Devant le clavier
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papillon11
Muriel Jammes
6 participants
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Devant le clavier
Devant son clavier, il pourrait lui dire
Des mots bien tendres, mais il n'ose;
Et puis voudrait-elle les entendre ?
Alors il lui parle d'autre chose.
Devant son écran, elle y prend plaisir,
Se demandant si un jour il serait tenté
De lui écrire ce qu'il aimerait tant lui dire;
Alors elle fait comme si de rien n'était.
Devant son clavier, il lui écrit: " Ma douce,
J'ai tellement d'amour dans le cœur,
Pour toi, mon ange, mais j'ai la frousse,
Aide-moi un peu, ma petite sœur ! "
Devant son écran, elle lit ses mots tendres,
Elle aimerait tellement pouvoir lui dire...
Au fond de son cœur un nid pour s'étendre,
Au fond de son corps, un lit d'où ne plus revenir...
Ils savent très bien, lui tout comme elle,
Que ce sentiment fort qui les rassemble
Va au -delà d'une amitié vraie et fidèle;
Ils se sentent tellement heureux ensemble.
Ils savent aussi, elle tout comme lui,
Combien il peut être difficile de vivre,
Quand la vie est ailleurs aujourd’hui,
Tous ces moments où ce sentiment vibre.
Et pourtant ils sont toujours là,
Lui pour elle comme elle pour lui,
Ils continueront à s'aimer,
Et cela c'est un vrai miracle.
Devant son clavier, elle lui écrit ce soir :
" Mon ange si tu savais combien tu me manquais,
J’ai cru t’avoir perdu, ne pouvoir te revoir,
Ne plus pouvoir te dire je t’aime à tout jamais."
Des mots bien tendres, mais il n'ose;
Et puis voudrait-elle les entendre ?
Alors il lui parle d'autre chose.
Devant son écran, elle y prend plaisir,
Se demandant si un jour il serait tenté
De lui écrire ce qu'il aimerait tant lui dire;
Alors elle fait comme si de rien n'était.
Devant son clavier, il lui écrit: " Ma douce,
J'ai tellement d'amour dans le cœur,
Pour toi, mon ange, mais j'ai la frousse,
Aide-moi un peu, ma petite sœur ! "
Devant son écran, elle lit ses mots tendres,
Elle aimerait tellement pouvoir lui dire...
Au fond de son cœur un nid pour s'étendre,
Au fond de son corps, un lit d'où ne plus revenir...
Ils savent très bien, lui tout comme elle,
Que ce sentiment fort qui les rassemble
Va au -delà d'une amitié vraie et fidèle;
Ils se sentent tellement heureux ensemble.
Ils savent aussi, elle tout comme lui,
Combien il peut être difficile de vivre,
Quand la vie est ailleurs aujourd’hui,
Tous ces moments où ce sentiment vibre.
Et pourtant ils sont toujours là,
Lui pour elle comme elle pour lui,
Ils continueront à s'aimer,
Et cela c'est un vrai miracle.
Devant son clavier, elle lui écrit ce soir :
" Mon ange si tu savais combien tu me manquais,
J’ai cru t’avoir perdu, ne pouvoir te revoir,
Ne plus pouvoir te dire je t’aime à tout jamais."
Muriel Jammes- Nombre de messages : 196
loisirs : vivre
Humeur : mi-figue mi-raisin
Date d'inscription : 02/11/2010
Re: Devant le clavier
bonjour
un qui fleure bon le vécu
merci
belle journée
alain
un qui fleure bon le vécu
merci
belle journée
alain
papillon11- Nombre de messages : 436
loisirs : balade , musique , photo
Humeur : bonne
Date d'inscription : 06/02/2011
Re: Devant le clavier
L'amour parfois nait devant un écran, on tisse des mots sur le clavier,mais la passion s'étiole qui a besoin de contacts...
rychar- Nombre de messages : 5906
loisirs : écriture, vélo,musique,
Humeur : rêveur
Date d'inscription : 17/03/2010
Re: Devant le clavier
le virtuel fait partie de notre quotidien
gaffe à ne pas en devenir accroc !!!!
gaffe à ne pas en devenir accroc !!!!
Laurent jacob- Nombre de messages : 296
Date d'inscription : 27/02/2011
Re: Devant le clavier
merci à vous pour le partage.papillon11 a écrit:bonjour
un qui fleure bon le vécu
merci
belle journée
alain
Muriel Jammes- Nombre de messages : 196
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Date d'inscription : 02/11/2010
Re: Devant le clavier
les mots, misérables chaînes de caractères sur un écran,rychar a écrit:L'amour parfois nait devant un écran, on tisse des mots sur le clavier,mais la passion s'étiole qui a besoin de contacts...
peuvent servir à véhiculer les sentiments illusion !
merci pour le partage.
Muriel Jammes- Nombre de messages : 196
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Date d'inscription : 02/11/2010
Re: Devant le clavier
faire gaffe...Laurent jacob a écrit:le virtuel fait partie de notre quotidien
gaffe à ne pas en devenir accroc !!!!
ça vient comme ça vient !
on craque pour des mots, un profile.....
