Langage muet

Langage muet

Pour libérer la nuit des sangles du matin
Il faut l'éternité d'un songe,
La douceur enchantée des flûtes de satin
Et si peu, presque rien, à peine un filigrane
Le langage muet d'un passé sibyllin.
Il faut les voix diaphanes
Quand l'astre transi se réchauffe
À la source où succombe une ardente pensée
Pourrait-on rêver mieux comme ultime lecture
Que le livre infini des lèvres qui tremblent de désir ?

L'amour, la paix pour l'accomplissement de l'âme et du corps....
douce matinée!

la voix de la mémoire, les souvenirs tracés sur le corps dans la fébrilité, y a de quoi s'inspirer .

rychar a écrit:L'amour, la paix pour l'accomplissement de l'âme et du corps....
douce matinée!

merci pour ce doux passage-commentaire
seul l'amour est douceur
il n'a pas besoin de mot pour s'exprimer

Bonjour Chayma,
Une lecture en suggestion, à peine audible et pourtant combien riche et appréciable.
Bonne fin de journée
Ambre

pas muet ce poème ...
entre les lignes chacun fait sa propre lecture

yazid anouar a écrit:la voix de la mémoire, les souvenirs tracés sur le corps dans la fébrilité, y a de quoi s'inspirer .

J’aimerai tellement exprimer mes sentiments,
J’aimerai tellement embrasser tendrement, l'horizon
Mes mots ne disent pas toutes mes émotions.

tamima a écrit:pas muet ce poème ...
entre les lignes chacun fait sa propre lecture

les mots véhiculent les émotions
et le lecture détecte ce qui le touche par compassion

Une lecture muette

idriss a écrit:Une lecture muette

bienvenue et merci (un peu tardive ma réponse)

un langage un peu recherché à mon goût, essayez de faire plus simple...

fayssalium a écrit:un langage un peu recherché à mon goût, essayez de faire plus simple...

bonjour
les mots viennent comme ils viennent.....et ils viennent si rarement que je ne leur refuse exil en moi !
merci pour votre lecture attentive.

chayma a écrit:Langage muet

Pour libérer la nuit des sangles du matin
Il faut l'éternité d'un songe,
La douceur enchantée des flûtes de satin
Et si peu, presque rien, à peine un filigrane
Le langage muet d'un passé sibyllin.
Il faut les voix diaphanes
Quand l'astre transi se réchauffe
À la source où succombe une ardente pensée
Pourrait-on rêver mieux comme ultime lecture
Que le livre infini des lèvres qui tremblent de désir ?

Tu es sous l'emprise de ce que je dirais être une endophasie,
Un langage intérieur qui t'est propre et que ton esprit autopsie,
C'est ainsi que notre égo souvent de notre moi porte analyse,
Quand à l'Amour il ne se maîtrise point......Mais il se canalise.(CQS).

Bise Miss chayma.