Ô justes gens

par Mehri Mer 20 Jan - 20:41

Ô justes gens

Ô justes gens! la folie possède mon cœur,
De l’enfer de la passion, je ne suis pas vainqueur

Le destin s’est figé à la vue de cette beauté
Des délires fous, dans mon esprit ont habité

Venus envoûtante aux yeux séducteurs,
Ruinant ma foi et son fil conducteur.

Cœur terrassé par ce mal sans remède
Qui remonte par la poussée d’Archimède

Dans les filets de l'angoisse pressante
Ô frêles mouvements d'une aile impuissante

La nuit est nourrie de ma pénible insomnie
Larmes douloureuses de l’âme meurtrie

Sacrifié sur l’autel de la passion, je médite
Souffle d’amour d’une teneur inédite

Dois-je chercher quelque docte médecin,
Habile guérisseur à mon mal sans fin

Pour quel crime ma belle m'a-tu donc quitté ?
De grâce viens guérir mon mal de grande gravité

Apaises mon âme et le feu qui me ceinture
Ô Belle à l'inégalable et sombre chevelure

Front pur et cils insolents
Lèvres douces portant à l'extase l'amant,

Tresses tumultueuses tombant sur la poitrine,
Pareilles aux ailes des créatures divines

Mehri

par roby Mer 20 Jan - 20:59

Mehri a écrit:
Ô justes gens

Ô justes gens! la folie possède mon cœur,
De l’enfer de la passion, je ne suis pas vainqueur

Le destin s’est figé à la vue de cette beauté
Des délires fous, dans mon esprit ont habité

Venus envoûtante aux yeux séducteurs,
Ruinant ma foi et son fil conducteur.

Cœur terrassé par ce mal sans remède
Qui remonte par la poussée d’Archimède

Dans les filets de l'angoisse pressante
Ô frêles mouvements d'une aile impuissante

La nuit est nourrie de ma pénible insomnie
Larmes douloureuses de l’âme meurtrie

Sacrifié sur l’autel de la passion, je médite
Souffle d’amour d’une teneur inédite

Dois-je chercher quelque docte médecin,
Habile guérisseur à mon mal sans fin

Pour quel crime ma belle m'a-tu donc quitté ?
De grâce viens guérir mon mal de grande gravité

Apaises mon âme et le feu qui me ceinture
Ô Belle à l'inégalable et sombre chevelure

Front pur et cils insolents
Lèvres douces portant à l'extase l'amant,

Tresses tumultueuses tombant sur la poitrine,
Pareilles aux ailes des créatures divines

Mehri

découvrir vos vers est un plaisir. merci pour le partage

par **miss Béa** Mer 20 Jan - 22:55

Mehri a écrit:
Ô justes gens

Ô justes gens! la folie possède mon cœur,
De l’enfer de la passion, je ne suis pas vainqueur

Le destin s’est figé à la vue de cette beauté
Des délires fous, dans mon esprit ont habité

Venus envoûtante aux yeux séducteurs,
Ruinant ma foi et son fil conducteur.

Cœur terrassé par ce mal sans remède
Qui remonte par la poussée d’Archimède

Dans les filets de l'angoisse pressante
Ô frêles mouvements d'une aile impuissante

La nuit est nourrie de ma pénible insomnie
Larmes douloureuses de l’âme meurtrie

Sacrifié sur l’autel de la passion, je médite
Souffle d’amour d’une teneur inédite

Dois-je chercher quelque docte médecin,
Habile guérisseur à mon mal sans fin

Pour quel crime ma belle m'a-tu donc quitté ?
De grâce viens guérir mon mal de grande gravité

Apaises mon âme et le feu qui me ceinture
Ô Belle à l'inégalable et sombre chevelure

Front pur et cils insolents
Lèvres douces portant à l'extase l'amant,

Tresses tumultueuses tombant sur la poitrine,
Pareilles aux ailes des créatures divines

Mehri

Ta belle est toute en séduction et en sensualité, elle se révèle en tes yeux la seule.
Tu rêves de cette femme, celle qui est en ton coeur...
Elle est perdue dans tes pensées, même si réelle, elle s'est fondue dans tes rêves, et tu pleures...
Archimède ne l'a point ancrée, il a juste aidé à la faire voler ou "surnager", de ses propres ailes sans poids à soulever...
Tout bonheur pour toi...
Bizz

Béa