FIN DE VOYAGE
2 participants
Page 1 sur 1
FIN DE VOYAGE
FIN DE VOYAGE
Tout ce qui a cessé, deviendra l’éternité,
L’ombre fugitive, l’arbre qui perdure.
Eveillé sous son nom qu’il ressuscite,
La main avec fleurs, le sang enchaîné.
Le voyage finira, resteront les montagnes,
Silencieuses, et le néant gris qui divaguera.
Un lieu qui n’a pas son lieu dans le désir,
Offrant le mal pour sauver, découvre la vérité.
Ce que vous priez s’appelle Triste Rossignole.
Je sais, l’amour ne finira jamais, mais ;
Qu’y a t’il humain dans la souffrance,
Qu’y a t’il inhumain dans la mort ?
Oh, écoute ! Le nouveau jour s’énonce,
Mes les étoiles immobiles restent figées.
Les mains vides, le cœur vide, l’ombre paumée,
Et il n’y a plus de moi, mai il y a mon amour.
Que se cache t’il au fond d’un beau poème,
Le même don peut être le jour ou la nuit douce?
Ô lointain de rêve où la musique s’épanouie,
Protége moi de cette roche, aveugle et froide.
L’amour cuit de l’œil, tromperie tremblante,
Fais que je demeure dans un lieu propre,
Où le mot a la valeur du destin et de conscience,
Où les ombres sont somptueuses et les choses petites.
Comment s’appelle le temps avant qu’on soit né,
Dans l’espoir des autres et dans l’embrasement ?
Sous la terre finira tout ce qui avait commencé,
Tout ce qui c’est passé, deviendra l’éternité.
Il n’y a pas de moi mai il y a mon amour,
Je le vois dans le soleil, sous la terre où nous pourrirons.
Le jour s’assumera dans sa grande gratitude,
Tel la musique, tel le vide, tel la quiétude.
Rien de plus…
Tout ce qui a cessé, deviendra l’éternité,
L’ombre fugitive, l’arbre qui perdure.
Eveillé sous son nom qu’il ressuscite,
La main avec fleurs, le sang enchaîné.
Le voyage finira, resteront les montagnes,
Silencieuses, et le néant gris qui divaguera.
Un lieu qui n’a pas son lieu dans le désir,
Offrant le mal pour sauver, découvre la vérité.
Ce que vous priez s’appelle Triste Rossignole.
Je sais, l’amour ne finira jamais, mais ;
Qu’y a t’il humain dans la souffrance,
Qu’y a t’il inhumain dans la mort ?
Oh, écoute ! Le nouveau jour s’énonce,
Mes les étoiles immobiles restent figées.
Les mains vides, le cœur vide, l’ombre paumée,
Et il n’y a plus de moi, mai il y a mon amour.
Que se cache t’il au fond d’un beau poème,
Le même don peut être le jour ou la nuit douce?
Ô lointain de rêve où la musique s’épanouie,
Protége moi de cette roche, aveugle et froide.
L’amour cuit de l’œil, tromperie tremblante,
Fais que je demeure dans un lieu propre,
Où le mot a la valeur du destin et de conscience,
Où les ombres sont somptueuses et les choses petites.
Comment s’appelle le temps avant qu’on soit né,
Dans l’espoir des autres et dans l’embrasement ?
Sous la terre finira tout ce qui avait commencé,
Tout ce qui c’est passé, deviendra l’éternité.
Il n’y a pas de moi mai il y a mon amour,
Je le vois dans le soleil, sous la terre où nous pourrirons.
Le jour s’assumera dans sa grande gratitude,
Tel la musique, tel le vide, tel la quiétude.
Rien de plus…
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
Re: FIN DE VOYAGE
Que de questions ainsi posées en les méandres de ton seul esprit,
Que de questions ainsi posées sur nos inconnus,sur le point apprit,
Un nouvel horizon se profile qui méne vers une autre destination,
Une autre dimension où l'Âme se verra ceindre de la rédemption,
Laisses à l'éphémère la vague scélérate de toutes ses incertitudes,
La paix sera en un paradis déposes y l'havresac de tes lassitudes.
Amitié Yéfi.......Ton écrit mérite mes éloges.
Que de questions ainsi posées sur nos inconnus,sur le point apprit,
Un nouvel horizon se profile qui méne vers une autre destination,
Une autre dimension où l'Âme se verra ceindre de la rédemption,
Laisses à l'éphémère la vague scélérate de toutes ses incertitudes,
La paix sera en un paradis déposes y l'havresac de tes lassitudes.
Amitié Yéfi.......Ton écrit mérite mes éloges.
Invité- Invité
Re: FIN DE VOYAGE
celui qui sait a écrit:Que de questions ainsi posées en les méandres de ton seul esprit,
Que de questions ainsi posées sur nos inconnus,sur le point apprit,
Un nouvel horizon se profile qui méne vers une autre destination,
Une autre dimension où l'Âme se verra ceindre de la rédemption,
Laisses à l'éphémère la vague scélérate de toutes ses incertitudes,
La paix sera en un paradis déposes y l'havresac de tes lassitudes.
Amitié Yéfi.......Ton écrit mérite mes éloges.
