Frôlement d'aile
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Momor
yann Venner
douceur
7 participants
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Frôlement d'aile
Frôlement d’aile…
Je navigue dans les brouillards du printemps
Qui dépérit d’être trop souhaité, sans mobile
Mes pensées cherchent le lien tendu de l’instant.
Je cueille ma solitude, un pas devant, refoulant mes cendres.
Dans une nuit étoilée, à vol d’oiseau, je pars sur les nuages
Refaire mes rêves et fermer les portes de ce grand isolement.
Au passage, dans un frôlement d’aile, je lacère l’écrin du ciel
Je survole toujours plus loin comme une feuille au vent
Je folâtre dans mon être et je me suspends au temps.
Dès l’aube, mes yeux s’alourdissent, ma tête devient chargée
Je respire le bonheur, j’ai oublié ce désert d’abandon
Je pose pieds sur glèbe, l’aube m’invite à ce jour naissant.
Au loin, j'ois la vie trépignante de la maisonnée
Les enfants s’abreuvent de la couleur du bonheur
Un bon café, sur la table posée, fume à ma renaissance.
Du coin de l’œil, chargés de rêves, j’invite les caresses du vent
Je dégarnis les histoires de la nuit, les étoiles se sont endormies
Dans le jour naissant, un frôlement d’aile, sous un rêve de bien-être.
Une caresse au passage, sur la joue des enfants, je dépose doucement
La tendresse d’un homme admirable, la pause du matin avec des rires
Dans la douceur familiale, un frôlement d’aile dans les céréales !
Je navigue dans les brouillards du printemps
Qui dépérit d’être trop souhaité, sans mobile
Mes pensées cherchent le lien tendu de l’instant.
Je cueille ma solitude, un pas devant, refoulant mes cendres.
Dans une nuit étoilée, à vol d’oiseau, je pars sur les nuages
Refaire mes rêves et fermer les portes de ce grand isolement.
Au passage, dans un frôlement d’aile, je lacère l’écrin du ciel
Je survole toujours plus loin comme une feuille au vent
Je folâtre dans mon être et je me suspends au temps.
Dès l’aube, mes yeux s’alourdissent, ma tête devient chargée
Je respire le bonheur, j’ai oublié ce désert d’abandon
Je pose pieds sur glèbe, l’aube m’invite à ce jour naissant.
Au loin, j'ois la vie trépignante de la maisonnée
Les enfants s’abreuvent de la couleur du bonheur
Un bon café, sur la table posée, fume à ma renaissance.
Du coin de l’œil, chargés de rêves, j’invite les caresses du vent
Je dégarnis les histoires de la nuit, les étoiles se sont endormies
Dans le jour naissant, un frôlement d’aile, sous un rêve de bien-être.
Une caresse au passage, sur la joue des enfants, je dépose doucement
La tendresse d’un homme admirable, la pause du matin avec des rires
Dans la douceur familiale, un frôlement d’aile dans les céréales !
douceur- Nombre de messages : 954
loisirs : poésie, lecture, camping
Humeur : sourire permanent
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Frôlement d'aile
La maisonnée qui s'éveille sous les doigts de la poétesse. Découverte des plaisirs simples, bruits, odeurs, sensations familières et riches de petits bonheurs. On frôle de nos ailes aussi ce partage de la vie familiale qui est un ilôt de tendresse en construction permanente
Re: Frôlement d'aile
Quelle belle atmosphère !
Momor- Nombre de messages : 413
loisirs : Fonctionnaire
Humeur : Bonne humeur
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: Frôlement d'aile
Frôlement d’aile…
Je navigue dans les brouillards du printemps
Qui dépérit d’être trop souhaité, sans mobile
Mes pensées cherchent le lien tendu de l’instant.
Je cueille ma solitude, un pas devant, refoulant mes cendres.
Dans une nuit étoilée, à vol d’oiseau, je pars sur les nuages
Refaire mes rêves et fermer les portes de ce grand isolement
Au passage, dans un frôlement d’aile, je lacère l’écrin du ciel
Je survole toujours plus loin comme une feuille au vent
Je folâtre dans mon être et je me suspends au temps.
Dès l’aube, mes yeux s’alourdissent, ma tête devient chargée
Je respire le bonheur, j’ai oublié ce désert d’abandon
Je pose pieds sur glèbe, l’aube m’invite à ce jour naissant.
