Ballesio Jean Marc
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Ballesio Jean Marc
AZIZA: la poésie pour vous qu'est ce que ça évoque?
Ballesio Jean Marc:
Vous me posez la question qu'est-ce que la poésie? pour moi?
Et bien, elle a été une énergie de communication.
Une extrapolation de tous ces ressentis qui désiraient prendre une forme d'échanges.
Avec ceux et celles qui la capteraient en éprouvant à leur tour le besoin d'en parler/
La poésie devient aussi une forme d'expression de ce qui navigue en moi. Comme si les mémoires désiraient s'ouvrir à l'expression narratrice.
La poésie devient encore une façon de parler aux autres de ma foi en Dieu. Peut être différemment des religions classique dont les socles reposent sur des dogmes.
Il y a un assemblage entre les mondes magiques, féériques mais aussi spirituels.
Ma poésie devenant de même un moyen de rejeter ce plan ou effectivement le malheur voulu et structuré par l'être humain se bâtit sur l' ego.
Je me présente alors comme un voyageur du temps qui présente à ses amis (e) ses propres vies antérieures. L'espace et le temps sont pour la poésie des vecteurs portant les tempos de mes émotions.
Je pense que ce que j'écris reflète mon âme. Mes visions d'autres sociétés. Les écrits deviennent instinctifs, soumis aux humeurs et aux mélancolies. J'ai besoin d'aimer et de voyager sur cette thématique
Voilà chère amie .
Merci poète pour votre partage.
Ballesio Jean Marc:
Vous me posez la question qu'est-ce que la poésie? pour moi?
Et bien, elle a été une énergie de communication.
Une extrapolation de tous ces ressentis qui désiraient prendre une forme d'échanges.
Avec ceux et celles qui la capteraient en éprouvant à leur tour le besoin d'en parler/
La poésie devient aussi une forme d'expression de ce qui navigue en moi. Comme si les mémoires désiraient s'ouvrir à l'expression narratrice.
La poésie devient encore une façon de parler aux autres de ma foi en Dieu. Peut être différemment des religions classique dont les socles reposent sur des dogmes.
Il y a un assemblage entre les mondes magiques, féériques mais aussi spirituels.
Ma poésie devenant de même un moyen de rejeter ce plan ou effectivement le malheur voulu et structuré par l'être humain se bâtit sur l' ego.
Je me présente alors comme un voyageur du temps qui présente à ses amis (e) ses propres vies antérieures. L'espace et le temps sont pour la poésie des vecteurs portant les tempos de mes émotions.
Je pense que ce que j'écris reflète mon âme. Mes visions d'autres sociétés. Les écrits deviennent instinctifs, soumis aux humeurs et aux mélancolies. J'ai besoin d'aimer et de voyager sur cette thématique
Voilà chère amie .
Merci poète pour votre partage.
Dernière édition par Admin le Sam 16 Oct - 11:09, édité 1 fois
L'éphémère béatitude-Ballesio Jean Mar
L'éphémère béatitude
par Ballesio Jean Marc, dimanche 10 octobre 2010
Mon empreinte m'appartient
Elle est ma matière, mon évolution
Sans elle, ma conscience s'éteint
Je réalise l'harmonie de mon coeur
J'accepte ce que je suis, en liberté
Je partage les sentiments, éveillé dans ma foi
Ma foi se pose sur mon monde palpable
Et s'élève vers le divin dans l'impalpable certitude
Je vis, je ressens, j'entre dans la béatitude
Et je deviens un réceptacle des sentiments d'amour
Qu'en est-il des jugements, portés sur l'illusion
De ceux qui opposent à l'amour le dogme
Celui qui interdit le libre abandon du verbe
Pour inscrire dans l'esprit des règles rigides
Sur le chemin de la terre l'être apprend
Que son identité est inscrite dans la pierre
Socle sur lequel se dressera la cité de lumière
Mais aussi dans l'inverse la cité de l'ombre
L'équilibre est voulu, et chacun libère sa voie
Il est vain de croire à un destin qui vacille
Car chaque jour nous construisons notre demeure
Chaque acte de conscience nous offre le pardon
Quand le soleil divin irrigue mon âme
L'éphémère béatitude me prend en témoin
Et je deviens autre, plus réceptif des messages
Mon esprit confond la grâce dans le miroir d'éternité
Les mères viennent vers mes questions pour saisir la vérité
Mais elles me disent que c'est à moi de répondre
Par mes éveils, mes compréhensions, ma présence
Elles sont nos mémoires, perpétuelles vibrations cosmiques
Nous êtres de ce plan, acceptons simplement d'aimer
Quelle peur anime ceux et celles qui cultivent l'EGO
Ce pouvoir tant convoité qui suscite l'ivresse des démons
Accourant pour se repaître des esclaves soumis à l'illusion
Ils sont charmeurs, jaloux, assoiffés de votre divinité
Ces anges déchus qui d'un ciel tombèrent dans les péchés
Tous les artifices de ce monde vous rendent innocents
De cette autre connaissance ou le fleuve de vie prend sa source
Mon éphémère béatitude raisonne comme un tambour
Et mes mots viennent de la flamme qui brûle mes pensées
Pourrais-je dire à Annie que le vol de l'ange est ainsi
Et à Marie que le l'aime en soeur de partage, là ou elle est
Puis vers Thérèse ma messagère qui m'inonde de frénétiques frissons
Et tous ceux et celles qui dans les plans partagent mon secret
J'ai envie de partir hors des images qui préfigurent la chute
Retourner dans ces sphères ou je pourrai composer
Il est difficile de porter en soi, ce qui bientôt peut me submerger
Mais vous m'avez appris que la peur était aussi illusion
Je sais que la mort m'attend sans haine avec sagesse
Et je l'aime aussi si loin de ce qui constitue ma vie
Ne trouvez aucun fatalisme dans ces mots que j'écris
J'ai conscience simplement d'une humanité devenue proie
Et les carnassiers se répandent, ils sont à votre porte
Ils vous chassent, vous convoitent, vous charment
Laisser parler votre coeur dans la lumière de l'amour
Cette arme qu'ils craignent tant car ils ne le dominent pas
Mes mots, les mots, courent ce soir sur l'écran
Mais l'éphémère béatitude restera toujours mon sermon.