Tu sais mon ami, ce poème j’ai commencé à l’écrire il y a trois mois et dans un état très sombre, las. Et j’y ai mis beaucoup d’ancre, nuits sans sommeil, l’incertitude et même de la peur. Depuis, les choses vont mieux, alors j’ai décidé de le finir comme ça sans plus.
Oui la vie est éphémère, la santé fragile, l’avenir incertain. Mais l’amour, il est éternel et en lui je crois. J’ai finalement appris d’aimer vraiment, chaque instant de la vie commencent par le petit sourire de Nini au petit déjeuner. Il n’y a plus de temps à perdre, il faut vivre et aimer.
Ton ami Yéfi
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
Re: FIN DE VOYAGE
L'Amour est le sens même donné à la vie,
Et si à l'éphémère nous sommes asservis,
Il nous fut donné de résonner par l'esprit,
C'est la clef qui ouvre la porte du non appris.
Bonjour à dame Nini(grosse bise du Marquis).
La Marquise fut trés touchée par ta rose d'or et elle t'en remercie.
Salutas ami Yéfi.
Et si à l'éphémère nous sommes asservis,
Il nous fut donné de résonner par l'esprit,
C'est la clef qui ouvre la porte du non appris.
Bonjour à dame Nini(grosse bise du Marquis).
La Marquise fut trés touchée par ta rose d'or et elle t'en remercie.
Salutas ami Yéfi.
Invité- Invité
Re: FIN DE VOYAGE
Salut Yefi,
Quel bond en avant dans ton style
depuis mon départ dans ce méditatif exil.
Je suis très agréablement surpris
et te lire devient soudain si limpide.
J'avoue qu'au début, il y a de ça bientôt 3 ans,
tes vers étaient abruptes, confus, sombres
et tes pensées difficiles à saisir. A présent,
tout s'écoule, fluide et sort de la pénombre.
Que du bonheur l'ami...
Bien entendu, la tourmente ne t'a pas quitté,
on la retrouve qui ère au milieu de tes vers,
mais quelque chose de nouveau vient nous faire la lumière
sur ta grande sensibilité.
L'ombre de la grande faucheuse plane toujours par là,
Le véritable sens de notre passage sur la terre
qui se fini toujours poussière
Les montagnes et l'immobilité de l'éternité qui contemplent notre ridicule séjour terrestre...
Et l'amour qui enflamme la vie, déjoue la mort et le moi comme unique et inévitable raison de notre existence.
Ravi de voir que tu es toujours là...
Bien à toi
Jeaf
Quel bond en avant dans ton style
depuis mon départ dans ce méditatif exil.
Je suis très agréablement surpris
et te lire devient soudain si limpide.
J'avoue qu'au début, il y a de ça bientôt 3 ans,
tes vers étaient abruptes, confus, sombres
et tes pensées difficiles à saisir. A présent,
tout s'écoule, fluide et sort de la pénombre.
Que du bonheur l'ami...
Bien entendu, la tourmente ne t'a pas quitté,
on la retrouve qui ère au milieu de tes vers,
mais quelque chose de nouveau vient nous faire la lumière
sur ta grande sensibilité.
L'ombre de la grande faucheuse plane toujours par là,
Le véritable sens de notre passage sur la terre
qui se fini toujours poussière
Les montagnes et l'immobilité de l'éternité qui contemplent notre ridicule séjour terrestre...
Et l'amour qui enflamme la vie, déjoue la mort et le moi comme unique et inévitable raison de notre existence.
Ravi de voir que tu es toujours là...
Bien à toi
Jeaf
Jeaf- Nombre de messages : 129
Date d'inscription : 14/04/2008
Re: FIN DE VOYAGE
Jeaf a écrit:Salut Yefi,
Quel bond en avant dans ton style
depuis mon départ dans ce méditatif exil.
Je suis très agréablement surpris
et te lire devient soudain si limpide.
J'avoue qu'au début, il y a de ça bientôt 3 ans,
tes vers étaient abruptes, confus, sombres
et tes pensées difficiles à saisir. A présent,
tout s'écoule, fluide et sort de la pénombre.
Que du bonheur l'ami...
Bien entendu, la tourmente ne t'a pas quitté,
on la retrouve qui ère au milieu de tes vers,
mais quelque chose de nouveau vient nous faire la lumière
sur ta grande sensibilité.
L'ombre de la grande faucheuse plane toujours par là,
Le véritable sens de notre passage sur la terre
qui se fini toujours poussière
Les montagnes et l'immobilité de l'éternité qui contemplent notre ridicule séjour terrestre...
Et l'amour qui enflamme la vie, déjoue la mort et le moi comme unique et inévitable raison de notre existence.
Ravi de voir que tu es toujours là...
Bien à toi
Jeaf
Eh oui mon ami je suis toujours là par l’amitié pour certains personnes qui savent apprécier
la poésie écrite avec le cœur et l’âme. J’essaye toujours de progresser dans mes écriture et de me renouveler. Selon toi, on dirait que j’arrive à le faire. En tous cas merci pour tes mots gentils et sache que ta poésie aussi m’a manqué sur ce site.
A bientôt j’espère.
Amitiés
Yefim
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum