boutons d'or illuminent la prairie et séduisent
Papillons, abeilles et libellules qui les dévalisent.
tout en émotion
en te lisant
merci de ce beau moment poétique...
Dame cygne, dans sa robe vaporeuse, attends un signe
De son timide prétendant tout surpris d'en être digne.
Non loin de là, deux pies, d'impatiences, trépignent.
Un vieux matou, imperturbable, au soleil, se résigne.
Sur les berges, croassent les grenouilles tapageuses.
Invisible, dans le ciel, chante une alouette amoureuse.
Dans l'air parfumé flottent les promesses précieuses
D'une nature féconde, dispendieuse mais généreuse.
A leur bonheur, les amants grisés par ce débordement
S'abandonne à la caresse majestueuse du Printemps,
A la ferveur de leur amour, à leurs désirs naissants.
Pour eux rien d'autre, que l'éternité de cet instant.
josy- Nombre de messages : 377
Humeur : arc en ciel
Date d'inscription : 21/02/2011
Re: L'éternité d'un instant…
miss Béa a écrit:kris55 a écrit:L'éternité d'un instant…
Les amants, allongés, lascifs, dans l'herbe printanière,
Au plaisir simple d'exister, s'invitent sans manière,
Leurs corps alanguis, baignés d'un rayon de lumière.
Chargés des richesses de la terre, coule la rivière.
Les peupliers, verts tendre, frissonnent sous la brise.
Autour des amants, s'agite tout un monde en crise.
Les boutons d'or illuminent la prairie et séduisent
Papillons, abeilles et libellules qui les dévalisent.
Dame cygne, dans sa robe vaporeuse, attends un signe
De son timide prétendant tout surpris d'en être digne.
Non loin de là, deux pies, d'impatiences, trépignent.
Un vieux matou, imperturbable, au soleil, se résigne.
Sur les berges, croassent les grenouilles tapageuses.
Invisible, dans le ciel, chante une alouette amoureuse.
Dans l'air parfumé flottent les promesses précieuses
D'une nature féconde, dispendieuse mais généreuse.
A leur bonheur, les amants grisés par ce débordement
S'abandonne à la caresse majestueuse du Printemps,
A la ferveur de leur amour, à leurs désirs naissants.
Pour eux rien d'autre, que l'éternité de cet instant.
Bonjour Christian,
Quel dommage que de laisser ce doux poème en faune et flores arrivant,
J'adooooooore ma lecture , c'est tendre au gré du vent et léger comme le printemps ;
>Tout simplement, un moment en émotion tendre...
Béa
Je vois mon Amie, que tu as compris le bonheur de cet instant ressenti, aux côtés de l'aimé, en toute simplicité, à profiter du Printemps.... que du Bonheur!
Merci pour ton passage Miss Béa!
bonne journée à toi
Christian
Re: L'éternité d'un instant…
josy a écrit:kris55 a écrit:L'éternité d'un instant…
Les amants, allongés, lascifs, dans l'herbe printanière,
Au plaisir simple d'exister, s'invitent sans manière,
Leurs corps alanguis, baignés d'un rayon de lumière.
Chargés des richesses de la terre, coule la rivière.
Les peupliers, verts tendre, frissonnent sous la brise.
Autour des amants, s'agite tout un monde en crise.
Les boutons d'or illuminent la prairie et séduisent
Papillons, abeilles et libellules qui les dévalisent.
tout en émotion
en te lisant
merci de ce beau moment poétique...
Dame cygne, dans sa robe vaporeuse, attends un signe
De son timide prétendant tout surpris d'en être digne.
Non loin de là, deux pies, d'impatiences, trépignent.
Un vieux matou, imperturbable, au soleil, se résigne.
Sur les berges, croassent les grenouilles tapageuses.
Invisible, dans le ciel, chante une alouette amoureuse.
Dans l'air parfumé flottent les promesses précieuses
D'une nature féconde, dispendieuse mais généreuse.
A leur bonheur, les amants grisés par ce débordement
S'abandonne à la caresse majestueuse du Printemps,
A la ferveur de leur amour, à leurs désirs naissants.
Pour eux rien d'autre, que l'éternité de cet instant.
Merci Josy!
je peux te le dire la nature est belle...
encore plus belle au Printemps...
encore plus belle quand on partage de tels instants avec la personne que l'on aime....
tout simplement, sans prétention et que l'on touche un instant de bonheur pure...
Merci pour ton passage Josy!
je te souhaite une bonne journée
Chriatian
Re: L'éternité d'un instant…
Le printemps n'est-ce pas la saison privilégiée des amants ? tout dans ton poème le dit, le chante, le crie, le sussure, le confie.
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: L'éternité d'un instant…
TITEFEE a écrit:Le printemps n'est-ce pas la saison privilégiée des amants ? tout dans ton poème le dit, le chante, le crie, le sussure, le confie.
Merci Amie Poètesse
Désolé pour mon silence.
Merci pour ton passage et ton joli commentaire
J'espère que le printemps se déroule bien pour toi
Amicales pensées
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