JMB
par Ballesio Jean Marc, dimanche 10 octobre 2010
Mon empreinte m'appartient
Elle est ma matière, mon évolution
Sans elle, ma conscience s'éteint
Je réalise l'harmonie de mon coeur
J'accepte ce que je suis, en liberté
Je partage les sentiments, éveillé dans ma foi
Ma foi se pose sur mon monde palpable
Et s'élève vers le divin dans l'impalpable certitude
Je vis, je ressens, j'entre dans la béatitude
Et je deviens un réceptacle des sentiments d'amour
Qu'en est-il des jugements, portés sur l'illusion
De ceux qui opposent à l'amour le dogme
Celui qui interdit le libre abandon du verbe
Pour inscrire dans l'esprit des règles rigides
Sur le chemin de la terre l'être apprend
Que son identité est inscrite dans la pierre
Socle sur lequel se dressera la cité de lumière
Mais aussi dans l'inverse la cité de l'ombre
L'équilibre est voulu, et chacun libère sa voie
Il est vain de croire à un destin qui vacille
Car chaque jour nous construisons notre demeure
Chaque acte de conscience nous offre le pardon
Quand le soleil divin irrigue mon âme
L'éphémère béatitude me prend en témoin
Et je deviens autre, plus réceptif des messages
Mon esprit confond la grâce dans le miroir d'éternité
Les mères viennent vers mes questions pour saisir la vérité
Mais elles me disent que c'est à moi de répondre
Par mes éveils, mes compréhensions, ma présence
Elles sont nos mémoires, perpétuelles vibrations cosmiques
Nous êtres de ce plan, acceptons simplement d'aimer
Quelle peur anime ceux et celles qui cultivent l'EGO
Ce pouvoir tant convoité qui suscite l'ivresse des démons
Accourant pour se repaître des esclaves soumis à l'illusion
Ils sont charmeurs, jaloux, assoiffés de votre divinité
Ces anges déchus qui d'un ciel tombèrent dans les péchés
Tous les artifices de ce monde vous rendent innocents
De cette autre connaissance ou le fleuve de vie prend sa source
Mon éphémère béatitude raisonne comme un tambour
Et mes mots viennent de la flamme qui brûle mes pensées
Pourrais-je dire à Annie que le vol de l'ange est ainsi
Et à Marie que le l'aime en soeur de partage, là ou elle est
Puis vers Thérèse ma messagère qui m'inonde de frénétiques frissons
Et tous ceux et celles qui dans les plans partagent mon secret
J'ai envie de partir hors des images qui préfigurent la chute
Retourner dans ces sphères ou je pourrai composer
Il est difficile de porter en soi, ce qui bientôt peut me submerger
Mais vous m'avez appris que la peur était aussi illusion
Je sais que la mort m'attend sans haine avec sagesse
Et je l'aime aussi si loin de ce qui constitue ma vie
Ne trouvez aucun fatalisme dans ces mots que j'écris
J'ai conscience simplement d'une humanité devenue proie
Et les carnassiers se répandent, ils sont à votre porte
Ils vous chassent, vous convoitent, vous charment
Laisser parler votre coeur dans la lumière de l'amour
Cette arme qu'ils craignent tant car ils ne le dominent pas
Mes mots, les mots, courent ce soir sur l'écran
Mais l'éphémère béatitude restera toujours mon sermon.
JMB
Re: Ballesio Jean Marc
Un poème,
Ces des mots qui chantent
Comme une symphonie
Venant du fond de l'âme.
---
Merci pour le partage
Ces des mots qui chantent
Comme une symphonie
Venant du fond de l'âme.
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Merci pour le partage
amina chami- Nombre de messages : 423
Date d'inscription : 05/11/2010
Re: Ballesio Jean Marc
ravie de vous découvrir
soliane martinez- Nombre de messages : 165
Date d'inscription : 12/01/2011
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