les Moribonds Nauséabonds

Un écrit saisissant sur les délaissés de la planète...Le pouvoir se moque des masses anonymes....
bonne journée

bonjour

un poème qui ne peux laisser indifférent
merci
belle journée
alain

la cruauté des humains entre eux, envers leurs semblables n'a pas de limite

[quote="rychar"]Un écrit saisissant sur les délaissés de la planète...Le pouvoir se moque des masses anonymes....
bonne journée[/quote
ami poète, rychar, merci de me lire, tu sais, la lecture d'un poète m'aide à faire face à la solitude géante... dans les enfers de ce monde qui n'a rien décidé jusqu'à maintenant!!!
said

papillon11 a écrit:bonjour

un poème qui ne peux laisser indifférent
merci
belle journée
alain

merci d'être venu sur ma page, ami poète Alain, je suis tellement ravi de votre passage et au plaisir de lire vos texte..

ahmed mazen a écrit:la cruauté des humains entre eux, envers leurs semblables n'a pas de limite

cher Ahmed, je suis ravi de votre passage, "les humains" c'est bien le "terme" convenable à ces être terribles...merci de me lire, de me comprendre..et au plaisir de vous découvrir...

L'Homme est un loup pour l'Homme.
Il a fait de ce monde un espace de violence et d'indifférence.
Je souhaite de tout coeur que les choses changent.
Amitiés
Ambre

-Ambre- a écrit:L'Homme est un loup pour l'Homme.
Il a fait de ce monde un espace de violence et d'indifférence.
Je souhaite de tout coeur que les choses changent.
Amitiés
Ambre

Merci de votre passage, poétesse AMBRE, votre commentaire fait bien signe de votre grandeur, alors je suis ravi de vous connaitre et ..au plaisir de lire vos textes.

SAID GOURRAME a écrit:Tout près des trésors impossibles, languissent
Recroquevillées, des créatures vaincues
En attendant la grâce, des seigneurs inconnus !
Et n’ayant que des coeurs dans leurs cœurs qui gémissent !
Elles couvrent de haillons leur amour déçu
Attendant la mort, pour venger le pain perdu
Elles traînent leurs corps à moitié moribonds
Qui se nourrissent de leurs corps nauséabonds !!!
Dévorés pourtant de charognards dodus
Vivant à leurs crochets, mais à leur insu !
Je ressens le désespoir de leurs pluies sèches
Je vois souffrir leur insistance de pieuvres
Et que chaudes ou froides, leurs prières de pauvres
Meurent, indifférentes, dans l’indifférence rêche
Grommelant comme des dieux délaissés
Parfois des prières…et souvent des injures !!!

l'homme c'est aussi cela..
à nous poète novices ou confirmés de crier

merci de le faire

amitiés

Dominique

Merci MONSIEUR, merci poète, ravi de vous entendre et ravi de vous lire...