L'AVENIR

Mon fils je t’aimais
Un coup d’épée tu m’as donné

Ma priorité c’était toi
Mes pensées n’étaient que pour toi
Nous vivions sous le même toit
Je ne t’ai jamais quitté une seule fois

En 1er tu passais pour mes achats
Les yaourts, les vêtements, les repas
J’ai toujours fait le 1er pas
Avec ta mère sans fard

Nous étions fusionnelles
J’en ai laissé ma belle
Pour que tu n’es plus de problèmes avec elle
Elle est partie à tire d’aile

A 17 ans tu voulais faire le grand
L’autorité tu la refusais complètement
J’ai du prendre des gans
Et le drame arriva avant

Confiance je devais
T’accordé sans rechigné
Alors que tu me trompais
Alors que tu nies

Elle t’avait monté contre moi
C n’était pas la 1ère fois
J’avais toujours été la dans C émois
Rien que pour toi

Pour des gifles donné
Un enfant battu tu étais
Aux yeux de la société
A la police j’ai été convoqué

Nous avons été séparés
Dans un foyer tu t’es retrouvé
Pour te protéger
Séparé de moi as tout jamais

Les éducateurs s’avaient parlé aux grands
Tu étais la pour un moment
Et toi tu étais partant
Tu pouvais faire comme les grands

Les gifles étaient éducation
La police avait posé C pions
Et j’avais eu une mention
Pour avoir t’avoir porté attention

Pendant C temps
Tu trompais les gens
Tu courais dans les champs
Volé des vêtements

Les éducateurs étaient patients
T’es copains du moment
Etaient des méchants
Le nez cassé tu as eu sans gan

Elle t’a récupérée
Pour mieux nous éloigné
Malade elle était
Pour ne pas t’éduquer

C que tu voulais
Tu le faisais
Déscolarisé tu étais
Alcoolisé tu dansais

En octobre tu es revenu
Le passé était tordu
Le présent était foutu
La confiance trop dure

Moi qui avais connu le bonheur
J’avais mal dans mon cœur
Je connaissais le malheur
D’avoir toujours peur

J’aurai de la chance
De te refaire confiance
Mais la malchance
Tenait la ditance

Reviendras tu un jour
Pour effacer pour toujours
C moment fou
Ou tu étais parti sans retour

Mon fils je t’AIME
Un coup d’épée tu m’as donné

La chair de nos chairs, sang de nos sangs...rude expèrience, plaie béante...courage à écrire....

que dire
?!
trop dure d'être parent...
surtout quand le couple est cassé et les enfants divisés entre les deux camps

rychar a écrit:La chair de nos chairs, sang de nos sangs...rude expèrience, plaie béante...courage à écrire....

Un moyen de couper le cordon ombilical!!!!

Merci Rychar

poète-papa le cœur se déchire pour la progéniture qui est en générale ingrate la plus part du temps

sandrine jillou a écrit: poète-papa le cœur se déchire pour la progéniture qui est en générale ingrate la plus part du temps

C peut être un bon moyen pour savoir C défendre dans C monde
C prendre pour un grand, commence par la 1er cigarette et ensuite par l'affrontement

Merci Sandrine

Trop dur, quand ton propre fils est tiraillé et envouté d'un côté,
je te souhaite bon courage, il faudra du temps, mais un enfant a toujours besoin de ses deux parents, il reviendra vers toi, c'est sur,
Surtout, ne perd jamais espoir, gros bisou, et merci de cette confession, ce n'est pas facile de parler de soi...
J'ai connu des difficultés de ce genre en famille recomposée, et j'en ai fait une grosse dépression...

Bisou

Béa

un poème fort

benino

être parent c'est être patient très très très patient
au point de se sacrifier s'il le faut

miss Béa a écrit:Trop dur, quand ton propre fils est tiraillé et envouté d'un côté,
je te souhaite bon courage, il faudra du temps, mais un enfant a toujours besoin de ses deux parents, il reviendra vers toi, c'est sur,
Surtout, ne perd jamais espoir, gros bisou, et merci de cette confession, ce n'est pas facile de parler de soi...
J'ai connu des difficultés de ce genre en famille recomposée, et j'en ai fait une grosse dépression...

Bisou

Béa

Laisser au temps le temps, mais une rayure dans une baignoire, même si on rajoute du blanc reste toujours apparente

Merci de ton soutien Béa

benino a écrit:un poème fort

benino

J'ai hésité à le poster, et je me suis dit que cela pourrait peut être aider d'autres
Les déchirures dans les familles cela n'arrive pas qu'aux autres
C n'est pas une honte, simplement une réalité de la vie qui arrive aussi aux autres

Merci Benino de ton passage

Rien en ce genre"d'histoire"n'est jamais tout blanc ou tout noir,
Mais plutôt gris,ainsi demeurent les cicatrices au sein de ta vie,
Pour faire la part des choses il faut être deux à le vouloir,
Une rédemption doit être accordée en cela je te convie.

Bien à toi HENRY LE POETE.

yazid anouar a écrit:être parent c'est être patient très très très patient
au point de se sacrifier s'il le faut

La famille C sacré

Merci Yazid de ton message

celui qui sait a écrit:Rien en ce genre"d'histoire"n'est jamais tout blanc ou tout noir,
Mais plutôt gris,ainsi demeurent les cicatrices au sein ta vie,
Pour faire la part des choses il faut être deux à le vouloir,
Une rédemption doit être accordée en cela je te convie.

Bien à toi HENRY LE POETE.

Il faut être deux comme tu la dit
En amour comme dans la vie
Mais pour cela il faut en avoir envie
Merci celui qui sait