... - Tendance ; + Agacé !!

Ff.C a écrit: … à crus !
Sans autre vaillance que d'être un vautour vorace,
Nebucadnetsar premier du non ordonne à Aschpenaz,
fifre supérieur parmi les sans couille à son service,
de recruter une poignée de métisses
aux souches assimilées & de ligne modérée,
de fringants mâles à lisse plastiques, aux fasciés béat, envieux d'excès, de richesses & de luxe ;
Ayants la libre complaisances d'être des pantins
manipuler par la plus dupe des causes :
Son ersatz de noblesse souveraine,
moi digne de tous les abus,
exemple formaté, en charogne je m'affiche
& me fait supplier de vous en faire payer ...
Mon
humble seigneurie leur administrera journalièrement : Un reste de
raclure de ses rejets quotidiens de spiritueux, qui font l’amertumes de
sa coupe ;
avec l'arrogance de m’évertuer à les imbiber
de mes troubles gastriques,
& cela au point de les essoufflés du souhait
d'être mes valets de pieds ...
Le choie de ma préférence en deux mesures ;
J’ais fait appeler de cette mélasse du peuple,
une poignée de pédants privilégiés,
voués à simuler le simultané
d’un respect emprunt d’admiration,
& à faire de ses illustres requins des élites
aux mœurs conventionnés,
redevables d'être rigoureusement raquettés,
sans redouter de réélire son assoiffé
& sérénissime icône d’un brillant progrès,
que j’incarne par les veux de lamajorité.
Aschpenaz sangsue couillue déculotté,
égrène son chapelet de squales à alignés,
avec
leurs copieux prouses prés à être bottés ; Sanguinolent les cites par
leurs prénommées attitrées : Daniel, Hanania, Mischael, Azaria.
Daniel le rebelle, refuse de tacher ses brailles
des bévues du bavard baroque,
& d'être l’anticrise des aigreurs gouvernementales ;
Il sussure à la sangsue :
Serait-il permis par mégarde,
d'être mouillé qu’à l'utile,
& cela en tout anonymat ?
Sa clairvoyance subtile offre à Daniel
un siège aussi juteux que judicieux.
La pompe sanguine suppure à Daniel :
Ma trouille dégoulinante envers le coup pelé,
qui à défini votre cota de savoir,
par les média récurant,
qui régurgite votre talent à apprendre,
& votre travail de compréhension ;
Pourtant quelle est la raison qui m'allèche de vos minois, plus gamelans que ceux d’avantageux gamins
qui n’ont pas l’avantage de vos efforts virils.
Hélas ! Si je m'oublie à saigner vos vétaux,
sur le vif le croque mort me passerait au billot.
Daniel s'essaye à glisser au molosse de Bordeaux,
sbire en ligne référé de la ventouse à hémoglobine : Soudoies de sévices sadiques tes serviteurs,
humilies nous de sorte
que l’on ne sois plus que spasmes en souillures ;
Pause à notre auge que dédain & indifférence,
puisque notre pitance est de laper l'ignorance.
Voilà l’histoire d’un gonz goulu,
& avide de garce ...
Jovial fourre tout !
Pas plus laide que ta poubelle ;
Une gourmandise de délicates vitamines
inondée de ta générosité.
Ainsi il en est de votre copieuse bave de comptoir
& de cette sévices.

Ff.C a écrit:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] … à crus !
Sans autre vaillance que d'être un vautour vorace, Nebucadnetsar premier du non ordonne à Aschpenaz,

fifre supérieur parmi les sans couille à son service,

de recruter une poignée de métisses

aux souches assimilées & de ligne modérée,

de fringants mâles à lisse plastiques, aux fasciés béat, envieux d'excès, de richesses & de luxe ;

Ayants la libre complaisances d'être des pantins

manipuler par la plus dupe des causes :

Son ersatz de noblesse souveraine,

moi digne de tous les abus,

exemple formaté, en charogne je m'affiche

& me fait supplier de vous en faire payer ...

Mon
humble seigneurie leur administrera journalièrement : Un reste de
raclure de ses rejets quotidiens de spiritueux, qui font l’amertumes de
sa coupe ;

avec l'arrogance de m’évertuer à les imbiber

de mes troubles gastriques,

& cela au point de les essoufflés du souhait

d'être mes valets de pieds ...

Le choie de ma préférence en deux mesures ;

J’ais fait appeler de cette mélasse du peuple,

une poignée de pédants privilégiés,

voués à simuler le simultané

d’un respect emprunt d’admiration,

& à faire de ses illustres requins des élites

aux mœurs conventionnés,

redevables d'être rigoureusement raquettés,

sans redouter de réélire son assoiffé

& sérénissime icône d’un brillant progrès,

que j’incarne par les veux de lamajorité.
Aschpenaz sangsue couillue déculotté,

égrène son chapelet de squales à alignés,

avec
leurs copieux prouses prés à être bottés ; Sanguinolent les cites par
leurs prénommées attitrées : Daniel, Hanania, Mischael, Azaria.

Daniel le rebelle, refuse de tacher ses brailles

des bévues du bavard baroque,

& d'être l’anticrise des aigreurs gouvernementales ;

Il sussure à la sangsue :

Serait-il permis par mégarde,

d'être mouillé qu’à l'utile,

& cela en tout anonymat ?

Sa clairvoyance subtile offre à Daniel

un siège aussi juteux que judicieux.

La pompe sanguine suppure à Daniel :

Ma trouille dégoulinante envers le coup pelé,

qui à défini votre cota de savoir,

par les média récurant,

qui régurgite votre talent à apprendre,

& votre travail de compréhension ;

Pourtant quelle est la raison qui m'allèche de vos minois, plus gamelans que ceux d’avantageux gamins

qui n’ont pas l’avantage de vos efforts virils.

Hélas ! Si je m'oublie à saigner vos vétaux,

sur le vif le croque mort me passerait au billot.

Daniel s'essaye à glisser au molosse de Bordeaux,

sbire en ligne référé de la ventouse à hémoglobine : Soudoies de sévices sadiques tes serviteurs,

humilies nous de sorte

que l’on ne sois plus que spasmes en souillures ;

Pause à notre auge que dédain & indifférence,

puisque notre pitance est de laper l'ignorance.
Voilà l’histoire d’un gonz goulu,

& avide de garce ...

Jovial fourre tout !

Pas plus laide que ta poubelle ;

Une gourmandise de délicates vitamines

inondée de ta générosité.

Ainsi il en est de votre copieuse bave de comptoir

& de cette sévices. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]