... Dynamique de Chaire & d'Esprit !!

Et Roby, nous sommes tous unique, et individuellement prêts à aimer et dire bonjour à une nouvelle vie amoureusement confondue.
Le grand malheur sur cette terre, c'est que nous pouvons aimer plusieurs fois, et à des intensités + ou- "intenses...

Bisou , et essayons de dire "au revoir" à la mélancolie, mais............ dur-dur, parfois........

Sourire à la vie, même si elle ne nous sourit pas...


Missssssssettttttttttt, je vous adooooooooooooooore!!!

Ff.C a écrit:

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Les Adieux.

Ha ! C'est une heure terrible que celle des adieux.
Implacable, elle plane comme un oiseau de proie
Elle vous serre à la gorge & vous laisse sans voix
& fait jaillir la larme qui fait parler les yeux.

Oh ! Ce dialogue sauvage en ce sinistre lieu
& ces mots qui tremblent comme
des coups de couteaux
Épargnant ma fierté, me poignarde le dos
Qu'un tressaillement secoue comme
un frisson de vieux.

C'est le froid de l'hiver qui de son souffle rude
Faisant fi de ma chair, emprisonne mon cœur
& sa griffe de glace superbe de froideur
L'entraine dans la neige des tristes solitudes.

Je tremble écoutant qu'elle va être son dernier mot,
Car il n'en suffit qu'un, pour que tout soit fini.
J'ai vécu par sa voix, rêvé par ses échos,
& je meurs ce soir d'un mot qu'elle n'a pas dit.

Oh triste amour ! Oh sœur cruel du trépas !
Par mon esprit malade qui te suit pas à pas,
Je maudis les lueurs qui s'échappent de ton feu
& les attraits soudain dénués de splendeur
S'estompent dans la nuit de mes sombres adieux.
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Garde espoir personne n'est irremplaçable

Ff.C a écrit:

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Les Adieux.

Ha ! C'est une heure terrible que celle des adieux.
Implacable, elle plane comme un oiseau de proie
Elle vous serre à la gorge & vous laisse sans voix
& fait jaillir la larme qui fait parler les yeux.

Oh ! Ce dialogue sauvage en ce sinistre lieu
& ces mots qui tremblent comme
des coups de couteaux
Épargnant ma fierté, me poignarde le dos
Qu'un tressaillement secoue comme
un frisson de vieux.

C'est le froid de l'hiver qui de son souffle rude
Faisant fi de ma chair, emprisonne mon cœur
& sa griffe de glace superbe de froideur
L'entraine dans la neige des tristes solitudes.

Je tremble écoutant qu'elle va être son dernier mot,
Car il n'en suffit qu'un, pour que tout soit fini.
J'ai vécu par sa voix, rêvé par ses échos,
& je meurs ce soir d'un mot qu'elle n'a pas dit.

Oh triste amour ! Oh sœur cruel du trépas !
Par mon esprit malade qui te suit pas à pas,
Je maudis les lueurs qui s'échappent de ton feu
& les attraits soudain dénués de splendeur
S'estompent dans la nuit de mes sombres adieux.
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Ahhhh, l'angoisse d'un adieu, que c'est dur....
Très beau poème, aux au revoirs si mélancoliques...

Bizz

Béa