La vie est un temps qui s'écoule

Tout s'écoule sur la vie
Parfois c'est froid, et souvent douloureux
Douloureux pour l'âme et la conscience

Le temps passe sans jamais se retourner
Il fuit et j'ai du mal à le rattraper
Je m'accroche à son coup de vent
Il me transporte fâcheusement

La vie est un temps qui s'écoule, souvent trop longtemps
Je l'ai vécue de part la colère
Qui s'est montrée comme une mère

La vie est comme la mer
Si belle et pourtant sauvage
Elle nous attire en son cœur, nous capture
Elle nous garde jalousement
Elle nous embrasse amoureusement
Elle nous désire passionnément
Et on finit par mourir tout doucement.

Bel écrit sur la vie qui résume bien tout....
Le soleil se lêve pour tous un jour, et puis finit par se coucher....
Au plaisir Linda....

J'ai déguster
J'ai dévoré
Cette vie qui passe

un
un regard sur le temps
merci du partage

benino

Alors,accordes-toi du temps un aparté,tu n'es point du Cid cette Chimène,
Laisses le souffle d'Eole le soin de t'emporter vers des terres inconnues,
L'existence est comme le vent on ne sait d'où elle vient ni où elle nous mène,
Nous demandons trop à la vie elle qui ne désire vivre qu'en son propre nu.

Bise Miss.

rychar a écrit:Bel écrit sur la vie qui résume bien tout....
Le soleil se lêve pour tous un jour, et puis finit par se coucher....
Au plaisir Linda....

c'était un cheminement de pensées,
qui n'a pas eu pouvoir de remplacer,
mes idées perturbantes présentes.
de plus en plus encombrantes.
par ces vibrations presque négatives

HENRY LE POETE a écrit:J'ai déguster
J'ai dévoré
Cette vie qui passe

bonjour le peintre.
j'apprécie ton appréciation
salutations

benino a écrit:un
un regard sur le temps
merci du partage

benino

un regard sur mon temps qui s'égare loin de la rage de mes rêves et mes attentes !
salutations & amitiés

celui qui sait a écrit:Alors,accordes-toi du temps un aparté,tu n'es point du Cid cette Chimène,
Laisses le souffle d'Eole le soin de t'emporter vers des terres inconnues,
L'existence est comme le vent on ne sait d'où elle vient ni où elle nous mène,
Nous demandons trop à la vie elle qui ne désire vivre qu'en son propre nu.

Bise Miss.

En cet océan de pensées
Sur les flots de ses déferlantes,
Dois-je compter toutes les vagues passées ?

Oh ! jours qui viennent mourir en grève.
Je ne vois que vous maintenant,
Sur le sable chacune de mes illusions crève.

bien à toi poète

linda a écrit:

celui qui sait a écrit:Alors,accordes-toi du temps un aparté,tu n'es point du Cid cette Chimène,
Laisses le souffle d'Eole le soin de t'emporter vers des terres inconnues,
L'existence est comme le vent on ne sait d'où elle vient ni où elle nous mène,
Nous demandons trop à la vie elle qui ne désire vivre qu'en son propre nu.

Bise Miss.

En cet océan de pensées
Sur les flots de ses déferlantes,
Dois-je compter toutes les vagues passées ?

Oh ! jours qui viennent mourir en grève.
Je ne vois que vous maintenant,
Sur le sable chacune de mes illusions crève.

bien à toi poète

Le passé et de par son propre passé trépassé,
Rien ne sert de le traîner comme un boulet,
Tout cordon ombilical se doit d'être laissé,
Alors,sur ce qui fut fermes donc les volets.

Bise Miss Linda.

celui qui sait a écrit:L'existence est comme le vent on ne sait d'où elle vient ni où elle nous mène,
Nous demandons trop à la vie elle qui ne désire vivre qu'en son propre nu.

Bise Miss.

J'adore cette reflexion si bien écrite et résumée

HENRY LE POETE a écrit:

celui qui sait a écrit:L'existence est comme le vent on ne sait d'où elle vient ni où elle nous mène,
Nous demandons trop à la vie elle qui ne désire vivre qu'en son propre nu.

Bise Miss.

J'adore cette reflexion si bien écrite et résumée

Merci HENRY LE POETE.........Mais je n'ai point grand mérite cela vient comme cela sans crier "gare".....Toujours un crayon et un calepin et cette habitude énerve la belle Marquise.

Pour la belle marquise
Tu n'en fait cas ta guise
N'oublie pas de lui faire une bise
Pour mieux qu'elle file

HENRY LE POETE a écrit:Pour la belle marquise
Tu n'en fait cas ta guise
N'oublie pas de lui faire une bise
Pour mieux qu'elle file

De ma personne,elle n'est jamais bien loin,
Me donnant son parfum comme réveil matin,
A ses effluves odorantes de fleurs de jasmin,
Je cours,je cours au moindre de ses besoins.

