Etés de sable

M.N’excuse ni le vert, ni l’envers, ni le papier, ni les vers.
J’attendais une réponse à des lignes qui d’un ami n’ont rappelé que l’éphémère. J’ai appelé à la raison ma déraison dans ma maison en toute saison et à foison,… Les pensées de l’insensé n’ont rien rappelé.

Myosotis pensée
Des rêveurs
Aimant les étoiles
Sous la lune
Rieurs
Dans leur joie
Songeur
Dans leur peine
Y demeurant loin du soleil
Qui éclaire soudain
Leur nuit après le jour
Ephémère
Entourée de tes senteurs
Gourmandise des cœurs affamés
Ivres
s’oubliant jamais blâmés
Ô fleur !
Offre ta rosée opportune pour
Vivre
Souveraine des raisons
entre ces mots et un cœur
sans saison.

Alybmustagh qui se relie pour réecrire et repartir sur des lignes déja blanchies par la poussière.

Les mots comme le temps, le sable,
Qui entre nos doigts nous fuient,
Comme les jours filant à toute allure,
Laissant ses traces a
A fond des pages enfouies
Dont la face ne ressent
Que brûlure du cœur du poète.
...
MERCI pour le partage

Othman-Miftahi a écrit:Les mots comme le temps, le sable,
Qui entre nos doigts nous fuient,
Comme les jours filant à toute allure,
Laissant ses traces a
A fond des pages enfouies
Dont la face ne ressent
Que brûlure du cœur du poète.
...
MERCI pour le partage

Le vent dispersa
Mes idées
Avec leur sable
Le vent sema
Mes étoiles et leur fables
Le vent se brisa
Sur mes lumières
Et le matin frissonna
Sans leur souffle qui ne pardonna
A ma voix
d'avoir tracé ses maux sur les dunes
de la vie.

Merci pour les grains de sables qui ont illuminé la solitude de ma nuit.

Alybmustagh

mots frissonnants
sous maux
les syllabes graines de lien
poussent plus loin
que la rive du départ
elles voyagent
audelà de toute frontière

d'un grand regard le poète couvre sa pensée
et l'ouvre pour nous

salwa jaafar a écrit:mots frissonnants
sous maux
les syllabes graines de lien
poussent plus loin
que la rive du départ
elles voyagent
audelà de toute frontière

Souhaitant une vie entière
Les yeux fixés sur les horizons
En toute saison
Des voyages au bout des rivages
Souhaitant qu'aucun mauvais présage
Ne vienne arrêter les départs
Sur les lignes fleuries par les graines de tes paysages.

Alybmustagh qui te souhaite plein d'arrivées qui ne sont que nouveaux départs

oumayma étoile a écrit:d'un grand regard le poète couvre sa pensée
et l'ouvre pour nous

En porte ouverte
A tous les horizons offerte
Pour que les yeux
Avant le coeur
Chantent ce qui la pensée enchante
Fleuries par les graines de tes paysages
Semées à jamais avec le vent ce que j'ai aimé.

Alybmustagh à O.Etoile qui à sa pensée ne met de voile.

que les mots foisonnent
sous l'encre affamée à l'écriture

mes amitiés

Et l’on se dit
Dans les moments d'écriture
C’est pourtant le coeur qui se livre

Au plaisir de vous relire.Mes salutations

bel enchainement
j'ai retenu vivre

Laurent jacob a écrit:que les mots foisonnent
sous l'encre affamée à l'écriture

mes amitiés

"Sous l'encre affamée à l'écriture"
N'est-ce pas l'ancre qui éloigne de la pourriture
N'est-ce pas le velour qui ranime le toucher
Le coucher de soleil
Qui les yeux emerveille
Comme vos mots qui éclairent ma nuit quand je veille

Alybmustagh qui vous remercie pour ces lettres vermeille

eric bourgeois a écrit:Et l’on se dit
Dans les moments d'écriture
C’est pourtant le coeur qui se livre

