Petite histoire privée

De ce candélabre,j'aime cette faible lueur vacillante,
Sur son corps,donnant des langues de clarté enivrante,
Jeu d'ombre et de lumiére sur sa peau,tout devient irréel,
Regardant,hypnotisé,la femme que je voulais sensuelle,
De mon impatience,elle joue le raffinement de la sobriété,
Sapant,détruisant ce que je croyais être mon invincibilité,
Je cache mon désarroi derrière ce paravent serpentine,
De ma belle,donnant une image floue mais combien divine,
Lassée de ce jeu,enfin,de son intimité elle s'offre à moi,
Je sens,que de mon corps,attendri,elle en devine l'émoi,
Approche de tendresse,doux baiser sur ses lévres de braise,
La suite est du domaine de mon privé,ne vous en déplaise.

Là tu m'as épaté!!
Enfin un poème pour l'ignorant que je suis!
aisé à lire, disant bien ce qu'il dit, et suscitant l'envie.... de ta belle marquise!

Amicalement Philippe

Philippe a écrit:Là tu m'as épaté!!
Enfin un poème pour l'ignorant que je suis!
aisé à lire, disant bien ce qu'il dit, et suscitant l'envie.... de ta belle marquise!

Amicalement Philippe

Il est vrai que j'aurai du commencer par le commencement.J'ai la fâcheuse habitude de mettre,parfois,la charrue avant les boeufs.Tu me vois ravi qu'il te plaise.Bien à toi Philippe.Il y en aura d'autres,ce n'est que le commencement,la Marquise étant une encyclopédie des choses de l'Amour.

Jeu d'ombre et de lumiére sur sa peau,tout devient irréel
***

Admin a écrit:Jeu d'ombre et de lumiére sur sa peau,tout devient irréel
***

Dans tes yeux elle se voit rose des champs
Dans ton cœur, sa voix est chant
Les ondes entre vous ne sont au couchant
Vous rayonnez,
Tant votre amour est profond
***
au plaisir de te lire

La Marquise s'est fixée comme devoir d'être belle le plus longtemps possible.
En ses yeux existe le miroir de mon Âme,
Une épouse,une amante,une femme,
L'Aphrodite de nos nuits tumultueuses,
De nos pérégrinations amoureuses,la meneuse.