hiver

la nature s’abandonne
aux caresses vulgaires
du vent
marquant la peau des champs
nus
par des signes pervers
l'horizon sent la misère
le ciel verse ses larmes amères
les vagues chantent un air austère
ainsi arrive l'hiver

Misère de misère voilà l'hiver,
L'été,le soleil c'est déjà hier,
Reste la chaleur des mitaines,
Ou celle plus intime...Humaine.

Bien à toi Miss.

Un tableau gris amer d'une saison qui inspire pourtant la poétesse....
amicalement

l'hiver triste de nature ! inspire bien et ne s'offusque pas qu'on on l'appel le triste !

celui qui sait a écrit:Misère de misère voilà l'hiver,
L'été,le soleil c'est déjà hier,
Reste la chaleur des mitaines,
Ou celle plus intime...Humaine.

Bien à toi Miss.

On aimerait avoir le beau temps, le prendre ce temps,
Pouvoir vivre hors du temps,
Et sans être haletant
Se dire qu'on a le temps d'un eternel printemps
Qui ne craint la trahison des saisons.

Il n'y a point toujours les saisons qui trahissent......

On aura jamais assez de temps,
D'avoir un beau printemps
Qui englouti les saisons
Mais s'écoule le temps.
Toujours à contre-temps,
On se souvient d'un temps
Qualifié d'antan.
A chaque hiver qui prend le temps
De s'étirer dans nos veines à plein temps

rychar a écrit:Un tableau gris amer d'une saison qui inspire pourtant la poétesse....
amicalement

Nous laissant mécontent, l'été part en haussant les épaules
De n'avoir pu autant en profiter à temps de ses rayons
Il s'en moque à plein temps !