Sur le seuil de ta pensée
La porte entrebâillée
Vers la plainte
Tes es en deuil de quelque chose
Pour une âme déjà trépassée
Dans ton corps
Un soir de tourment
Le mot te sert d'évasion

Rita-kazem a écrit:Sur le seuil de ta pensée
La porte entrebâillée
Vers la plainte
Tes es en deuil de quelque chose
Pour une âme déjà trépassée
Dans ton corps
Un soir de tourment
Le mot te sert d'évasion

Le temps s'étire, chavire en ces jours nonchalants qu'un hiver ressuscite.
Son vertige indomptable agrippé à l'écho des jours, des cœurs, traverse les espoirs endommagés, se transmet fluide à travers les éclats de vie, le plein des sens, les sens abreuvés à la source des couleurs toujours vives des mots transfigurés.
Merci du partage

bonjour

un chemin de vie ,que l'on prend parfois pour un sentier
La vie c'est l'envie
un très
merci
belle journée
alain

linda a écrit:
Tout s'écoule sur la vie
Parfois c'est froid, et souvent douloureux
Douloureux pour l'âme et la conscience

Le temps passe sans jamais se retourner
Il fuit et j'ai du mal à le rattraper
Je m'accroche à son coup de vent
Il me transporte fâcheusement

La vie est un temps qui s'écoule, souvent trop longtemps
Je l'ai vécue de part la colère
Qui s'est montrée comme une mère

La vie est comme la mer
Si belle et pourtant sauvage
Elle nous attire en son cœur, nous capture
Elle nous garde jalousement
Elle nous embrasse amoureusement
Elle nous désire passionnément
Et on finit par mourir tout doucement.

ces lignes me font repenser à Pascal,
j'ai retrouvé son texte ( un fragment) et je pense interessant de le donner à lire;

"Nous ne nous tenons jamais au temps présent. Nous anticipons l'avenir comme trop lent à venir, comme pour hâter son cours, ou nous rappelons le passé pour l'arrêter comme trop prompt, si imprudents que nous errons dans des temps qui ne sont point nôtres, et ne pensons point au seul qui nous appartient, et si vains que nous songeons à ceux qui ne sont rien, et échappons sans réflexion le seul qui subsiste. C'est que le présent d'ordinaire
nous blesse. Nous le cachons à notre vue parce qu'il nous afflige, et s'il nous est agréable nous regrettons de le voir échapper. Nous tâchons de le soutenir par l'avenir, et pensons à disposer les choses qui ne sont pas en notre puissance pour un temps où nous n'avons aucune assurance d'arriver.

Que chacun examine ses pensées. Il les trouvera toutes occupées au passé ou à
l'avenir. Nous ne pensons presque point au présent, et si nous y pensons ce n'est que
pour en prendre la lumière pour disposer de l'avenir. Le présent n'est jamais notre fin.
Le passé et le présent sont nos moyens ; le seul avenir est notre fin. Ainsi
nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre, et,
nous disposant toujours à être heureux,
il est inévitable que nous ne le soyons jamais."


facile à dire mais dure à vivre si sagement
je partage cette perception sur le temps



Dominique

La vie est un océan sur lequel les vagues n'en font qu'à leur tête
Merci pour cette belle lecture
Ambre

papillon11 a écrit:bonjour

un chemin de vie ,que l'on prend parfois pour un sentier
La vie c'est l'envie
un très
merci
belle journée
alain

Un commentaire qui me ravie ...
La vie courte ou pas, on la marche à grand-pas, qui sont trop petits parfois

bdom94 a écrit:

ces lignes me font repenser à Pascal,
j'ai retrouvé son texte ( un fragment) et je pense interessant de le donner à lire;

"Nous ne nous tenons jamais au temps présent. Nous anticipons l'avenir comme trop lent à venir, comme pour hâter son cours, ou nous rappelons le passé pour l'arrêter comme trop prompt, si imprudents que nous errons dans des temps qui ne sont point nôtres, et ne pensons point au seul qui nous appartient, et si vains que nous songeons à ceux qui ne sont rien, et échappons sans réflexion le seul qui subsiste. C'est que le présent d'ordinaire
nous blesse. Nous le cachons à notre vue parce qu'il nous afflige, et s'il nous est agréable nous regrettons de le voir échapper. Nous tâchons de le soutenir par l'avenir, et pensons à disposer les choses qui ne sont pas en notre puissance pour un temps où nous n'avons aucune assurance d'arriver.

Que chacun examine ses pensées. Il les trouvera toutes occupées au passé ou à
l'avenir. Nous ne pensons presque point au présent, et si nous y pensons ce n'est que
pour en prendre la lumière pour disposer de l'avenir. Le présent n'est jamais notre fin.
Le passé et le présent sont nos moyens ; le seul avenir est notre fin. Ainsi
nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre, et,
nous disposant toujours à être heureux,
il est inévitable que nous ne le soyons jamais."


facile à dire mais dure à vivre si sagement
je partage cette perception sur le temps



Dominique

Bonjour Dominique, j'aime bien cette perception du temps, qui est très réaliste.

-Ambre- a écrit:La vie est un océan sur lequel les vagues n'en font qu'à leur tête
Merci pour cette belle lecture
Ambre

image qui me plait ! la vie-océan, on y navigue, on tangue, on y est périls constamment, naufragé, navigateur sans boussole...
le voyage nous prend vers un horizon indéterminé

La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que l'instant présent.
l'être humain à fait le choix de l'épreuve, pour lui et pour ses descendant il imagine et construit le bâton pour ce punir!! il juge son prochain plus durement que lui même !!! , sans cela la vie est un don merveilleux !

amina chami a écrit:La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que l'instant présent.
l'être humain à fait le choix de l'épreuve, pour lui et pour ses descendant il imagine et construit le bâton pour ce punir!! il juge son prochain plus durement que lui même !!! , sans cela la vie est un don merveilleux !

on ne vivra pas à jamais
on n'est fou, si on est seul
à parcourir les jours
sans amour
épuisé à chercher le bonheur

jongler entre passé et futur
tout en sachant que
le moment présent
est si précieux…
et
écrire
fait figer les moments et les sentiments, les pensées, et les humeurs...
le tout devient simple souvenir