Au plaisir de vous relire.Mes salutations

"C’est pourtant le coeur qui se livre"
La pensée étant ivre
D'avoir parcourru les sentiers
sinueux des mots
Trop vaporeux
Pour ressentir la réalité
Et en faire des parterres nuageux
Où le coeur se verrait abrité seul ou à deux

Alybmustagh qui avec vos mots prend envie de se livrer

sympatique a écrit:bel enchainement
j'ai retenu vivre

Vivre c'est survivre avec


« Ce regard loin si loin encore
Je croyais en lui c’était fort
Une beauté sans ride
Retraçant un regard avide
D’où viennent ces couleurs
Une ressemblance à ma terre
Tu te rappelles
Ces saisons qui étaient belles
Sont passées les années
Ton temps, sans passion
Partagé en deux entre eux, les dits amoureux
Des tons, des couleurs et du vert
Tu me donnes je prends
Que veux- tu , je sens
Je sais que tu ne mens »

Tel fut le plaisir de mon voyage
Qui n’a pas d’âge à travers tes lignes
qui de mon insomnie sont le signe qui m’emmène
Au loin sur tes vagues sans que mon esprit
De son envie de relire de détache
Mon cœur lui promet l’éternelle attache
A tes mots et sans relâche.

Alybmustagh « Immobile , mais en tout sens … erre » sur les traces de tes horizons

ce fut plaisir de passer sur ta page
elle ouvre son rivage
et invite au partage

merci du plaisir

magda a écrit:ce fut plaisir de passer sur ta page
elle ouvre son rivage
et invite au partage

merci du plaisir

"Elle ouvre son rivage"

Laissant la pensée se délasser
A l'écume des vagues
Cette histoire perpetuelle
qui nargue
L'eternelle errance passée
Enfouie dans des horizons bleutés
Oû le coeur et la raison se voyaient fêtés
Oubliant l'instant
Le sable à la main
Grains d'espoirs qui s'appellent demain

Alybmustagh dont le matin est beau ,ce sont tes mots

La maladie poétique
Textuellement transmissible
Ce credo romantique
Au parfum excitant
Pousse au partage
Au delà des frontières !

cristopher-cris a écrit:La maladie poétique
Textuellement transmissible
Ce credo romantique
Au parfum excitant
Pousse au partage
Au delà des frontières !

Sauf-conduit des errances
Que l'esprit paie en rimes
Cette dime avec laquelle nous partimes
Voyageurs heureux à travers les horizons poétiques
Ce portique que le coeur avant l'esprit indique.

Alybmustagh qui ne peut se passer de romantique

tous les poèmes ne se lisent pas,
ils se chantent légèrement sans faux pas

merci pour le partage

jeanne rené a écrit:tous les poèmes ne se lisent pas,
ils se chantent légèrement sans faux pas

merci pour le partage

Que souhaiter de plus
Lire ou entendre chanter
Les mots enchantés
Ceux avec qui les sens se voient fêtés
Même si la pensée fait des fois L'entêtée

Alybmustagh dont les pas sont devenus légers à suivre vos trace pour vous lire

les mots te font confiance,
se laisse charmer et explorer,
pour notre plaisir .
Amicalement.

julien a écrit:les mots te font confiance,
se laisse charmer et explorer,
pour notre plaisir .
Amicalement.

Ta confiance a donné à mes lignes
Envie de repartir
Heureuses en toute enfance
Sans pour autant hair
au présent leurs rides
Qui sont pour nos yeux un plaisir

Merci pour ton passage et excuse si c'est seulement aujourd'hui que je te lis

alybmustagh a écrit:
Sauf-conduit des errances
Que l'esprit paie en rimes
Cette dime avec laquelle nous partimes
Voyageurs heureux à travers les horizons poétiques
Ce portique que le coeur avant l'esprit indique.

Alybmustagh qui ne peut se passer de romantique

ahh qui peut vraiment se passer de romantisme !