souvenir noir

Ta voix du passé
Et son espoir d'avenir
Tes paroles d'envol
Pour ne plus exister
La lumière cachée
Et brûler aussi fort
Que la flamme de l'océan
La nudité d'esprit
Mon coeur de l'horloge
Sans arrêter de me détruire
Aucun coeur à te donner
Seulement une glace...

De jolis mots décousus
Trop décousus
Je n'ai pas tout compris

Curieux Philippe

Ton cœur miroite ses craintes
il fuit la lueur éteinte
son cris, en écho
se brise dans ton esprit
l’éclat est si fort
comme le rugissement des vagues
qui psalmodies en vague
contre les rochers

Merci pour votre lécture, chers amis. Philippe, le poème doit avoir un mystère. Tout comprendre, cela veut pas dire que ce soit bien.Aziza, J'ai bien aimé tes paroles douces.Merci...
Amitiés,Eléna.

Je partage l'avis de Philippe, c'est comme un tableau avec des tubes de peinture mal mélangés ou une symphonie inachevée, quoi qu'il en a une qui est devenue célèbre (sourire)

lire entre les lignes pour deviner la personne
se laisser emporter par les mots
qui exposent leurs larmes
ou explosent le drame
couvant dans l'âme

l'ambiguïté m'a permis de comprendre ce dont j'avais envie d'y voir, pour moi ce poème est une porte ouverte à l'imaginaire, comme un véhicule adaptable permettant le transport de bien des sentiments .
Je le ressens comme une transcription de sentiments contradictoires dont nous sommes souvent le jouet.

Merci de votre lécture...Aziza et au fil des mots merci pour la compréhension...Au plaisir de vous lire.
Amitiés,Eléna.

Paroles pour l'autre, vers tendus à bout de bras par une poétesse qui a le courage d'apprendre d'autres langues que sa langue maternelle.