Au loin, je vois la vie trépignante de la maisonnée
Les enfants s’abreuvent de la couleur du bonheur
Un bon café, sur la table posée, fume à ma renaissance.
Du coin de l’œil, chargés de rêves, j’invite les caresses du vent
Je dégarnis les histoires de la nuit, les étoiles se sont endormies
Dans le jour naissant, un frôlement d’aile, sous un rêve de bien-être.
Une caresse au passage, sur la joue des enfants, je dépose doucement
La tendresse d’un homme admirable, la pause du matin avec des rires
Dans la douceur familiale, un frôlement d’aile dans les céréales !
**
Frôlement de douceur à conter le bonheur
Dans le confort d’une maisonnée
Ou raisonne l’amour
Comme la brise matinale
Un frôlement de joiedevie, de plénitude qui se pose en tendresse sur les joues des enfants
Un plaisir de partager, cette joie, par lecture
Je navigue dans les brouillards du printemps
Qui dépérit d’être trop souhaité, sans mobile
Mes pensées cherchent le lien tendu de l’instant.
Je cueille ma solitude, un pas devant, refoulant mes cendres.
Dans une nuit étoilée, à vol d’oiseau, je pars sur les nuages
Refaire mes rêves et fermer les portes de ce grand isolement
Au passage, dans un frôlement d’aile, je lacère l’écrin du ciel
Je survole toujours plus loin comme une feuille au vent
Je folâtre dans mon être et je me suspends au temps.
Dès l’aube, mes yeux s’alourdissent, ma tête devient chargée
Je respire le bonheur, j’ai oublié ce désert d’abandon
Je pose pieds sur glèbe, l’aube m’invite à ce jour naissant.
Au loin, je vois la vie trépignante de la maisonnée
Les enfants s’abreuvent de la couleur du bonheur
Un bon café, sur la table posée, fume à ma renaissance.
Du coin de l’œil, chargés de rêves, j’invite les caresses du vent
Je dégarnis les histoires de la nuit, les étoiles se sont endormies
Dans le jour naissant, un frôlement d’aile, sous un rêve de bien-être.
Une caresse au passage, sur la joue des enfants, je dépose doucement
La tendresse d’un homme admirable, la pause du matin avec des rires
Dans la douceur familiale, un frôlement d’aile dans les céréales !
**
Frôlement de douceur à conter le bonheur
Dans le confort d’une maisonnée
Ou raisonne l’amour
Comme la brise matinale
Un frôlement de joiedevie, de plénitude qui se pose en tendresse sur les joues des enfants
Un plaisir de partager, cette joie, par lecture
Re: Frôlement d'aile
yann Venner
Momor
chère administratrice
merci a vous trois pour votre lecture sur ma poésie.
Je ne suis que débutante
mais je continue de m'instruire.
Ne vous gênez pas si vous avez des commentaires qui pourrait
améliorer ma poésie !
Momor
chère administratrice
merci a vous trois pour votre lecture sur ma poésie.
Je ne suis que débutante
mais je continue de m'instruire.
Ne vous gênez pas si vous avez des commentaires qui pourrait
améliorer ma poésie !
douceur- Nombre de messages : 954
loisirs : poésie, lecture, camping
Humeur : sourire permanent
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Frôlement d'aile
Tu es ton propre grain. "Poète, si tu cherches le grain où tu crois qu'il se trouve, tu n'as presque aucune chance de le trouver. Tu es ton propre grain, et le grain des autres n'est pas pour toi". Pierre REVERDY.
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec lui, mais c'est bien tranché !
Il faut avoir innée la puissance du rêve ; on éduque, on trenforce en soi celle de la pensée. Bien à toi.
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec lui, mais c'est bien tranché !
Il faut avoir innée la puissance du rêve ; on éduque, on trenforce en soi celle de la pensée. Bien à toi.
Re: Frôlement d'aile
douceur de mots
un vole de papillons
leger, doux, beau
merci pour le partage
un vole de papillons
leger, doux, beau
merci pour le partage
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Frôlement d'aile
chargé de rêves, j’invite les caresses de la lecture
à me déposer entre tes lignes
à me déposer entre tes lignes
firdaws- Nombre de messages : 930
Humeur : joie de vie !
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Frôlement d'aile
merci a vous tous de votre générosité ! :D
douceur- Nombre de messages : 954
loisirs : poésie, lecture, camping
Humeur : sourire permanent
Date d'inscription : 17/02/2008
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