Au chevet d'une Ondine

Les voici…enfin, assoiffée ondine, ils pleuvent
Mon ciel de marbre, le temps et tes yeux blasphémants
Ils pleuvent quand tu protestes…le long du fleuve
Et quand je vois mourir de soif…mon cœur fumant

Reste à mon chevet, chante pour moi …pour Sisyphe
Chantons tes pluies incrédules et mon temps fugace
Passé à te bâtir des nuages fugitifs
Chantons, chantons l’ondine que la soif fracasse.


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comme une terre assoiffée regardant angoissée le passage, là -haut, très haut de nuages qui vont crever sur d'autres contrées.

bonjour amie poétesse,
je suis heureux de ton commentaire, ce commentaire portant une image aussi triste, aussi profonde que ce que je veux dire ...au plaisir de vous lire.

j'ai aimé ce poème
ravi de vous cimpter parmi nous said
vous pouvez aller sur l'espace membre pour vous présenter si vous le désirer
mes amitiés.

Merci de me lire...et surtout merci de m'inviter parmi vous , ami poéte...dans ce paln, je vais me présenter...merci de tout coeur...encore une fois.

SAID GOURRAME a écrit:Les voici…enfin, assoiffée ondine, ils pleuvent
Mon ciel de marbre, le temps et tes yeux blasphémant
Ils pleuvent quand tu protestes…le long du fleuve
Et quand je vois mourir de soif…mon cœur fumant

Reste à mon chevet, chante pour moi …pour Sisyphe
Chantons tes pluies incrédules et mon temps fugace
Passé à te bâtir des nuages fugitifs
Chantons, chantons l’ondine que la soif fracasse.


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bonjour said, merci pour le partage et merci d'être avec nous.