Bonjour tristesse

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

firdaws a écrit:

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

Des vers comme j'en aime
Ils boivent de la même source que mon coeur
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daniel a écrit:

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

bravo pour cette finesse de vers en tresses
&
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sandrine jillou a écrit:

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

Bonjour tristesse
Toi qui n'a jamais était mon amie
Pourquoi viens-tu vers moi
Ces jours ci??????????????
Très beauuuuuuuuuuuu poème que j'aiiiiiiiiiiiiiiiiime biennnnnnnnnnn
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davidof a écrit:

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

plus tôt bonjour à votre muse! elle vous a soufflé un super poème
au plaisir de vous lire

ombre a écrit:très beau poème et agréable à lire !! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Nadej-isis a écrit:LECTURE FANTASTIQUE que je viens de faire sur cet espace Merciiiiiiiiiiiiiiii
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cristopher-cris a écrit:Génial. Ravi de vous lire sur nos pages

KAMEL a écrit:

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

le partage est magnifique avec une plume telle la votre

sarah a écrit:

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

très mélodieux ces vers se voulant tristes! j'aime ta plume kriss

miss Béa a écrit:

kris55 a écrit:

Bonjour tristesse

Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité tu ne baisses.
Sur moi tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses,
Et de penser à toi je ne cesse.
Mais de cette idée je me confesse,
Un jour viendra ou je serais en caisse,
D'un autre alors cherche à devenir l'hôtesse,
Car Je te dirai alors, Adieu tristesse !

Bonjour Kris,
Bienvenue.

Cette tristesse que tu aimes
s'en ira forcément à tire d'ailes
Lorsque reviendra le bonheur
En ton coeur.
Je l'espère pour toi
Il guérira tes peines
Et apportera de la joie...

Bisou

Béa

Et ton [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]