Le pouvoir ?

Le pouvoir
vient de se briser
par le courage
d'une foule
de liberté .


La force
se glisse
sur la toile
de la vie .

Les ombres
se sont envolées
sur des montagnes
d'or .

La misère
a gagnée
sur la honte ,
l'arrogance .

Mais ... Attention
la liberté
se cultive
jour après jour
sur des montagnes
de sourires ...

Dédié à la Tunisie levée

PLouzané le 17/01/2011 inédit

En espérant qu'une dictature ne succède pas à une autre...
Pour le moment l'espoir s'est levé, à savourer!

Alain LE ROUX a écrit:Le pouvoir
vient de se briser
par le courage
d'une foule
de liberté .


La force
se glisse
sur la toile
de la vie .

Les ombres
se sont envolées
sur des montagnes
d'or .

La misère
a gagnée
sur la honte ,
l'arrogance .

Mais ... Attention
la liberté
se cultive
jour après jour
sur des montagnes
de sourires ...

Dédié à la Tunisie levée

PLouzané le 17/01/2011 inédit

pour cette belle dédicace espérons tous que le peuple tunisien retrouvera sa liberté et sa voie

La dictature est une maladie où le peuple est aphone...
La démocratie est une maladie où le pouvoir est sourd...

Le poète -comme l'historien- fige les faits en mots et les relate pour garder la leçon aux suivants.

L’attente sans perspective finit par céder place à la révolte.
Le profond malaise social sur fond de crise politique fait face.

la crise qui se propage dans le Maghreb est d’abord révélatrice d’un profond malaise né de l’absence de politiques économiques et sociales capables de limiter les impacts néfastes des crises internationales successives qui ajoute à la détérioration continue du pouvoir d’achat, la flambée ininterrompue des prix, le chômage des jeunes, le manque de liberté …le soulèvement était inévitable.

Alain LE ROUX a écrit:
...
la liberté
se cultive
jour après jour
sur des montagnes
de sourires ...

Des vers courts libérés, en écho à la volonté d'un peuple qui démont(r)e des années de non-dits.
J'ai cité la chute réaliste et positive.
Une belle écriture.

La révolte contre l'injustice est aussi vieille que la conscience.

La liberté gémit sous le poids des armes qui l'oppriment, d'où la naissance de la révolte

... les vraies révolutions sont lentes et elles ne sont jamais sanglantes. Le sang, c'est toujours pour payer la hâte de quelques hommes ... pressés de jouer leur petit rôle.
" Jean Anouilh"

Si je ne me trompe point je pense que c'est l'ami Georges Brassens qui disait :
Qu'on ne détrônera jamais le roi des cons.

pleine de sagesse... bravo et merci , kim