Muriel Jammes- Nombre de messages : 196
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Date d'inscription : 02/11/2010
Re: Devant le clavier
"Et pourtant ils sont toujours là,
Lui pour elle comme elle pour lui,
Ils continueront à s'aimer,
Et cela c'est un vrai miracle."
Elle était lui
Il était elle
Ils étaient deux
Elle était dieu
Il était seul
Il s’en allait vers le sud
Elle remontait vers le nord
Ils allaient seul leur chemin
Elle revenait transparente de gaieté
Elle descendait vibrante d’allégresse
Il remontait les bras chargés de sourires
Il revenait le dos courbé sous les fou-rires
Ils s’oubliaient à deux
Elle était deux
Il était dieu
Elle était seule
Ils ne pensaient pas à eux
On les connaissait
Elle rentrait chez elle
Il rentrait chez chez-lui
Ils rentraient chez-eux
Ils vivaient pour deux
Ils accrochaient au mur
Elle ses rires ses sourires
Lui sa gaieté son allégresse
Il lui ôtait son monde
Elle lui remettait le sien
Elle écoutait les chutes de ses plaintes
Ils ramassait les perles de ses pleurs
Ils se retrouvaient seuls
Il le savait
Elle le connaissait
Elle apaisait son silence
Il adoucissait sa solitude
On les connaissait
On les racontait
Ils pensaient à deux
Ils étaient seuls
Ils sont deux
Ils le sentaient
Elle le taisait
Il le murmurait
On les racontait
On ne les connaissait pas
Ils étaient un
Ils étaient seuls
Ils étaient deux
Ils n’était pas dieux .
Lui pour elle comme elle pour lui,
Ils continueront à s'aimer,
Et cela c'est un vrai miracle."
Elle était lui
Il était elle
Ils étaient deux
Elle était dieu
Il était seul
Il s’en allait vers le sud
Elle remontait vers le nord
Ils allaient seul leur chemin
Elle revenait transparente de gaieté
Elle descendait vibrante d’allégresse
Il remontait les bras chargés de sourires
Il revenait le dos courbé sous les fou-rires
Ils s’oubliaient à deux
Elle était deux
Il était dieu
Elle était seule
Ils ne pensaient pas à eux
On les connaissait
Elle rentrait chez elle
Il rentrait chez chez-lui
Ils rentraient chez-eux
Ils vivaient pour deux
Ils accrochaient au mur
Elle ses rires ses sourires
Lui sa gaieté son allégresse
Il lui ôtait son monde
Elle lui remettait le sien
Elle écoutait les chutes de ses plaintes
Ils ramassait les perles de ses pleurs
Ils se retrouvaient seuls
Il le savait
Elle le connaissait
Elle apaisait son silence
Il adoucissait sa solitude
On les connaissait
On les racontait
Ils pensaient à deux
Ils étaient seuls
Ils sont deux
Ils le sentaient
Elle le taisait
Il le murmurait
On les racontait
On ne les connaissait pas
Ils étaient un
Ils étaient seuls
Ils étaient deux
Ils n’était pas dieux .
alybmustagh- Nombre de messages : 149
Date d'inscription : 02/07/2010
Re: Devant le clavier
alybmustagh, poème pour poème
on dirait que l'âme coule le long de la plume
j'apprécie vos vers-commentaires.
on dirait que l'âme coule le long de la plume
j'apprécie vos vers-commentaires.
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: Devant le clavier
joli flotalybmustagh a écrit:"Et pourtant ils sont toujours là,
Lui pour elle comme elle pour lui,
Ils continueront à s'aimer,
Et cela c'est un vrai miracle."
Elle était lui
Il était elle
Ils étaient deux
Elle était dieu
Il était seul
Il s’en allait vers le sud
Elle remontait vers le nord
Ils allaient seul leur chemin
Elle revenait transparente de gaieté
Elle descendait vibrante d’allégresse
Il remontait les bras chargés de sourires
Il revenait le dos courbé sous les fou-rires
Ils s’oubliaient à deux
Elle était deux
Il était dieu
Elle était seule
Ils ne pensaient pas à eux
On les connaissait
Elle rentrait chez elle
Il rentrait chez chez-lui
Ils rentraient chez-eux
Ils vivaient pour deux
Ils accrochaient au mur
Elle ses rires ses sourires
Lui sa gaieté son allégresse
Il lui ôtait son monde
Elle lui remettait le sien
Elle écoutait les chutes de ses plaintes
Ils ramassait les perles de ses pleurs
Ils se retrouvaient seuls
Il le savait
Elle le connaissait
Elle apaisait son silence
Il adoucissait sa solitude
On les connaissait
On les racontait
Ils pensaient à deux
Ils étaient seuls
Ils sont deux
Ils le sentaient
Elle le taisait
Il le murmurait
On les racontait
On ne les connaissait pas
Ils étaient un
Ils étaient seuls
Ils étaient deux
Ils n’était pas dieux .
j'y flotte avec plaisir !
merci du partage
Muriel Jammes- Nombre de messages : 196
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Humeur : mi-figue mi-raisin
Date d'inscription : 02/11/2010
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