Pissenlit

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Pissenlit

Sur le bord de la route,
Au bout de monde,
L’œil jaune de solitude.

Les pieds aveugles,
Ecrasent son cou,
Dans le ventre rocheux.

Les couds souterrains,
Tirent ses racines,
Vers le noir céleste.

La jambe levée de chien,
Se moque de petit bonhomme,
Avec son averse chaude.

Seul le regarde de promeneur,
Peut lui faire plaisir
Et se couche dans sa couronne.

C’est ainsi que le mégot se consume,
Sur la lèvre inférieure d’impuissance,
Quelque part au bout de monde.

Y.

un regard observateur et un cœur compatissant.
bien à vous yefimiya.

Merci Aaron
Amitiés
Yéfi

Un petit clin d'oeil à cette fleur sauvage sur laquelle le regard souvent ne s'attarde....pétales pourtant jaunes comme l'or....sourire

Oui, une pensée pour ceux sur qui souvent les regards des autres ne se posent pas.
L’indifférence !

Salutas mon ami

Yéfi