J'entends des voix...

anonymas a écrit:

J’entends des voix Je discerne des abois La colère des gens D’avoir été trahis Durant tout ce temps Par leurs semblables Qui leur paraissent si aimables Et surtout compatissants Mais en fait, ils tablent Sur leur candeur, en réfléchissant A tirer le câble En les traînant sur le sable Sur la boue en les poussant A faire les diables Est-ce qui ils le sont ? En réalité, ils seront capables D’être affables, faiblissant Attentistes, immuables Au passage des chariots grinçants Transportant des hommes tenables Par l’opulence de l’ornement De leur coiffure, de leurs gestes vendables A ces gens qui voudront Acheter l’inaccessible Rien que pour dire qu’on est vivant Un homme a dit Que je suis si troublé Par la moquerie D’avoir peur d’être doublé Par son associé de la fratrie Pour monter aux assemblées Et crier qu’il est pétri Des qualités les plus meublées De pesanteur et de mépris Pour l’inactif et le bâclé De l’autre, accusé par lui De ne pas trouver la clé Et d’être à l’origine des cris Au désastre, au raté Par le tir de son ennemi Pris en tenaille, encerclé Réduit au repli Il se fera remarqué Par la dénonciation et le dit Il se remettra debout Il fendra sur son rival Se remettant des remous Se fortifiant de banal Mais ruse de tout Pour porter le coup fatal Et dire qu’il fait tout En bien et rien de mal Qu’il garde des atouts Et un peu de morale Qui lui dicte sa moue Et lui fournit un canal De théorie sur les dessous De tables, les dédales D’obscurs complots Qui se tissent en aval Il dira que l’autre et un bibelot De l’ascension en cavale Sans trot ni galop Furtif comme un chacal Qu’il montera sur les dos Des honnêtes comme des pédales Pour courser le halo De son gain sans égal

Rita-kazem a écrit:="anonymas"]

...... Se fortifiant de banal Qui se tissent en aval Il dira que l’autre et un bibelot De l’ascension en cavale Sans trot ni galop Furtif comme un chacal Qu’il montera sur les dos Des honnêtes comme des pédales Pour courser le halo De son gain sans égal

Rita-kazem a écrit:

anonymas a écrit:

J’entends des voix Je discerne des abois La colère des gens D’avoir été trahis Durant tout ce temps Par leurs semblables Qui leur paraissent si aimables Et surtout compatissants Mais en fait, ils tablent Sur leur candeur, en réfléchissant A tirer le câble En les traînant sur le sable Sur la boue en les poussant A faire les diables Est-ce qui ils le sont ? En réalité, ils seront capables D’être affables, faiblissant Attentistes, immuables Au passage des chariots grinçants Transportant des hommes tenables Par l’opulence de l’ornement De leur coiffure, de leurs gestes vendables A ces gens qui voudront Acheter l’inaccessible Rien que pour dire qu’on est vivant Un homme a dit Que je suis si troublé Par la moquerie D’avoir peur d’être doublé Par son associé de la fratrie Pour monter aux assemblées Et crier qu’il est pétri Des qualités les plus meublées De pesanteur et de mépris Pour l’inactif et le bâclé De l’autre, accusé par lui De ne pas trouver la clé Et d’être à l’origine des cris Au désastre, au raté Par le tir de son ennemi Pris en tenaille, encerclé Réduit au repli Il se fera remarqué Par la dénonciation et le dit Il se remettra debout Il fendra sur son rival Se remettant des remous Se fortifiant de banal Mais ruse de tout Pour porter le coup fatal Et dire qu’il fait tout En bien et rien de mal Qu’il garde des atouts Et un peu de morale Qui lui dicte sa moue Et lui fournit un canal De théorie sur les dessous De tables, les dédales D’obscurs complots Qui se tissent en aval Il dira que l’autre et un bibelot De l’ascension en cavale Sans trot ni galop Furtif comme un chacal Qu’il montera sur les dos Des honnêtes comme des pédales Pour courser le halo De son gain sans égal

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] merci et bravo pour cette force dans l'encre