Il y eut...

Il y eut un coeur…
Et des regards pour le lire.
Il y eut un sourire
Un souffle au bord des lèvres.
Il y eut une envie comme une sève
De courir d’autres rives.
Il y eut un désir
L’élancement comme un rêve.
Il y eut un poème
Les mots en dilemme !
Il y eut des pas
Le chemin comme labyrinthe.
Il y eut un cœur…
Et au fond de son délire
Contre sa lampe d'espoir
Un silence se cousit.

sur ce cheminement des sentiments....
les dénouements ne sont pas toujours à la hauteur...

le cœur et toujours le cœur pour guider ou perdre le sourire de la vie.
ravie de te lire ici Linda.

belle lecture , ravi

rychar a écrit: sur ce cheminement des sentiments....
les dénouements ne sont pas toujours à la hauteur...

Le langage du coeur est le seuil de la passion silencieuse que je ne peux franchir.
Merci pour votre partage.

Rita-kazem a écrit:le cœur et toujours le cœur pour guider ou perdre le sourire de la vie.
ravie de te lire ici Linda.

Le coeur est l’épreuve de l’infini.

davidof a écrit:belle lecture , ravi

Seuls les silences des cœurs ont la cruelle précision qui confère la vérité aux sentiments.

linda a écrit:Il y eut un coeur…
Et des regards pour le lire.
Il y eut un sourire
Un souffle au bord des lèvres.
Il y eut une envie comme une sève
De courir d’autres rives.
Il y eut un désir
L’élancement comme un rêve.
Il y eut un poème
Les mots en dilemme !
Il y eut des pas
Le chemin comme labyrinthe.
Il y eut un cœur…
Et au fond de son délire
Contre sa lampe d'espoir
Un silence se cousit.

Je serais simple passagère du silence,
L'ombre qui se donne à ma présence,
Et en la toile où naissent mes certitudes,
Je crée le labyrinthe de mes incertitudes.

Bien à toi.

le monde est continuellement défait et reconstitué.
"dans le silence parfait que la parole s'entend. Mais le silence existe-t-il ?
Luxe rêvé dans le brouhaha, le vrai silence (zéro décibel) est inabordable : vous ne l’entendrez jamais. Vous percevrez toujours un son, ne serait-ce que votre cœur, et le "silence intérieur" est illusoire quand un flot de paroles coule constamment en vous !"

latourdebabel a écrit:

linda a écrit:Il y eut un coeur…
Et des regards pour le lire.
....
Il y eut un cœur…
Et au fond de son délire
Contre sa lampe d'espoir
Un silence se cousit.

Je serais simple passagère du silence,
L'ombre qui se donne à ma présence,
Et en la toile où naissent mes certitudes,
Je crée le labyrinthe de mes incertitudes.

Bien à toi.

passagère sur le sable de ma page
tu laisses la trace d'un privilège
celui d'un charmant commentaire !
j'en suis ravie !

et le mystère transpire
une douce fragrance...

tout n'est pas cousu ni décousu !
magnifique poésie !

belle écriture sur une onde passionnée.

M.KISSINE a écrit:et le mystère transpire
une douce fragrance...

Comme le sont les mots .. les être ont la particuliarité de dire le temps et le silence, le mal être profond, les solitudes...
Merci du partage